Note moyenne
2,5
12 titres de presse
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L'Express
"Peshmerga" est à la fois témoignage et discours, documentaire et engagement.
L'Obs
Des peshmergas qui ont eu raison de faire confiance à celui qui, cette fois sans se préférer, les a filmés avec loyauté.
Le Parisien
La force de ce film tient à ce qu'il nous plonge sans mise en scène au coeur de la guerre. Un général kurde que l'on voit sur le front y trouvera la mort visé en pleine tête. Il faut aller voir ce document, ne serait-ce que pour admirer le courage de ces soldats de la liberté qui luttent aussi, par procuration, pour la nôtre.
Le Point
"Peshmerga" est un film qui montre sans se fixer l'ambition de démontrer coûte que coûte. Il explique, éclaire et finalement convainc.
Franceinfo Culture
Des images fortes, ce film n'en manque pas. Des scènes de guerre, une caméra au cœur de l'action. Tout à sa déclaration d'amour pour ce peuple courageux, BHL oublie de se taire et de laisser parler l'image.
Télé 7 Jours
Didactique, éclairant, parfois emphatique au risque d'agacer, un témoignage nécessaire et passionnant.
Le Monde
Le documentaire de Bernard-Henri Levy épouse la cause kurde, sans recul ni précaution.
Libération
Voyant un film l’emporter contre l’autre, celui du zélateur volubile et sans nuance sur celui du documentariste à l’œil rivé au front et à la complexité de ceux qui l’habitent, on ne peut s’empêcher de songer que sommeillait là, dans la pâte négligée du second, la matière visuelle d’un autre film (...).
Ecran Large
BHL s'enferre une nouvelle fois dans une pseudo-émotion lénifiante, une complaisance malvenue et un manichéisme douteux.
Les Fiches du Cinéma
Scènes de batailles impressionnantes, soldats héroïques, morale limpide. Tout à sa cause, l'auteur n'explique rien ; il prescrit. Trop rapide, trop simple.
Les Inrockuptibles
Un documentaire analytique sur le conflit kurde extrêmement péremptoire dans sa présentation.
Télérama
(...) l'ex-nouveau philosophe a (...) le mérite d'être plus discret à l'écran. Mais sa voix est encore trop présente : sa lecture, souvent malhabile, d'un commentaire emphatique et clichetonneux sur la guerre, appauvrit les images impressionnantes, saisies par ses cameramen au coeur des batailles.