Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Petra , œuvre dépressive, est fascinante, car racontée avec la force puissante d’un thriller psychologique redoutablement efficace. Et l’on est pris, happé par une forme de suspense, avec des twists imprévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
La simplicité apparente du récit ne doit pas faire oublier la brillante construction orchestrée de main de maître par Rosales qui choisit de bouleverser Sa narration en inversant les différents chapitres qui la constituent.
Positif
par Nicolas Bauche
OEdipe au féminin, "Petra" n’a pas fini d’interroger nos sphinx intérieurs.
Transfuge
par Serge Kaganski
Si cet appareillage formaliste nous a semblé répétitif et si l’on n’est pas certain d’avoir toujours saisi sa nécessité et son sens, "Petra" emporte néanmoins le morceau grâce aux comédiens qui donnent chair, pulsation et épaisseur à cette histoire à tiroirs.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Pris au piège de leurs mensonges, les personnages subissent les coïncidences fatales du jeu dont ils sont les marionnettes. Le film, heureusement, échappe à son apparente misanthropie en se refusant à tout pathos.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ardu et stimulant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce très beau film, élégant sous la noirceur, est illuminé par la pureté du visage et les regards interrogatifs, toujours sur le qui-vive, de Barbara Lennie, l’étoile montante du cinéma espagnol.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Michaël Naulin
Non-dits et violence psychologique sont la colonne vertébrale de ce mélo intello du réalisateur espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Étonnant, ce récit chapitré, à la structure narrative bouleversée pour ménager le suspense, qui privilégie le hors-champ et la distance pour filmer des horreurs, entre Michael Haneke et Yorgos Lanthimos.
Télérama
par Cécile Mury
Jaime Rosales use des outils de cinéma pour mettre la douleur et le romanesque à distance. Quand il s’agit d’évoquer la noire emprise d’un grand manipulateur, ce parti pris est d’une cruauté brillante. Il est moins convaincant dès lors qu’il nous isole des « victimes » et de leurs émotions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une jeune artiste y fait la connaissance d’un plasticien renommé, vieux pervers qui brise tous les êtres qui l’entourent. C’est le programme, un peu fastidieux, du film.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Avec cette tragédie sens dessus dessous et au ludisme très théorique, le brillant Jaime Rosales ("La Soledad") manque sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Petra semble prendre au pied de la lettre le concept du « film de salauds » : plutôt que mettre en scène l’ignominie d’un personnage, autant en faire l’auteur du film.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Jaime Rosales surfe en permanence sur le haut de la vague de la misanthropie avec une complaisance à faire rougir Michael Haneke, Michel Franco et autres Christian Mungiu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
C’est glauque et ce n’est qu’un début. À chaque drame, le cinéaste espagnol, d’une misanthropie à faire passer Haneke pour un sentimental, cherche un tic de mise en scène (split screen, téléobjectif...) pour raconter ses histoires torturées. Beau, peut-être. Con, assurément.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Petra , œuvre dépressive, est fascinante, car racontée avec la force puissante d’un thriller psychologique redoutablement efficace. Et l’on est pris, happé par une forme de suspense, avec des twists imprévisibles.
La Septième Obsession
La simplicité apparente du récit ne doit pas faire oublier la brillante construction orchestrée de main de maître par Rosales qui choisit de bouleverser Sa narration en inversant les différents chapitres qui la constituent.
Positif
OEdipe au féminin, "Petra" n’a pas fini d’interroger nos sphinx intérieurs.
Transfuge
Si cet appareillage formaliste nous a semblé répétitif et si l’on n’est pas certain d’avoir toujours saisi sa nécessité et son sens, "Petra" emporte néanmoins le morceau grâce aux comédiens qui donnent chair, pulsation et épaisseur à cette histoire à tiroirs.
Critikat.com
Pris au piège de leurs mensonges, les personnages subissent les coïncidences fatales du jeu dont ils sont les marionnettes. Le film, heureusement, échappe à son apparente misanthropie en se refusant à tout pathos.
L'Obs
Ardu et stimulant.
La Croix
Ce très beau film, élégant sous la noirceur, est illuminé par la pureté du visage et les regards interrogatifs, toujours sur le qui-vive, de Barbara Lennie, l’étoile montante du cinéma espagnol.
Le Figaro
Non-dits et violence psychologique sont la colonne vertébrale de ce mélo intello du réalisateur espagnol.
Le Journal du Dimanche
Étonnant, ce récit chapitré, à la structure narrative bouleversée pour ménager le suspense, qui privilégie le hors-champ et la distance pour filmer des horreurs, entre Michael Haneke et Yorgos Lanthimos.
Télérama
Jaime Rosales use des outils de cinéma pour mettre la douleur et le romanesque à distance. Quand il s’agit d’évoquer la noire emprise d’un grand manipulateur, ce parti pris est d’une cruauté brillante. Il est moins convaincant dès lors qu’il nous isole des « victimes » et de leurs émotions.
Le Monde
Une jeune artiste y fait la connaissance d’un plasticien renommé, vieux pervers qui brise tous les êtres qui l’entourent. C’est le programme, un peu fastidieux, du film.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette tragédie sens dessus dessous et au ludisme très théorique, le brillant Jaime Rosales ("La Soledad") manque sa cible.
Cahiers du Cinéma
Petra semble prendre au pied de la lettre le concept du « film de salauds » : plutôt que mettre en scène l’ignominie d’un personnage, autant en faire l’auteur du film.
Les Inrockuptibles
Jaime Rosales surfe en permanence sur le haut de la vague de la misanthropie avec une complaisance à faire rougir Michael Haneke, Michel Franco et autres Christian Mungiu.
Première
C’est glauque et ce n’est qu’un début. À chaque drame, le cinéaste espagnol, d’une misanthropie à faire passer Haneke pour un sentimental, cherche un tic de mise en scène (split screen, téléobjectif...) pour raconter ses histoires torturées. Beau, peut-être. Con, assurément.