Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Femme Actuelle
par La rédaction
On a adoré ce biopic explosif à la fois burlesque et tragique porté par Margot Robbie et son interprétation triple axel.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "The Finest Hours" n’a pas choisi un format classique, ce qui rend ce biopic passionnant.
CNews
par La rédaction
Dans une mise en scène au montage impétueux et haché, "Moi, Tonya" fait usage d'un ton bourré d'ironie. L'écueil du mélodrame est ainsi évité pour livrer un récit agité, qui fait le portrait d'une femme meurtrie et belliqueuse.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Gillespie offre à ce conte de fées raté un écrin normcore, aussi immoral que sophistiqué : comme la survivante qu'elle est, Tonya Hardmg en sort presque grandie.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Faux biopic mais vraie réussite, "Moi, Tonya" est une comédie grinçante, décapante et réjouissante, d'une énergie folle. Avec Margot Robbie et Allison Janney en armes de destruction massive.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Mise en scène musclée, interviews reconstituées, un peu d'humour, beaucoup de flash-back, le portrait de cette héroïne incomprise et white trash est ultra convaincant.
Franceinfo Culture
par Laurent Hakim
(...) "Moi Tonya" est presque un polar, et que le prisme du biopic, donne toute sa chair à une aventure que l’on avait perçue beaucoup plus froidement à travers l’actualité d’un fait divers.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
La narration et la mise en scène de ce singulier biopic sont épatantes. Du début à la fin, ça glisse tout seul.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La virtuosité de ce film tragi-comique tient à sa mise en scène électrique, au découpage efficace d'un scénario inventif, à l'impression de vitesse de toutes les scènes spectaculaires de patinage (dont le fameux triple axel, exploit inédit de Tonya Harding, filmé dans son étourdissant mouvement), à la bande-son où le crissement des lames sur la glace se mêle à la musique pop qu'affectionnait la patineuse pour ses figures.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Et si la façon d'en fouiller les profondeurs s'allonge de manière parfois un peu redondante, l'acidité cruelle d'un humour noir qui désamorce tout apitoiement et toute empathie fait de la simple chronique d'un scandale sportif une réjouissante vision au scalpel du rêve américain.
Le Figaro
par Éric Neuhoff
Craig Gillespie filme la violence quotidienne, les illusions qui volent en éclats, l'injustice qui cause plus de dégâts que les paires de claque. Il montre la cruauté du sport professionnel, ponctue les témoignages de musiques d'époque (Chicago, Fleetwood Mac, Supertramp), suit à la trace cette icône déchue.
Le Parisien
par Renaud Baronian
« Moi, Tonya » offre un regard nouveau sur cette sale histoire en déroulant le fil de la vie de l’athlète.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Curieusement glauque et enjoué à la fois, "Moi, Tonya" orchestre surtout un magnifique duo entre Robbie et l'actrice Allison Janney.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
La mise en scène de Gillespie manque d'ampleur et de subtilité, maîs se rattrape par un montage dynamique, et en refusant d'atténuer la méchanceté du scénario Une méchanceté qui vole dans les plumes de la bien-pensance américaine, et dont le climax évoque, en matière d'absurde et de macabre, le "Fargo" des frères Coen...
Marianne
par La rédaction
Dans "Moi, Tonya", aux antipodes de tout académisme, Craig Gillespie dresse le portrait d'une antihéroïne américaine, marquée au fer rouge par le déterminisme social et une relation terrible avec sa mère.
Rolling Stone
par La rédaction
On s’amuse, on s’indigne, on s’apitoie (le racisme social dont était victime Harding est clairement démontré) et on rit.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Passionnant biopic (...).
Télérama
par Samuel Douhaire
Grâce à Margot Robbie, la comédie féroce de "Moi, Tonya" se révèle, aussi, un émouvant portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Dans la peau de la patineuse artistique Tonya Harding, Margot Robbie déploie une symphonie d’énergie, de vulgarité et de fêlures à couper le souffle.
Voici
par Lola Sciamma
Cette comédie noire rock'n'roll parle moins de la guerre entre les deux patineuses que du parcours de Tonya (...).
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
(...) un film cash, politiquement incorrect et qui a trouvé le parfait équilibre entre humour, émotion et mouvements bruts de caméras pour reproduire au mieux les incroyables figures réalisées par une Tonya Harding qui donnait tout (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Via ce cynisme détonnant, Craig Gillespie adapte le ton de son film (hardi, impoli voire insolent) à la personnalité de Tonya Harding (provocatrice, impertinente et bourrée d’orgueil) (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Tourné à la manière d’un documentaire avec interviews face caméra, ce biopic atypique vaut pour son humour caustique, son rythme soutenu ainsi que son approche réaliste d’un sport impitoyable.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur Craig Gillespie et le scénariste Steven Rogers ont préféré la comédie, le second degré, zigzaguant entre faux documentaire et farce, ne trouvant un semblant d’humanité que par la grâce de l’interprète du rôle-titre, Margot Robbie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jérémy Piette
Un peu plus de subtilité et un choix précis de mise en scène auraient pu nous permettre de slalomer vraiment à ses côtés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est incorrect, drôle, vif et Margot Robbie est impressionnante mais, malheureusement, le procédé s'essoufle avant la fin.
Première
par Sylvestre Picard
Plus qu'un film à Oscars « d'après une histoire vraie » où brille Margot Robbie, "Moi, Tonya" est surtout une comédie trash très, très drôle avec une galerie de personnages déments menés par une Allison Janney en mode "Full Metal Jacket".
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Une reconstitution convaincante, même si la violence éclate parfois avec une légèreté déconcertante.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On dira qu’il s’agit là de satire, mais à quoi bon une satire qui enfonce des portes ouvertes et se trompe de cible.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Pastichant David O. Russell dans ce qu’il peut avoir de plus agaçant (les tics, l’enflure, le cynisme), Gillespie se fourvoie pour quelques rires faciles sur le dos de pauvres gens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Adrien Gombeaud
"Moi, Tonya" préfère ridiculiser ses personnages et transformer une tragédie en comédie grinçante.
L'Obs
par François Forestier
Bref, c'est une histoire sans le moindre intérêt, sinon de présenter la mère de Tonya Harding, LaVona, comme une salope atteinte de démence couvant une méchanceté baveuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
On a adoré ce biopic explosif à la fois burlesque et tragique porté par Margot Robbie et son interprétation triple axel.
20 Minutes
Le réalisateur de "The Finest Hours" n’a pas choisi un format classique, ce qui rend ce biopic passionnant.
CNews
Dans une mise en scène au montage impétueux et haché, "Moi, Tonya" fait usage d'un ton bourré d'ironie. L'écueil du mélodrame est ainsi évité pour livrer un récit agité, qui fait le portrait d'une femme meurtrie et belliqueuse.
CinemaTeaser
Gillespie offre à ce conte de fées raté un écrin normcore, aussi immoral que sophistiqué : comme la survivante qu'elle est, Tonya Hardmg en sort presque grandie.
Ecran Large
Faux biopic mais vraie réussite, "Moi, Tonya" est une comédie grinçante, décapante et réjouissante, d'une énergie folle. Avec Margot Robbie et Allison Janney en armes de destruction massive.
Elle
Mise en scène musclée, interviews reconstituées, un peu d'humour, beaucoup de flash-back, le portrait de cette héroïne incomprise et white trash est ultra convaincant.
Franceinfo Culture
(...) "Moi Tonya" est presque un polar, et que le prisme du biopic, donne toute sa chair à une aventure que l’on avait perçue beaucoup plus froidement à travers l’actualité d’un fait divers.
L'Express
La narration et la mise en scène de ce singulier biopic sont épatantes. Du début à la fin, ça glisse tout seul.
La Croix
La virtuosité de ce film tragi-comique tient à sa mise en scène électrique, au découpage efficace d'un scénario inventif, à l'impression de vitesse de toutes les scènes spectaculaires de patinage (dont le fameux triple axel, exploit inédit de Tonya Harding, filmé dans son étourdissant mouvement), à la bande-son où le crissement des lames sur la glace se mêle à la musique pop qu'affectionnait la patineuse pour ses figures.
Le Dauphiné Libéré
Et si la façon d'en fouiller les profondeurs s'allonge de manière parfois un peu redondante, l'acidité cruelle d'un humour noir qui désamorce tout apitoiement et toute empathie fait de la simple chronique d'un scandale sportif une réjouissante vision au scalpel du rêve américain.
Le Figaro
Craig Gillespie filme la violence quotidienne, les illusions qui volent en éclats, l'injustice qui cause plus de dégâts que les paires de claque. Il montre la cruauté du sport professionnel, ponctue les témoignages de musiques d'époque (Chicago, Fleetwood Mac, Supertramp), suit à la trace cette icône déchue.
Le Parisien
« Moi, Tonya » offre un regard nouveau sur cette sale histoire en déroulant le fil de la vie de l’athlète.
Le Point
Curieusement glauque et enjoué à la fois, "Moi, Tonya" orchestre surtout un magnifique duo entre Robbie et l'actrice Allison Janney.
Les Fiches du Cinéma
La mise en scène de Gillespie manque d'ampleur et de subtilité, maîs se rattrape par un montage dynamique, et en refusant d'atténuer la méchanceté du scénario Une méchanceté qui vole dans les plumes de la bien-pensance américaine, et dont le climax évoque, en matière d'absurde et de macabre, le "Fargo" des frères Coen...
Marianne
Dans "Moi, Tonya", aux antipodes de tout académisme, Craig Gillespie dresse le portrait d'une antihéroïne américaine, marquée au fer rouge par le déterminisme social et une relation terrible avec sa mère.
Rolling Stone
On s’amuse, on s’indigne, on s’apitoie (le racisme social dont était victime Harding est clairement démontré) et on rit.
Télé 7 Jours
Passionnant biopic (...).
Télérama
Grâce à Margot Robbie, la comédie féroce de "Moi, Tonya" se révèle, aussi, un émouvant portrait de femme.
VSD
Dans la peau de la patineuse artistique Tonya Harding, Margot Robbie déploie une symphonie d’énergie, de vulgarité et de fêlures à couper le souffle.
Voici
Cette comédie noire rock'n'roll parle moins de la guerre entre les deux patineuses que du parcours de Tonya (...).
aVoir-aLire.com
(...) un film cash, politiquement incorrect et qui a trouvé le parfait équilibre entre humour, émotion et mouvements bruts de caméras pour reproduire au mieux les incroyables figures réalisées par une Tonya Harding qui donnait tout (...).
Critikat.com
Via ce cynisme détonnant, Craig Gillespie adapte le ton de son film (hardi, impoli voire insolent) à la personnalité de Tonya Harding (provocatrice, impertinente et bourrée d’orgueil) (...).
Le Journal du Dimanche
Tourné à la manière d’un documentaire avec interviews face caméra, ce biopic atypique vaut pour son humour caustique, son rythme soutenu ainsi que son approche réaliste d’un sport impitoyable.
Le Monde
Le réalisateur Craig Gillespie et le scénariste Steven Rogers ont préféré la comédie, le second degré, zigzaguant entre faux documentaire et farce, ne trouvant un semblant d’humanité que par la grâce de l’interprète du rôle-titre, Margot Robbie.
Libération
Un peu plus de subtilité et un choix précis de mise en scène auraient pu nous permettre de slalomer vraiment à ses côtés.
Ouest France
C'est incorrect, drôle, vif et Margot Robbie est impressionnante mais, malheureusement, le procédé s'essoufle avant la fin.
Première
Plus qu'un film à Oscars « d'après une histoire vraie » où brille Margot Robbie, "Moi, Tonya" est surtout une comédie trash très, très drôle avec une galerie de personnages déments menés par une Allison Janney en mode "Full Metal Jacket".
Télé Loisirs
Une reconstitution convaincante, même si la violence éclate parfois avec une légèreté déconcertante.
Cahiers du Cinéma
On dira qu’il s’agit là de satire, mais à quoi bon une satire qui enfonce des portes ouvertes et se trompe de cible.
Les Inrockuptibles
Pastichant David O. Russell dans ce qu’il peut avoir de plus agaçant (les tics, l’enflure, le cynisme), Gillespie se fourvoie pour quelques rires faciles sur le dos de pauvres gens.
Positif
"Moi, Tonya" préfère ridiculiser ses personnages et transformer une tragédie en comédie grinçante.
L'Obs
Bref, c'est une histoire sans le moindre intérêt, sinon de présenter la mère de Tonya Harding, LaVona, comme une salope atteinte de démence couvant une méchanceté baveuse.