Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Tantôt émouvant dans les relations avec le père ou absurde quand les héros rencontrent un Inuit et son fusil, ce conte séduit par son excentricité. Il y a un auteur dans cette chronique pour laquelle Sébastien Betbeder apprivoise son décor autant que ses personnages. On sort ravis d’avoir participé à ce périple chaleureux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Pierre Charpilloz
"Le Voyage au Groenland" est une comédie, une vraie, avec des séquences franchement hilarantes. Mais pour autant, Betbeder traite son sujet avec un sérieux et une exigence de naturaliste, d’ethnographe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
On pouvait craindre un exotisme de carte postale mais Thomas et Thomas n’oublient pas d’emporter dans leurs bagages la discrète mélancolie parisienne qui caractérise le cinéma de Sebastien Betbeder.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Le rire qu’il soit franc ou léger masque une dimension plus amère qui l’air de rien élève le film du statut de petite chose sympathique mais éventuellement anecdotique à celui de portrait juste et lucide.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Hélèna Villovitch
Thomas Scimeca et Thomas Blanchard ne sont pas bronzés et ne font pas de ski, mais leurs micro-mésaventures enneigées nous font fondre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
"Le Voyage au Groenland" ménage de belles et délicates rencontres sur la banquise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C’est souvent drôle, intelligent et très agréable à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Cette suave chronique arctique est l’aboutissement, in situ, d’un rêve de voyage polaire à l’issue duquel les héros auront gagné en maturité.
Libération
par Luc Chessel
(...) une expérience déjantée servie par des comédiens formidables.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une comédie anthropologique où la fiction amicale et filiale qui s'y déploie met face à face des personnages attachants, dessinés d'une plume légère et juste (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre zénitude et mélancolie, un voyage en terre glaciale qui réchauffe le cœur et l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Sandra Benedetti
Deux trentenaires un peu mous, un peu losers, fades et inconsistants au début, qui se révèlent attachants dans la seconde moitié de cette incursion en terre inconnue, piquetée d'humour et de beaux paysages.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Partis se ressourcer au sein de la communauté inuit, deux trentenaires parisiens éprouvent leur amitié. Nouvel et ravissant opus d’un réalisateur très porté sur l’humour et la mélancolie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’univers un peu lunaire et poétique de Sébastien Betbeder, pour une comédie inégale, mais sympathique comme ses personnages, et utile en tout cas au rapprochement franco-inuit !
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À la lisière du documentaire, cette comédie pittoresque et sans prétention parle de relation père-fils, d’amitié, de précarité des intermittents du spectacle à travers un duo d’ados attardés attachants.
Le Monde
par Noémie Luciani
C’est au Groenland que Sébastien Betbeder emmène un groupuscule de marginaux fuir l’oppression parisienne. Entre blancheurs poétiques et situations loufoques, mélancolie familiale et émerveillements culturels, son film manque parfois un peu de nerf mais pas de ce charme étrange et décalé qui fait le sel de son cinéma.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un film délibérément naïf, récit de voyage où les couleurs bariolées des maisons du Grand Nord répondent à celles des chauds manteaux où s'emmitouflent les français, qui défile à la fois comme une BD initiatique et une petite comédie du déphasage.
Positif
par Adrien Gombeaud
Si la personnalité irritante de ces ados attardés provoque quelques gags, elle limite aussi la portée du projet.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Il en découle de savoureux moments, même si, hélas, cette comédie fonctionne toujours sur les mêmes ressorts.
Télérama
par Jacques Morice
Le scénario aurait mérité d'être un peu plus étoffé — le caractère juvénile des antihéros et leur maladresse virent parfois à la facilité. Mais le film parle bien des différences culturelles et de la difficulté à se réaliser. Et exhale un charme certain, dépaysant à coup sûr.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
À quoi bon faire 4 000 kilomètres pour le gag où Thomas et Thomas se tournent les pouces dans leur chambre groenlandaise ? Si l’aventure reste immiscible, c’est aussi que l’invention est molle.
20 Minutes
Tantôt émouvant dans les relations avec le père ou absurde quand les héros rencontrent un Inuit et son fusil, ce conte séduit par son excentricité. Il y a un auteur dans cette chronique pour laquelle Sébastien Betbeder apprivoise son décor autant que ses personnages. On sort ravis d’avoir participé à ce périple chaleureux.
Bande à part
"Le Voyage au Groenland" est une comédie, une vraie, avec des séquences franchement hilarantes. Mais pour autant, Betbeder traite son sujet avec un sérieux et une exigence de naturaliste, d’ethnographe.
Critikat.com
On pouvait craindre un exotisme de carte postale mais Thomas et Thomas n’oublient pas d’emporter dans leurs bagages la discrète mélancolie parisienne qui caractérise le cinéma de Sebastien Betbeder.
Culturopoing.com
Le rire qu’il soit franc ou léger masque une dimension plus amère qui l’air de rien élève le film du statut de petite chose sympathique mais éventuellement anecdotique à celui de portrait juste et lucide.
Elle
Thomas Scimeca et Thomas Blanchard ne sont pas bronzés et ne font pas de ski, mais leurs micro-mésaventures enneigées nous font fondre.
L'Humanité
"Le Voyage au Groenland" ménage de belles et délicates rencontres sur la banquise.
L'Obs
C’est souvent drôle, intelligent et très agréable à suivre.
Les Fiches du Cinéma
Cette suave chronique arctique est l’aboutissement, in situ, d’un rêve de voyage polaire à l’issue duquel les héros auront gagné en maturité.
Libération
(...) une expérience déjantée servie par des comédiens formidables.
Sud Ouest
Une comédie anthropologique où la fiction amicale et filiale qui s'y déploie met face à face des personnages attachants, dessinés d'une plume légère et juste (...).
aVoir-aLire.com
Entre zénitude et mélancolie, un voyage en terre glaciale qui réchauffe le cœur et l’esprit.
L'Express
Deux trentenaires un peu mous, un peu losers, fades et inconsistants au début, qui se révèlent attachants dans la seconde moitié de cette incursion en terre inconnue, piquetée d'humour et de beaux paysages.
La Voix du Nord
Partis se ressourcer au sein de la communauté inuit, deux trentenaires parisiens éprouvent leur amitié. Nouvel et ravissant opus d’un réalisateur très porté sur l’humour et la mélancolie.
Le Dauphiné Libéré
L’univers un peu lunaire et poétique de Sébastien Betbeder, pour une comédie inégale, mais sympathique comme ses personnages, et utile en tout cas au rapprochement franco-inuit !
Le Journal du Dimanche
À la lisière du documentaire, cette comédie pittoresque et sans prétention parle de relation père-fils, d’amitié, de précarité des intermittents du spectacle à travers un duo d’ados attardés attachants.
Le Monde
C’est au Groenland que Sébastien Betbeder emmène un groupuscule de marginaux fuir l’oppression parisienne. Entre blancheurs poétiques et situations loufoques, mélancolie familiale et émerveillements culturels, son film manque parfois un peu de nerf mais pas de ce charme étrange et décalé qui fait le sel de son cinéma.
Les Inrockuptibles
Un film délibérément naïf, récit de voyage où les couleurs bariolées des maisons du Grand Nord répondent à celles des chauds manteaux où s'emmitouflent les français, qui défile à la fois comme une BD initiatique et une petite comédie du déphasage.
Positif
Si la personnalité irritante de ces ados attardés provoque quelques gags, elle limite aussi la portée du projet.
Studio Ciné Live
Il en découle de savoureux moments, même si, hélas, cette comédie fonctionne toujours sur les mêmes ressorts.
Télérama
Le scénario aurait mérité d'être un peu plus étoffé — le caractère juvénile des antihéros et leur maladresse virent parfois à la facilité. Mais le film parle bien des différences culturelles et de la difficulté à se réaliser. Et exhale un charme certain, dépaysant à coup sûr.
Cahiers du Cinéma
À quoi bon faire 4 000 kilomètres pour le gag où Thomas et Thomas se tournent les pouces dans leur chambre groenlandaise ? Si l’aventure reste immiscible, c’est aussi que l’invention est molle.