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Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
"The Florida Project" prend de l'ampleur et s'échappe du fourre-tout pour raconter, sans misérabilisme, la médaille d'un pays dont l'envers devient plus visible que l'endroit.
Précipités au cœur d’une narration ivre de liberté, les acteurs non professionnels rivalisent de naturel et d’exubérance avec les bêtes de scène. Notamment Willem Dafoe harnaché à un rôle admirable autorisé à déverser des torrents d’humilité et d’humanité.
(...) filmé à l'énergie, sans s'appesantir, sans juger, sans dispenser la moindre leçon sociale ou morale, enregistrant la réalité comme un rêve de monde merveilleux qui se serait détraqué.
Le réalisateur porte un regard rempli de bienveillance et d’humanité sur des personnages attachants, qui ne baissent jamais les bras, dans cette chronique sociale à la fois cruelle et onirique, filmée à hauteur d’enfant et avec de vrais habitants du motel dans un souci de réalisme absolu.
C’est l’un des plus beaux films de l’année. "The Florida Project" raconte une histoire bouleversante avec des acteurs amateurs stupéfiants et dans des décors ultra-cinégéniques.
À l’ombre d’un parc d’attractions mondialement célèbre, Moonee et sa mère tentent de survivre au quotidien. En jouant en virtuose avec ce contraste géographique, le nouveau film de Sean Baker est à la fois joyeux, effronté et déchirant.
Certains qualifieront sans doute de "misérabiliste" le regard porté sur les familles croisées dans ce triste décor, mais c'est ailleurs que dans la description naturaliste que se situe l'enjeu du film. Dans l'atmosphère de danger diffus qui semble planer autour de Moonee et des autres enfants, dans les mauvaises rencontres toujours possibles.
Un feel good movie sur les laissés pour comptes du rêve américain, qui voit la vie en rose bonbon, et mené tambour battant par une fillette à l'énergie pétaradante.
Portrait incisif d’une Amérique des laissés-pour-compte, le film séduit son absence de concessions et confirme l’originalité d’un des meilleurs représentants du cinéma indépendant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Filmé à hauteur d’enfants, "The Florida Project" réussit le tour de force de nous raconter sans pathos le quotidien de ces milliers de familles expulsées de chez elle, contraintes de se réfugier dans des motels où elles vivent dans des conditions précaires.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L’euphorie visuelle et rythmique du film ne l’empêche pas d’aborder les questions cruciales. Et le regard empreint de tendresse du réalisateur refuse de juger des personnages prêts à tout pour s’arroger une part de l’american dream.
Il faut reconnaître à Sean Baker, une volonté farouche d’en découdre avec l’idée frelatée du rêve américain et de se placer juste à côté du soleil ("Tangerine" se situait dans une Los Angeles interlope) pour mieux en saisir ses contre-jours.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le cinéaste passe directement de l'image rough de son baptême du feu à une esthétique pimpante et pop art étrangement datée dans sa volonté de décalage avec la déshérence sociale qu'elle entend embellir ou souligner.
Télé 2 semaines
Une pépite qui émeut autant qu'elle fait sourire.
Bande à part
"The Florida Project" est tout simplement un film qui a du cœur. C’est assez rare pour le souligner.
CinemaTeaser
Un film vivant et foisonnant.
Critikat.com
Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
Culturopoing.com
Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
Ecran Large
Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
Elle
Un film à la fois poétique et difficile, mais qui nous enthousiasme par sa rare espièglerie.
Femme Actuelle
Coup de coeur pour ce film plein d'humanité.
L'Express
"The Florida Project" prend de l'ampleur et s'échappe du fourre-tout pour raconter, sans misérabilisme, la médaille d'un pays dont l'envers devient plus visible que l'endroit.
L'Humanité
Le réalisme de Sean Baker n'élude rien. A force d attention et de fantaisie, il déjoue tous les pièges de la complaisance.
La Voix du Nord
Précipités au cœur d’une narration ivre de liberté, les acteurs non professionnels rivalisent de naturel et d’exubérance avec les bêtes de scène. Notamment Willem Dafoe harnaché à un rôle admirable autorisé à déverser des torrents d’humilité et d’humanité.
Le Dauphiné Libéré
(...) filmé à l'énergie, sans s'appesantir, sans juger, sans dispenser la moindre leçon sociale ou morale, enregistrant la réalité comme un rêve de monde merveilleux qui se serait détraqué.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur porte un regard rempli de bienveillance et d’humanité sur des personnages attachants, qui ne baissent jamais les bras, dans cette chronique sociale à la fois cruelle et onirique, filmée à hauteur d’enfant et avec de vrais habitants du motel dans un souci de réalisme absolu.
Le Monde
En adoptant ainsi le point de vue de ses jeunes personnages, Sean Baker s'interdit d'en juger aucun, et c'est là la beauté du film.
Le Parisien
C’est l’un des plus beaux films de l’année. "The Florida Project" raconte une histoire bouleversante avec des acteurs amateurs stupéfiants et dans des décors ultra-cinégéniques.
Les Fiches du Cinéma
À l’ombre d’un parc d’attractions mondialement célèbre, Moonee et sa mère tentent de survivre au quotidien. En jouant en virtuose avec ce contraste géographique, le nouveau film de Sean Baker est à la fois joyeux, effronté et déchirant.
Les Inrockuptibles
Un cocktail enragé de Floride, de chaos white trash, de Disney et de féminité guerrière, duquel se dégage un entêtant parfum d’apocalypse imminente.
Paris Match
Ça pourrait être glauquissime, c'est somptueux et déchirant. Coloré, pop, forcément décadent.
Positif
[un] tableau sincère et touchant des laissés-pour-compte du rêve américain.
Studio Ciné Live
Un film gorgé de soleil et de vitalité qui dénonce le rêve américain.
Transfuge
Certains qualifieront sans doute de "misérabiliste" le regard porté sur les familles croisées dans ce triste décor, mais c'est ailleurs que dans la description naturaliste que se situe l'enjeu du film. Dans l'atmosphère de danger diffus qui semble planer autour de Moonee et des autres enfants, dans les mauvaises rencontres toujours possibles.
Télérama
Rares sont les films qui captent aussi bien l'énergie volatile, la spontanéité crue de I'enfance, la toute puissance de son imaginaire.
Voici
Un feel good movie sur les laissés pour comptes du rêve américain, qui voit la vie en rose bonbon, et mené tambour battant par une fillette à l'énergie pétaradante.
aVoir-aLire.com
Portrait incisif d’une Amérique des laissés-pour-compte, le film séduit son absence de concessions et confirme l’originalité d’un des meilleurs représentants du cinéma indépendant.
L'Obs
Sean Baker (...) peint le glauque en couleurs, mais sans complaisance.
La Croix
Filmé à hauteur d’enfants, "The Florida Project" réussit le tour de force de nous raconter sans pathos le quotidien de ces milliers de familles expulsées de chez elle, contraintes de se réfugier dans des motels où elles vivent dans des conditions précaires.
La Septième Obsession
L’euphorie visuelle et rythmique du film ne l’empêche pas d’aborder les questions cruciales. Et le regard empreint de tendresse du réalisateur refuse de juger des personnages prêts à tout pour s’arroger une part de l’american dream.
Le Figaro
Ce film, qui pointe du doigt la précarité à travers une mère de famille démissionnaire, pèche par sa longueur.
Première
Il faut reconnaître à Sean Baker, une volonté farouche d’en découdre avec l’idée frelatée du rêve américain et de se placer juste à côté du soleil ("Tangerine" se situait dans une Los Angeles interlope) pour mieux en saisir ses contre-jours.
Libération
Le cinéaste passe directement de l'image rough de son baptême du feu à une esthétique pimpante et pop art étrangement datée dans sa volonté de décalage avec la déshérence sociale qu'elle entend embellir ou souligner.
Cahiers du Cinéma
Freak show misérabiliste dépourvu du moindre regard critique et grossièrement écrit.