Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un an après avoir été en compétition avec le magnifique "Notre petite soeur", Hirokazu Kore-Eda filme avec tendresse le roman d'une éducation.
Bande à part
par Jo Fishley
"Après la tempête", ne restent plus que des désillusions et des rêves impossibles. On devrait s’enfuir, l’histoire nous retient, avec son extraordinaire fragilité, que l’on accueille à bras ouverts, comme un beau film à la tristesse nonchalante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Moins acharné et plus ouvert, le style de Kore-eda a atteint une sorte d’apaisement propice aux échappées belles.
Critikat.com
par Axel Scoffier
(...) le film est pétri de qualités, de détails subtils, et se nourrit d’un naturel délicieusement authentique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Les héros de Kore-eda sont irrémédiablement solitaires et le réalisateur réussit à exprimer leur amertume, sans qu'elle ne soit entachée d'un pessimisme absolu. Il y a toujours un horizon, fût-il rêvé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Voilà un film envoûtant. Et quel plaisir de revoir à l'écran l'immense actrice Kiki Kirm, qui nous avait enthousiasmés dans "Les Delices de Tokyo" !
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans cette chronique acide des sentiments déçus, le délitement sentimental est magnifiquement scruté par un cinéaste dont l’écriture délicate cisèle des personnages tout en nuances.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce très beau film du Japonais Kore-Eda interroge avec délicatesse la force du lien et l’aspiration intime.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Claire Micallef
C’est l’insoutenable difficulté du « métier de vivre » que capte, l’air de rien, Kore-eda, dans ce film où la famille est moins une planche de salut qu’un refuge temporaire.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Kore-eda sait peindre mieux que personne les drames de famille : il le fait ici avec une sorte d’amertume larvée, dans une atmosphère un peu blême, où passent les espoirs déçus, les ambitions éteintes, les choses grises de la vie.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le Japonais Hirokazu Kore-eda retrouve du mordant en contant les errements familiaux d’un ex-écrivain devenu détective privé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Fable douce-amère typique de l'oeuvre du réalisateur Hirozaku Kore-Eda, qui poursuit sa réflexion sur les problèmes qui minent la société japonaise moderne, "Après la tempête" parvient à émouvoir et à faire sourire, et à nous attacher à ses jolis personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Un soir de typhon, à Tokyo, une famille disloquée est contrainte de passer la nuit ensemble. Bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
"Après la tempête", c’est ce qui reste de soi une fois passés les ambitions, les espoirs, les aspirations, une fois survenus l’amertume, l’échec, les déceptions. Voilà ce que dit avec une grande délicatesse et une douce langueur ce beau film grave et lent.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Films délicats, donc fragiles. La légèreté de touche du cinéaste japonais comporte un risque, bien présent ici encore, qui n’altère en rien l’image que nous avons de lui ni notre admiration : celui de l’oubli immédiat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Une belle étude sur la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gaël Golhen
Fragile et précieux.
Paris Match
par Yannick Vely
Il ne faut surtout pas imaginer un film «machiste» ou misogyne, bien au contraire. Alors qu'Hirokazu Kore-Eda avait mis en scène la démission d'une mère dans «Nobody Knows», il signe aussi deux très beaux portraits de femme, avec une irrésistible Kirin Kiki dans le rôle de la grand-mère prête à tout pour le bonheur de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
À la différence de ses précédents films, "Après la tempête" va plus profond, plus près de l’os, laissant une impression durable et presque douloureuse. Probablement parce qu’il touche un nerf particulièrement sensible lorsqu’il interroge son personnage sur ce qu’il a fait de sa vie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Cette façon de déployer le récit en suivant la menace météorologique, faisant ressentir la tension émotionnelle mais aussi la mélancolie de l'époque, cette façon de montrer en quelques plans la limpidité de l'enfance, la puissance des symboles et la brièveté de la vie, fait tout le prix d'un film qui, malgré sa complexité, propose une stylisation pleine de fraîcheur.
Télérama
par Cécile Mury
Moins poignant et magistral que d'autres incursions du disciple d'Ozu et de Naruse dans l'arrière-cour de ses compatriotes (...), ce film puise pourtant à la même source amère, au même flux tendu de deuils, de rancoeurs et de fêlures, de débandade sociale et financière, mais aussi d'amour — compliqué et déglingué.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Beau portrait de famille, intimiste et universel, pudique et élégant, ce récit épuré confirme le talent d’un cinéaste devenu le digne héritier de Ozu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un écrivain à la dérive tente tant bien que mal d’élever son fils. Le roman d’une éducation, une réflexion sur la transmission, tendrement filmés par un cinéaste nippon en mode mineur.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Doué d’une belle image mélancolique et d’un scénario qui n’en dit jamais trop, Après la tempête confirme le talent de portraitiste de Hirokazu Kore-Eda.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une interprétation excellente (Kiki Kilin, matriarche pétillante), le récit manque d’enjeu et d’émotion, même si on éprouve de la compassion pour les personnages. Cela ne suffit pas à sauver ce drame de l’ennui.
Le Figaro
Un an après avoir été en compétition avec le magnifique "Notre petite soeur", Hirokazu Kore-Eda filme avec tendresse le roman d'une éducation.
Bande à part
"Après la tempête", ne restent plus que des désillusions et des rêves impossibles. On devrait s’enfuir, l’histoire nous retient, avec son extraordinaire fragilité, que l’on accueille à bras ouverts, comme un beau film à la tristesse nonchalante.
Cahiers du Cinéma
Moins acharné et plus ouvert, le style de Kore-eda a atteint une sorte d’apaisement propice aux échappées belles.
Critikat.com
(...) le film est pétri de qualités, de détails subtils, et se nourrit d’un naturel délicieusement authentique.
Culturopoing.com
Les héros de Kore-eda sont irrémédiablement solitaires et le réalisateur réussit à exprimer leur amertume, sans qu'elle ne soit entachée d'un pessimisme absolu. Il y a toujours un horizon, fût-il rêvé.
Elle
Voilà un film envoûtant. Et quel plaisir de revoir à l'écran l'immense actrice Kiki Kirm, qui nous avait enthousiasmés dans "Les Delices de Tokyo" !
L'Obs
Dans cette chronique acide des sentiments déçus, le délitement sentimental est magnifiquement scruté par un cinéaste dont l’écriture délicate cisèle des personnages tout en nuances.
La Croix
Ce très beau film du Japonais Kore-Eda interroge avec délicatesse la force du lien et l’aspiration intime.
La Septième Obsession
C’est l’insoutenable difficulté du « métier de vivre » que capte, l’air de rien, Kore-eda, dans ce film où la famille est moins une planche de salut qu’un refuge temporaire.
Le Dauphiné Libéré
Kore-eda sait peindre mieux que personne les drames de famille : il le fait ici avec une sorte d’amertume larvée, dans une atmosphère un peu blême, où passent les espoirs déçus, les ambitions éteintes, les choses grises de la vie.
Le Monde
Le Japonais Hirokazu Kore-eda retrouve du mordant en contant les errements familiaux d’un ex-écrivain devenu détective privé.
Le Parisien
Fable douce-amère typique de l'oeuvre du réalisateur Hirozaku Kore-Eda, qui poursuit sa réflexion sur les problèmes qui minent la société japonaise moderne, "Après la tempête" parvient à émouvoir et à faire sourire, et à nous attacher à ses jolis personnages.
Le Point
Un soir de typhon, à Tokyo, une famille disloquée est contrainte de passer la nuit ensemble. Bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
"Après la tempête", c’est ce qui reste de soi une fois passés les ambitions, les espoirs, les aspirations, une fois survenus l’amertume, l’échec, les déceptions. Voilà ce que dit avec une grande délicatesse et une douce langueur ce beau film grave et lent.
Les Inrockuptibles
Films délicats, donc fragiles. La légèreté de touche du cinéaste japonais comporte un risque, bien présent ici encore, qui n’altère en rien l’image que nous avons de lui ni notre admiration : celui de l’oubli immédiat.
Libération
Une belle étude sur la transmission.
Ouest France
Fragile et précieux.
Paris Match
Il ne faut surtout pas imaginer un film «machiste» ou misogyne, bien au contraire. Alors qu'Hirokazu Kore-Eda avait mis en scène la démission d'une mère dans «Nobody Knows», il signe aussi deux très beaux portraits de femme, avec une irrésistible Kirin Kiki dans le rôle de la grand-mère prête à tout pour le bonheur de sa famille.
Première
À la différence de ses précédents films, "Après la tempête" va plus profond, plus près de l’os, laissant une impression durable et presque douloureuse. Probablement parce qu’il touche un nerf particulièrement sensible lorsqu’il interroge son personnage sur ce qu’il a fait de sa vie.
Sud Ouest
Cette façon de déployer le récit en suivant la menace météorologique, faisant ressentir la tension émotionnelle mais aussi la mélancolie de l'époque, cette façon de montrer en quelques plans la limpidité de l'enfance, la puissance des symboles et la brièveté de la vie, fait tout le prix d'un film qui, malgré sa complexité, propose une stylisation pleine de fraîcheur.
Télérama
Moins poignant et magistral que d'autres incursions du disciple d'Ozu et de Naruse dans l'arrière-cour de ses compatriotes (...), ce film puise pourtant à la même source amère, au même flux tendu de deuils, de rancoeurs et de fêlures, de débandade sociale et financière, mais aussi d'amour — compliqué et déglingué.
aVoir-aLire.com
Beau portrait de famille, intimiste et universel, pudique et élégant, ce récit épuré confirme le talent d’un cinéaste devenu le digne héritier de Ozu.
La Voix du Nord
Un écrivain à la dérive tente tant bien que mal d’élever son fils. Le roman d’une éducation, une réflexion sur la transmission, tendrement filmés par un cinéaste nippon en mode mineur.
Rolling Stone
Doué d’une belle image mélancolique et d’un scénario qui n’en dit jamais trop, Après la tempête confirme le talent de portraitiste de Hirokazu Kore-Eda.
Le Journal du Dimanche
Malgré une interprétation excellente (Kiki Kilin, matriarche pétillante), le récit manque d’enjeu et d’émotion, même si on éprouve de la compassion pour les personnages. Cela ne suffit pas à sauver ce drame de l’ennui.