La Forme de l'eau - The Shape of Water : Critique presse
La Forme de l'eau - The Shape of Water
Note moyenne
4,1
37 titres de presse
Bande à part
Culturopoing.com
Elle
Femme Actuelle
Filmsactu
L'Ecran Fantastique
La Septième Obsession
Le Monde
Le Parisien
Mad Movies
Ouest France
Rolling Stone
Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
20 Minutes
Charlie Hebdo
CinemaTeaser
Ecran Large
Franceinfo Culture
L'Express
L'Obs
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Point
Marianne
Paris Match
Première
Public
Télé Loisirs
Télérama
La Croix
Libération
VSD
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Les Inrockuptibles
Transfuge
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Bande à part
par Fadette Drouard
Film après film, créature après créature, Guillermo del Toro poursuit son entreprise d’enchantement, allant puiser à la source de notre imaginaire collectif une véritable eau des merveilles. Ivre de beauté et de puissance, "La Forme de l’eau – The Shape of Water" est de la même veine féérique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli
Geste de cinéma total, fable humaniste dont la naïveté assumée refuse toute forme de cynisme, "La Forme de l’eau" est à la fois une œuvre de synthèse et de mutation pour Guillermo Del Toro, une sorte de versant lumineux du "Labyrinthe de Pan".
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
"La Forme de l’eau" est donc un film sur la tolérance, et même sur la bienveillance – chercher l’humanité jusque chez les créatures les plus improbables. Une pure merveille.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La rédaction
Entre thriller et mélodrame, ce film magnifiquement réalisé va vous emporter.
Filmsactu
par La rédaction
Une réussite totale et certainement le film que l'on attendait tous de Guillermo del Toro dont le talent va enfin pouvoir être reconnu et célébré au delà de la sphère des geeks et adorateurs de créatures que nous sommes.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
A la fois couronnement d'une carrière - pour ne pas dire chef-d'oeuvre -, déclaration d'amour au cinéma de monstre et hommage à une époque, "La Forme de l'eau" est une merveille de bout en bout.
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Si "La Forme de l'eau" ne s’arrête jamais pour converser, c’est pour mieux laisser la précision vertigineuse de la mise en scène travailler ses thèmes dans l’action. Les symboles paraissent évidents mais ils approfondissent toujours les différents sous-textes abordés par le cinéaste.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La Forme de l’eau est l’enchantement miroitant d’une forme en perpétuel mouvement. Un conte de fées baigné dans une diaprure bleu-vert, une comédie musicale dansée sur les ailes irisées du temps, une impossible histoire d’amour transgenre sous nos yeux scandaleusement consommée, un chant d’amour à l’égarement incongru, à la fantaisie salvatrice.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Il faut se laisser porter par cette fantaisie fantastique en prenant le risque de pleurer souvent, de rire par moments, et de s’enthousiasmer. Ce film fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Alexandre Poncet
(...) si la démarche peut évoquer un film de fan, la beauté qui s'en dégage est bien celle d'un conte à l'état primal.
Ouest France
par Christophe Narbonne
(...) un classique.
Rolling Stone
par Jessica Saval
La Forme de l'Eau demeure ce que le cinéma a fait de mieux depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un enchantement (...).
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Même si la naïveté du postulat peut freiner les cyniques, la beauté du nouveau conte gothique de Guillermo del Toro atteint une universalité et une résonance politique qui sont la marque des plus grands chefs-d’œuvre du genre. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
"La Forme de l’eau" (...) permet au réalisateur de "Hellbo"y de réunir ses obsessions – amours fantastiques, expériences interdites, suspense gothique – dans un superbe film somme.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
C'est un beau conte de fées d'eau stagnante et vaseuse, où la belle (...) et la bête ont une sexualité.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Porté par l’humanisme de son propos – un portrait mélancolique de l’homosexualité et amer du racisme ordinaire –, "La Forme de l'eau" vibre de l’élégance insufflée par Del Toro à chaque image, notamment grâce à ses sublimes décors de studio rétro et à sa mise en scène
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Lino Cassinat
Meilleur film du cinéaste depuis "Le Labyrinthe de Pan", "La Forme de l'eau" est aussi son oeuvre la plus rebelle et pourrait être son premier film d’adulte.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est l’émotion qui domine, les sentiments, l’amour, la reconnaissance dans la différence, pris dans un récit à la fois épique et intimiste, aux accents de thriller de science-fiction. C’est à se demander si Guillermo del Toro est capable de rater un film…
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Ce qu'il y a de beau et de touchant ici, c'est la simplicité avec laquelle del Toro raconte son histoire : pas d'excès, pas d'ironie, pas de flonflons, pas de cris, juste un remarquable appel à la tolérance et à la différence mis en scène en mouvements de caméra élégants et envoûtants.
L'Obs
par François Forestier
Parabole flamboyante sur la tolérance, fable incroyable sur la paranoïa de ces salauds de généraux, le film est un opéra grandiose, où chaque détail, chaque décor, chaque mouvement de caméra est juste (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La rédaction
(...) de ces éléments disparates, fondus dans des éclairages sous-marins d'émeraude et de topaze, le cinéaste fait une somme de divertissement et de rêve d'un charme lyrique inédit.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Rencontre entre "L’Étrange Créature du lac noir" et "La Belle et la Bête", avec des clins d’œil à "Delicatessen" et au "Fabuleux Destin d’Amélie Poulain", ce récit n’en est pas moins unique : à la fois film de monstre, drame romantique et pamphlet contre l’intolérance.
Le Point
par Philippe Guedj
Baigné d'une palette de couleurs saturées à la "Amélie Poulain", "La Forme de l'eau" est un joli conte aux finitions visuelles fouillées dans les moindres détails, une féerie candide et rétro délivrant un message humaniste (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par La rédaction
Hymne à la tolérance, au féminisme et à l'amour fou (...).
Paris Match
par Yannick Vely
Beau film qui mérite la pluie de récompenses...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
A la fois conte de fées pour adultes, déclaration d'amour au cinéma et fable politique, le dernier film de Guillermo del Toro fait l'unanimité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Un film fantasmagorique à la beauté surnaturelle.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Parabole fantastique, romance onirique et thriller historique, le film tient en haleine et délivre un joli message de tolérance - le monstre n'étant pas forcément celui qu'on croit.
Télérama
par Jacques Morice
"La Forme de l’eau" est un film enveloppant et foisonnant, qui déborde d’idées et de métaphores.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par La rédaction
Grand favori pour les Oscars, le film fantastique de Guillermo del Toro, variation très politique autour de la « Belle et la bête », manque de chavirer sous le poids de son message.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Olivier Lamm
Preuve que le cinéma de studios souffre d’une anémie d’audace et de créativité bien plus grave qu’une crise passagère, preuve également que Guillermo del Toro fait partie des rares réalisateurs à encore décemment s’y déployer, le très inégal "La Forme de l’eau" apparaît comme une bouffée d’air très pur dans une atmosphère raréfiée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par Bernard Achour
On se sent un peu seul dans ce concert de louanges, mais cette histoire d’amour aussi artificielle que maniérée entre une femme de ménage muette et une créature amphibie nous a laissés de marbre.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Pourquoi faut-il que tout cela se trouve noyé dans une abominable esthétique oscillant du jaune au verdâtre, et une naïveté constamment surjouée, déjà suffisamment établie par la grossièreté des éléments du récit ?
Critikat.com
par Damien Bonelli
Del Toro a beau l’avoir désencombré des fétiches qui muséifiait "Crimson Peak", son cinéma continue de s’enliser dans la nostalgie et l’hommage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L’imagination de Del Toro paraît prisonnière d’une surenchère dans le kitsch, au baroque flamboyant, à une gymnastique cinématographique inutile et disproportionnée par rapport à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Damien Aubel
Deux heures de faux merveilleux, de conte toc, édulcoré à la nostalgie des ambiances chromées sixties.
Bande à part
Film après film, créature après créature, Guillermo del Toro poursuit son entreprise d’enchantement, allant puiser à la source de notre imaginaire collectif une véritable eau des merveilles. Ivre de beauté et de puissance, "La Forme de l’eau – The Shape of Water" est de la même veine féérique.
Culturopoing.com
Geste de cinéma total, fable humaniste dont la naïveté assumée refuse toute forme de cynisme, "La Forme de l’eau" est à la fois une œuvre de synthèse et de mutation pour Guillermo Del Toro, une sorte de versant lumineux du "Labyrinthe de Pan".
Elle
"La Forme de l’eau" est donc un film sur la tolérance, et même sur la bienveillance – chercher l’humanité jusque chez les créatures les plus improbables. Une pure merveille.
Femme Actuelle
Entre thriller et mélodrame, ce film magnifiquement réalisé va vous emporter.
Filmsactu
Une réussite totale et certainement le film que l'on attendait tous de Guillermo del Toro dont le talent va enfin pouvoir être reconnu et célébré au delà de la sphère des geeks et adorateurs de créatures que nous sommes.
L'Ecran Fantastique
A la fois couronnement d'une carrière - pour ne pas dire chef-d'oeuvre -, déclaration d'amour au cinéma de monstre et hommage à une époque, "La Forme de l'eau" est une merveille de bout en bout.
La Septième Obsession
Si "La Forme de l'eau" ne s’arrête jamais pour converser, c’est pour mieux laisser la précision vertigineuse de la mise en scène travailler ses thèmes dans l’action. Les symboles paraissent évidents mais ils approfondissent toujours les différents sous-textes abordés par le cinéaste.
Le Monde
La Forme de l’eau est l’enchantement miroitant d’une forme en perpétuel mouvement. Un conte de fées baigné dans une diaprure bleu-vert, une comédie musicale dansée sur les ailes irisées du temps, une impossible histoire d’amour transgenre sous nos yeux scandaleusement consommée, un chant d’amour à l’égarement incongru, à la fantaisie salvatrice.
Le Parisien
Il faut se laisser porter par cette fantaisie fantastique en prenant le risque de pleurer souvent, de rire par moments, et de s’enthousiasmer. Ce film fait un bien fou.
Mad Movies
(...) si la démarche peut évoquer un film de fan, la beauté qui s'en dégage est bien celle d'un conte à l'état primal.
Ouest France
(...) un classique.
Rolling Stone
La Forme de l'Eau demeure ce que le cinéma a fait de mieux depuis bien longtemps.
Télé 7 Jours
Un enchantement (...).
aVoir-aLire.com
Même si la naïveté du postulat peut freiner les cyniques, la beauté du nouveau conte gothique de Guillermo del Toro atteint une universalité et une résonance politique qui sont la marque des plus grands chefs-d’œuvre du genre. Brillant.
20 Minutes
"La Forme de l’eau" (...) permet au réalisateur de "Hellbo"y de réunir ses obsessions – amours fantastiques, expériences interdites, suspense gothique – dans un superbe film somme.
Charlie Hebdo
C'est un beau conte de fées d'eau stagnante et vaseuse, où la belle (...) et la bête ont une sexualité.
CinemaTeaser
Porté par l’humanisme de son propos – un portrait mélancolique de l’homosexualité et amer du racisme ordinaire –, "La Forme de l'eau" vibre de l’élégance insufflée par Del Toro à chaque image, notamment grâce à ses sublimes décors de studio rétro et à sa mise en scène
Ecran Large
Meilleur film du cinéaste depuis "Le Labyrinthe de Pan", "La Forme de l'eau" est aussi son oeuvre la plus rebelle et pourrait être son premier film d’adulte.
Franceinfo Culture
C’est l’émotion qui domine, les sentiments, l’amour, la reconnaissance dans la différence, pris dans un récit à la fois épique et intimiste, aux accents de thriller de science-fiction. C’est à se demander si Guillermo del Toro est capable de rater un film…
L'Express
Ce qu'il y a de beau et de touchant ici, c'est la simplicité avec laquelle del Toro raconte son histoire : pas d'excès, pas d'ironie, pas de flonflons, pas de cris, juste un remarquable appel à la tolérance et à la différence mis en scène en mouvements de caméra élégants et envoûtants.
L'Obs
Parabole flamboyante sur la tolérance, fable incroyable sur la paranoïa de ces salauds de généraux, le film est un opéra grandiose, où chaque détail, chaque décor, chaque mouvement de caméra est juste (...).
Le Figaro
(...) de ces éléments disparates, fondus dans des éclairages sous-marins d'émeraude et de topaze, le cinéaste fait une somme de divertissement et de rêve d'un charme lyrique inédit.
Le Journal du Dimanche
Rencontre entre "L’Étrange Créature du lac noir" et "La Belle et la Bête", avec des clins d’œil à "Delicatessen" et au "Fabuleux Destin d’Amélie Poulain", ce récit n’en est pas moins unique : à la fois film de monstre, drame romantique et pamphlet contre l’intolérance.
Le Point
Baigné d'une palette de couleurs saturées à la "Amélie Poulain", "La Forme de l'eau" est un joli conte aux finitions visuelles fouillées dans les moindres détails, une féerie candide et rétro délivrant un message humaniste (...).
Marianne
Hymne à la tolérance, au féminisme et à l'amour fou (...).
Paris Match
Beau film qui mérite la pluie de récompenses...
Première
A la fois conte de fées pour adultes, déclaration d'amour au cinéma et fable politique, le dernier film de Guillermo del Toro fait l'unanimité.
Public
Un film fantasmagorique à la beauté surnaturelle.
Télé Loisirs
Parabole fantastique, romance onirique et thriller historique, le film tient en haleine et délivre un joli message de tolérance - le monstre n'étant pas forcément celui qu'on croit.
Télérama
"La Forme de l’eau" est un film enveloppant et foisonnant, qui déborde d’idées et de métaphores.
La Croix
Grand favori pour les Oscars, le film fantastique de Guillermo del Toro, variation très politique autour de la « Belle et la bête », manque de chavirer sous le poids de son message.
Libération
Preuve que le cinéma de studios souffre d’une anémie d’audace et de créativité bien plus grave qu’une crise passagère, preuve également que Guillermo del Toro fait partie des rares réalisateurs à encore décemment s’y déployer, le très inégal "La Forme de l’eau" apparaît comme une bouffée d’air très pur dans une atmosphère raréfiée.
VSD
On se sent un peu seul dans ce concert de louanges, mais cette histoire d’amour aussi artificielle que maniérée entre une femme de ménage muette et une créature amphibie nous a laissés de marbre.
Cahiers du Cinéma
Pourquoi faut-il que tout cela se trouve noyé dans une abominable esthétique oscillant du jaune au verdâtre, et une naïveté constamment surjouée, déjà suffisamment établie par la grossièreté des éléments du récit ?
Critikat.com
Del Toro a beau l’avoir désencombré des fétiches qui muséifiait "Crimson Peak", son cinéma continue de s’enliser dans la nostalgie et l’hommage.
Les Inrockuptibles
L’imagination de Del Toro paraît prisonnière d’une surenchère dans le kitsch, au baroque flamboyant, à une gymnastique cinématographique inutile et disproportionnée par rapport à son sujet.
Transfuge
Deux heures de faux merveilleux, de conte toc, édulcoré à la nostalgie des ambiances chromées sixties.