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    Hostiles
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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 357 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2018
    S’il y a bien une qualité qu’on ne peut – il me semble – pas renier à cet « Hostiles », c’est bien sa forme très léchée. Ah ça ! C’est magnifique. Pour qui voulait une belle balade dans l’Ouest sauvage, il/elle risque d’être servi. Mention spéciale pour la photographie qui rend vraiment justice à ces paysages tout en nuances mais aussi et surtout à cette science du mouvement qui donne toujours du relief à l’espace. Il n’est pas rare qu’un léger traveling à fleur d’herbe ou bien encore qu’un simple mouvement ascensionnel parvienne à rappeler toute la profondeur de ces lieux. Joli boulot aussi pour tout ce qui relève des défilements différenciés. Je pense notamment à ce magnifique plan en introduction où l’avancement léger de la caméra en direction de la cabane des Quaid est dépassé par l’avancement un peu plus rapide des cavaliers comanches : pour le coup je trouve qu’en termes de dynamisme de cadre, d’annonce de la péripétie et de mise en perspective du lieu et de l’action, c’est juste ultra efficace. Je pourrais dire la même chose de la musique. Je pourrais dire la même chose du montage qui sait prendre son temps et imposer son rythme. Je pourrais dire la même chose du casting au fond vraiment pertinent… Mais bon, pourtant pour moi, ce film, globalement, il n’a pas marché. Et s’il n’a pas marché c’est qu’à mon sens, il y a un aspect de la forme qui n’a pas été à la hauteur, et cet aspect c’est l’écriture. Bah oui : on l’oublie trop souvent, mais l’écriture c’est aussi de la forme. Or, là dans ce film, j’avoue que j’ai du mal à comprendre la logique et la pertinence de l’écriture. Déjà, j’ai un premier gros problème avec le fil conducteur de l’intrigue. Joe est un soldat qui a perdu beaucoup de compagnons d’armes à cause des Indiens. Il les déteste, mais il se doit d’en escorter un jusqu’à sa réserve pour qu’il y soit libéré. Difficile de ne pas voir le cheminement annoncé. De la haine, Joe va progressivement passer par une phase de remise en question au contact avec son prisonnier et à la fin de la destination, il ne sera plus le même homme. Le schéma est tellement connu que c’était comme si tout le chemin jusqu’à la réserve indienne avait été balisée comme une piste d’aéroport. Alors après, ce n’est pas forcément un souci de s’aventurer sur un chemin ultra-connu, mais encore faut-il que ce chemin soit agrémenté de quelque-chose qui sache compenser ce manque d’originalité. Seulement, sur ce plan là, « Hostiles » est aux abonnés absents. Le chemin est long. Sans surprise. Il est dilué par une plâtrée d’événements qui ne disent rien de neuf sur la situation et qui viennent rallonger une sauce déjà pas bien épaisse. Parmi ces moments là, le passage dans le village à mi-chemin est interminable. Voilà qu’en plus cet arrêt est un prétexte pour rajouter un nouvel élément d’intrigue ( spoiler: le convoi du prisonnier Wills
    ) pour lequel – là aussi – on voit toute une guirlande d’atterrissage s’allumer. Et bien évidemment ça ne manque pas : plus d’une heure d’intrigue se retrouvent ajoutée ; une heure de téléguidage sans surprise et surtout sans véritable évolution. D’ailleurs, c’est peut-être même sur ce dernier point que j’ai eu le plus de souci avec cet « Hostiles » : l’absence de véritable évolution. En gros, il ne faut pas longtemps pour voir le revirement s’opérer chez Joe. Même chose pour Quaid. Du coup, l’étalement de cette intrigue sur 2h13 est pour moi incompréhensible. Surtout que la teneur du propos est au fond assez simple et très peu creusée. Comme un signe assez révélateur d’ailleurs, la conclusion du film me semble totalement déconnectée du reste du propos, comme s’il avait fallu broder quelque-chose d’autre à côté du propos principal parce qu’au fond on était un peu à sec. ( spoiler: Bah oui ! Réfléchissons deux secondes à cette fin pour ceux qui l’ont vu. En guise de conclusion, on montre comment Joe décide finalement d’accepter de retenter une aventure familiale – retenter de s’attacher à des gens – en grimpant finalement dans le train. Seulement voilà, le personnage qui était confronté à cette problématique de reconstruction familiale, ce n’était pas Joe, c’était Quaid ! Or, dans cette fin, Quaid est celle qui est motivée pour refonder une famille ! La scène aurait eu du sens si ça avait été elle qui aurait refusé de monter dans le train pour finalement y monter au dernier moment ! Seulement, c’est Joe qu’on fait monter dans le train. Et on ne nous explique même pas pourquoi il refuse d’y monter à la base. A aucun moment on évoque une barrière quelconque l’empêchant de fonder une famille. Au contraire, on nous a montré durant toute la deuxième moitié du film que son amour grandissant pour Quaid est l’élément qui lui a permis de s’éloigner de la haine qu’il avait pour les Indiens. Du coup, qu’il refuse de monter dans le train n’a pas de sens ! Et ce refus n’est même pas justifié par le film. Il est juste acté, simplement pour permettre à cette histoire de finir sur un acte fort - certes bien fichu et émouvant – mais totalement déconnecté et incohérent au regard du reste du film.
    ) A dire vrai, je trouve que la fin dit beaucoup de choses de ce qu’est en fait ce film. C’est un film qui ne marche qu’en s’appuyant sur des mécaniques ou des ressentis déjà connus ailleurs. Que ce soit dans ses atmosphères que dans ses personnages, il ne cesse d’exhumer – en en reprenant les codes – des émotions générées ailleurs. Ça pourrait ne pas être un problème – après tout, s’il y a de l’émotion c’est chouette – si l’ensemble avait su être plus cohérent, plus fouillé et surtout moins dilué. Parce que oui – et ça m’emmerde presque de le dire mais ce fut pourtant malheureusement le cas – « Hostiles » est un film que j’ai trouvé beau et léché mais profondément vide et chiant. Alors oui, j’aurais aimé lui laisser le bénéfice du doute parce que j’aime bien quand on fait un tel effort de forme, mais je ne peux décemment pas vous recommander un film qui m’a perpétuellement fait lutter contre le sommeil. Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Rolling!
    Rolling!

    55 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2018
    Jalouse du syndrome de Stockholm (empathie pour son geôlier), l’Amérique nous envoie le syndrome inversé du Far-West (empathie pour son prisonnier). Le catéchisme ne sera jamais cinématographique et c’est tant mieux. Le cinéma est une magie du réel, pas une voix qui récite un missel, même si cette voix est celle de la paix. A force de nous montrer le chemin, la morale béatifiante du film devient vite bêtifiante.
    Le message du film est donc un long prêche entre le bien et le mal. Nous sommes tous coupables, si on se connaissait mieux on se comprendrait mieux, aimons-nous les uns les autres. Tout ça me convient, sauf que j’étais là pour voir du cinéma, et qu’on m’a vendu un billet pour de longues messes nocturnes autour des feux de camp du Far-West.
    Je n’aime pas l’acteur Christian Bale, mais là je dois reconnaître que sa trogne confite sert bien la messe. Rosamund Pike est si belle que j’ai repris plusieurs hosties. Le dernier plan nous rappelle qu’on a tous spoiler: un p’tit cœur qui bat
    . Pour résumer, le film sent plus l’encens que le crottin de cheval. Amen.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2020
    Il y a des bons et des méchants partout, parmi les Blancs comme parmi les Indiens. Nous assistons donc à l'alliance des bons Indiens et des bons soldats blancs contre les méchants Indiens et les mauvais Blancs. Même si on convient au passage que les colons blancs ont pris les terres des Indiens, on renvoie donc tout le monde dos à dos. Le héros, un massacreur professionnel d'Indiens en uniforme, qui tue sans distinction hommes, femmes et enfants, n'est au final pas si méchant que ça. Un voyage va lui suffire à le conduire à la rédemption, après 25 ans de carrière et de tueries. Fort peu crédible. Restent de beaux paysages. C'est très insuffisant pour faire un bon western.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Sur le papier tout pour faire un grand film, des moyens, de bons acteurs et finalement un film très lent qui accumule les poncifs et les clichés.L’impression d'avoir perdu deux heures, dont deux avec des chevaux au pas.
    Santu2b
    Santu2b

    255 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2018
    Encore une fois il semble que la dithyrambe injustifiée soit de mise. Car "Hostiles" n'est pas le grand western du XXIe siècle annoncé. On se demande même comment on a pu le comparer à "Impitoyable", tant il ne lui arrive pas à la cheville. Si on ne peut lui enlever une lumière ainsi qu'une intrigue qui se suit sans trop de longueurs, c'est au niveau de son fond que viennent les préoccupations. Quatrième film de Scott Cooper, celui-ci semble orienté dans un seul angle : la repentance de l'Amérique, surtout vis-à-vis de ses amérindiens. Le fait d'aborder la repentance n'est en soi pas un problème, à condition que ce soit fait avec subtilité. Et ce n'est évidemment pas le cas : "Hostiles" est en effet une montagne de sensiblerie, larmoyante à souhait, dont la lourdeur générale finit par être affligeante. Sans le moindre charisme, les acteurs, Bale et Pike en tête, ne brillent pas et s'avèrent même parfois totalement transparents. Un film sans étoffe.
    gunbuster
    gunbuster

    392 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Ce western reprends les codes du genre en vogue depuis les années 90 : environnement hostile au possible, personnages tourmentés par leur passé, dialogues laconiques, paysages grandioses et généralement une vision non-moraliste de la conquête de l'Ouest.
    On saluera le travail de la photographie, qui magnifie chaque plan, chaque lumière et donne à voir des panoramas sublimes.
    De même, j'ai trouvé les costumes particulièrement travaillés, avec un effet usé, troué, abîmé par endroits, qui donnent beaucoup de réalisme et de vécu aux acteurs qui les portent.
    Le casting du film est royal : évidemment les deux têtes d'affiche que sont Christian Bale, investi dans son rôle de soldat épuisé par la vie, et la veuve incarnée par Rosamund Pike, qui rappelle à la fois le passé du protagoniste et évoque la possibilité d'un autre chemin.
    Le film est enrichit par des seconds rôles de choix et quelques sympathiques caméos :
    Tel le colonel joué par Stephen Lang, l'indienne Q'Orianka Kilcher ("la" Pocahontas, ça ne s'invente pas!), le toujours sympathique rouquin Jesse Plemons (Barry Seal, Strictly Criminal), l'indien Adam Beach (Windtalkers), le chef indien Wes Studi (Hell on Wheels), le vieux propriétaire terrien Scott Wilson (Hershel de The Walking Dead) et le toujours sympathique Peter Mullan (Gunpowder, Quarry).
    Et malgré toutes ces qualités, j'ai trouvé le film trop long (2h10), trop vide et ennuyeux, qui n'apporte rien de plus, sauf bien sûr rappeler le massacre des indiens par les colons blancs.
    J'ai tiqué sur certains dialogues qui dénotent totalement, comme si le réalisateur essayait d'impressionner le public avec tirades de haute volée, étalant ostentatoirement sa culture.
    Typiquement le genre de scènes où l'esprit d'un cinéphile décroche, et imagine Christian Bale et Rosamund Pike se tourner autour, tout en commençant à fredonnant l'un après l'autre de manière tout à fait naturelle les paroles de Face to Face (1992).
    Allez, on se remate Retour à Cold Mountain (2003), personne n'a fait mieux.
    Mat K
    Mat K

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2018
    On retrouve ici le stéréotype éculé du bon soldat des United States of America qui a commis des atrocités (parce que la guerre, c'est moche) mais qui est en quête de rédemption et a tout de même des sentiments. Au fond, tout le monde conviendra évidemment que c'est un homme bien...
    Scott Cooper semble n'avoir peur de rien, surtout pas des incohérences de scenario, et assume un manichéisme nauséabond : le film légitime pleinement la violence faite aux "méchants qui sont vraiment méchants".
    Enfin, les acteurs adoptent la mine contrite de rigueur tout au long du film et prennent un air pénétré à chaque dialogue censé être profond. Sauf que cette profondeur confine à l'abîme et que le film s'échoue lamentablement entre bons sentiments et sentimentalisme, le tout assorti d'une musique qui se veut larmoyante.
    C'est d'autant plus dommage qu'on a affaire à de bons acteurs, dans de beaux paysages, et qu'il y avait matière à faire un bon film sur les thèmes du génocide des amérindiens et de la réconciliation.
    Au final : 2h13 d'un scenario prévisible, que l'agonie de ce film est longue! Alors un conseil : n'allez pas vous perdre en terrain "Hostiles", c'est boring!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 mars 2018
    La bande annonce en jette beaucoup plus que le film en lui-même!
    Il s’agit d’une succession de scènes d’embuscades (plutôt bien réalisées) avec des scènes qui tombent clairement dans le melo !!!! Cette divergence entre le côté sois-disant dur du film et le côté gnan-gnan rend le résultat vraiment moyen. Ces personnes sont supposées être des soldats, des guerriers, tout le long du film ils parlent des pires atrocités qu’il auraient commises, et au final on n’a des personnages qui sont en burn-out de leur métier, qui se repentissent, qui s étouffent vers leur prochain et pardonnent. Bref beaucoup trop de melo !!!!
    Maria75
    Maria75

    2 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2018
    Dommage. Très bon thème mais réalisation extrêmement mole au bord de l’ennuis... Music monotone, dynamique et dialogues aussi... Grande déception car je suis très sensible à la cause des peuples indigènes, et surtout à ceux des Amériques.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    51 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2021
    HOSTILES (2018): De belles images, de la sauvagerie, la douleur d'une femme, le traumatisme des hommes, une grande balade à cheval, de beaux paysages. "Hostiles" sera un joli film, mais sa mise en scène sera beaucoup trop lente, pas assez nerveuse, trop dramatique, et lassera avant la fin. Certes, si cette escorte a vraiment existé avec tous ces faits, le sérieux et le tempo de cette histoire seront compréhensibles. Mais il faudra reconnaitre que ce western sans charisme, sans grand spectacle et sans intrigue ne sera pas le film divertissant recherché.
    Yetcha
    Yetcha

    897 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 avril 2018
    Grosse déception... Si le départ est sur des chapeaux de roues, la suite est moins prenante, notamment à la moitié du film où, la vengeance assouvie fait que le reste n'a plus grand intérêt. Curieux d'avoir choisit ce rythme de narration qui plombe le film alors qu'on aurait souhaiter se développer la relation entre Bale et Pike. Tant pis, j'attendais un nouveau western, moderne est fort mais il n'en ressort qu'un film plutôt très moyen.
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juin 2018
    Un Western qu’on pourrait presque qualifié psychologique tant l’action est lente, les dialogues mous. Mais contrairement à S. Leone qui savait captiver le spectateur par ses acteurs et le déroulement méga dosé de l’intrigue ici tout devient lassitude et ennui ....
    Arno M.
    Arno M.

    10 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2018
    En 1892, le capitaine Joseph J. Blocker, légende de l'armée américaine et vétéran de bombreuses batailles contres les Indiens, est chargé d'une mission qu'il accepte à contrecœur. Avec ses hommes, il doit escorter Yellow Hawk, un chef de guerre cheyenne mourant, retenu prisonnier depuis plusieurs années, ainsi que sa famille, pour retourner sur leurs terres tribales. Ils vont croiser la route d'une veuve dont la famille a été assassinée par les Comanches.
    Le retour du western sur grand écran est raté, pour deux raisons principales
    La première est la durée excessive de HOSTILE : 2H15. On s’ennuie et surtout le film ne finit jamais. Il aurait gagné à se terminer avec le retour au Montana, spoiler: au lieu de nous imposer une énième fusillade et une scène du quai de gare sortez les mouchoirs.

    La seconde est cette impression de « politiquement correct » omis présent. Les anciens amis vont trop vite se reconsillier et s'entraider. La volonté de s’interroger sur le passé de l'Amérique et le sort réservé au Indiens est louable. Mais encore faut'il bien le faire intelligemment, en évitant la caricature. A ce propos, on a déjà vu bien mieux (WIND RIVER de T. Sheridan notamment)
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 avril 2018
    Acteur devenu réalisateur (Crazy heart, Les brasiers de la colère, Strictly criminal), Scott Cooper se frotte pour la première fois à un genre cinématographique très établi, celui du western. Hostiles déjoue les attentes en déployant un convoi au long cours où le classique thème de la vengeance n’est pas l’élément moteur. Dans son quatrième long-métrage, Cooper privilégie un ton apaisé assez déconcertant face à des westerns récents tels que Brimstone (2016, Martin Koolhoven) ou encore Django unchained (2012) et Les huit salopards (2015) de Quentin Tarantino. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 avril 2018
    Voilà un film difficile à noter, il y a des superbes scènes mais aussi des moments plus poussifs. on est aussi confronté à passages intéressants sur la psychologies des personnages mais on tout aussi bien servi en passages tartes à la crème prévisibles dès le début. Si on reste terre à terre la scène de départ résume un peu ces contradictions. Une scène forte mais à vrai dire totalement absurde, si le gars reste dans sa maison avec sa winchester les comanches ne pouvaient qu' y laisser des plumes ... Ca c'est juste un détail le plus gênant c'est que le film fait d'un bourreau un héros.
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