Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Culturopoing.com
par Carine Trenteun et Olivier Rossignot
"Mise à mort du cerf sacré" manipule les tons et les esthétiques avec une virtuosité qui fascine le spectateur à mesure qu’il l’éprouve. Avec cette œuvre à la fois glaçante et baroque, ironique et furieusement tragique, Yórgos Lánthimos offre un film d’épouvante précieux, de ceux qui métamorphosent le cinéma en expérience métaphysique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Voilà sans doute le premier grand film Lanthimos, une oeuvre horrifique et politique qui allie la radicalité de ses premiers efforts à la folle inventivité de "The Lobster".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Transfuge
par François Bégaudeau
Un film magistral (...).
20 Minutes
par Caroline Vié
L’humour noir du cinéaste grec fait des merveilles tandis qu’il détruit méticuleusement cette famille trop parfaite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Profondément antipathique, le cinéma du grec Yorgos Lanthimos est pourtant toujours passionnant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une tragédie glaçante, aussi fascinante que dérangeante.
L'Express
par Christophe Carrière
Un film tordu à souhait sur le remords et le châtiment, sinistrement drôle, car Lanthimos manie un humour à froid bien à lui, et, sans se presser, lentement mais sûrement, achemine son récit vers l'inéluctable - qui n'en est pas moins impensable.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Colin Farrell impressionne, jouant sur une tonalité blanche, caractéristique de l’univers de Yórgos Lánthimos. Lequel, après "Canine" et "The Lobster", assoit son statut grandissant de fils spirituel (dans sa ligne de mire, le capitalisme a pris la place de l’Eglise) de Buñuel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
À la manière du David Lynch de Blue Velvet, le cinéaste joue la lenteur, l’étouffement et emprunte à Bernard Herrmann (compositeur attitré d’Hitchcock) ses glaçantes stridences. Et fait jaillir des plans d’une surréelle beauté kubrickienne.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec une violence toujours sous-jacente, Yorgos Lanthimos fait d'un chantage vénéneux un drame perturbant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Certes, le cinéaste grec Yorgos Lanthimos en fait des tonnes. Mais comment pouvait-il s'arrêter en route ? Il y a des dézingages qui exigent, d'une manière jouissive, d'aller jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un thriller clinique implacable.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est avant tout un film qui porte la signature de son auteur dont l'humour noir cache une vision profondément pessimiste sur la nature humaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Nicole Kidman et Colin Farrell, exceptionnels dans un film dérangeant et mis en scène avec virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Entre drame familial et thriller horrifique à la fois tordant et subversif, cette nouvelle pépite du réalisateur de "The Lobster" a reçu le prix du scénario au Festival de Cannes.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec l’impeccable Nicole Kidman et l’effrayant Barry Keoghan, l’acteur irlandais, tout en tension retenue, porte cette nouvelle fable immorale à l’atmosphère glaçante et à la mécanique implacable, surréaliste et à la frontière de l’absurde mais qui nous renvoie à nos lâchetés.
Voici
par La Rédaction
Une tragédie teintée de surnaturel, glaciale et bien tordue.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
A vouloir trop en faire sans trop en dire, Yorgos Lanthimos s’emmêle les pinceaux en perdant l’essentiel de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Récompensé par le prix du scénario à Cannes, le réalisateur Grec Yorgos Lanthimos dissèque dans un film aussi déprimant que décevant les névroses d’une famille américaine
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème de la vengeance, un film qui développe la thématique tragique du sacrifice, suscitant un sentiment de malaise tout à la fois par la cruauté qu’il distille que par l’impression qu’il donne de ne pas lésiner, pour ce faire, sur les (gros) effets.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Vainement provocateur, ce drame de Yorgos Lanthimos se révèle creux, loin du trouble que généraient ses précédents films.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
(...) le sérieux impérial avec lequel Lanthimos gérait son théâtre de l’absurde dans "The Lobster" est devenu prétention infinie : comédiens récitant leur texte d’une voix monocorde, grondements furieux dans la bande sonore et (...) plans gratuitement kubrickiens.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Titre prétentieux, casting rutilant, le Grec n'a pas fait dans la dentelle.
Télérama
par Louis Guichard
Le scénario, curieusement récompensé par un prix à Cannes, met en échec la virtuosité du metteur en scène, qui ne sait comment filmer le paroxysme de la violence. Seuls les acteurs s’en sortent (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Comme dans The Lobster, le précédent film de l’auteur, la rapidité avec laquelle ce pensum s’écrase contre sa propre bêtise prête à sourire. Mort-né, ce cinéma de beau parleur court après lui-même et se condamne à disparaître, au fil de ses petits coups de force, dans un écran de fumée.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le problème ici, c’est que le radicalisme souhaité par le réalisateur s’apparente plus à un tour de train fantôme petit-bourgeois qu’à une véritable proposition de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Rabâchant ses thématiques fétiches, telles l’insignifiance de l’existence, l’aliénation que suscitent nos sociétés ritualisées ou la perversité de la nature humaine, le cinéaste grec pousse la caricature jusqu’à la nausée.
Le Monde
par Jean-François Rauger
La facticité de l’ensemble et le sentiment de se voir donner une leçon que l’auteur voudrait cuisante rendent, in fine, le film de Yorgos Lanthimos plutôt dérisoire.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
A vrai dire, le scénariste Lanthimos, qui a certes l'art du pitch, a aussi bien du mal à faire retomber son récit sur ses pieds, qui se clôt sur un éloge benoît et consternant du bon vieux "oeil pour oeil, dent pour dent..."
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Dès le début de Mise à mort du cerf sacré (plan fixe et cracra sur une opération à cœur ouvert, musique pompeuse, travellings kubrickiens interminables…), on sent que ça va être long.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Complaisant à l’extrême et incapable de se renouveler, Lanthimos racle les fonds de marmites dans un thriller citant maladroiterment Pasolini et Kubrick. Difficile de faire plus pontifiant et décérébrant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
"Mise à mort du cerf sacré" manipule les tons et les esthétiques avec une virtuosité qui fascine le spectateur à mesure qu’il l’éprouve. Avec cette œuvre à la fois glaçante et baroque, ironique et furieusement tragique, Yórgos Lánthimos offre un film d’épouvante précieux, de ceux qui métamorphosent le cinéma en expérience métaphysique.
Ecran Large
Voilà sans doute le premier grand film Lanthimos, une oeuvre horrifique et politique qui allie la radicalité de ses premiers efforts à la folle inventivité de "The Lobster".
Transfuge
Un film magistral (...).
20 Minutes
L’humour noir du cinéaste grec fait des merveilles tandis qu’il détruit méticuleusement cette famille trop parfaite.
CinemaTeaser
Profondément antipathique, le cinéma du grec Yorgos Lanthimos est pourtant toujours passionnant.
Femme Actuelle
Une tragédie glaçante, aussi fascinante que dérangeante.
L'Express
Un film tordu à souhait sur le remords et le châtiment, sinistrement drôle, car Lanthimos manie un humour à froid bien à lui, et, sans se presser, lentement mais sûrement, achemine son récit vers l'inéluctable - qui n'en est pas moins impensable.
L'Obs
Colin Farrell impressionne, jouant sur une tonalité blanche, caractéristique de l’univers de Yórgos Lánthimos. Lequel, après "Canine" et "The Lobster", assoit son statut grandissant de fils spirituel (dans sa ligne de mire, le capitalisme a pris la place de l’Eglise) de Buñuel.
La Voix du Nord
À la manière du David Lynch de Blue Velvet, le cinéaste joue la lenteur, l’étouffement et emprunte à Bernard Herrmann (compositeur attitré d’Hitchcock) ses glaçantes stridences. Et fait jaillir des plans d’une surréelle beauté kubrickienne.
Le Figaro
Avec une violence toujours sous-jacente, Yorgos Lanthimos fait d'un chantage vénéneux un drame perturbant.
Le Parisien
Certes, le cinéaste grec Yorgos Lanthimos en fait des tonnes. Mais comment pouvait-il s'arrêter en route ? Il y a des dézingages qui exigent, d'une manière jouissive, d'aller jusqu'au bout.
Ouest France
Un thriller clinique implacable.
Paris Match
C'est avant tout un film qui porte la signature de son auteur dont l'humour noir cache une vision profondément pessimiste sur la nature humaine.
Rolling Stone
Nicole Kidman et Colin Farrell, exceptionnels dans un film dérangeant et mis en scène avec virtuosité.
Télé Loisirs
Entre drame familial et thriller horrifique à la fois tordant et subversif, cette nouvelle pépite du réalisateur de "The Lobster" a reçu le prix du scénario au Festival de Cannes.
Le Journal du Dimanche
Avec l’impeccable Nicole Kidman et l’effrayant Barry Keoghan, l’acteur irlandais, tout en tension retenue, porte cette nouvelle fable immorale à l’atmosphère glaçante et à la mécanique implacable, surréaliste et à la frontière de l’absurde mais qui nous renvoie à nos lâchetés.
Voici
Une tragédie teintée de surnaturel, glaciale et bien tordue.
Franceinfo Culture
A vouloir trop en faire sans trop en dire, Yorgos Lanthimos s’emmêle les pinceaux en perdant l’essentiel de son propos.
La Croix
Récompensé par le prix du scénario à Cannes, le réalisateur Grec Yorgos Lanthimos dissèque dans un film aussi déprimant que décevant les névroses d’une famille américaine
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème de la vengeance, un film qui développe la thématique tragique du sacrifice, suscitant un sentiment de malaise tout à la fois par la cruauté qu’il distille que par l’impression qu’il donne de ne pas lésiner, pour ce faire, sur les (gros) effets.
Les Fiches du Cinéma
Vainement provocateur, ce drame de Yorgos Lanthimos se révèle creux, loin du trouble que généraient ses précédents films.
Positif
(...) le sérieux impérial avec lequel Lanthimos gérait son théâtre de l’absurde dans "The Lobster" est devenu prétention infinie : comédiens récitant leur texte d’une voix monocorde, grondements furieux dans la bande sonore et (...) plans gratuitement kubrickiens.
Studio Ciné Live
Titre prétentieux, casting rutilant, le Grec n'a pas fait dans la dentelle.
Télérama
Le scénario, curieusement récompensé par un prix à Cannes, met en échec la virtuosité du metteur en scène, qui ne sait comment filmer le paroxysme de la violence. Seuls les acteurs s’en sortent (...).
Cahiers du Cinéma
Comme dans The Lobster, le précédent film de l’auteur, la rapidité avec laquelle ce pensum s’écrase contre sa propre bêtise prête à sourire. Mort-né, ce cinéma de beau parleur court après lui-même et se condamne à disparaître, au fil de ses petits coups de force, dans un écran de fumée.
Critikat.com
Le problème ici, c’est que le radicalisme souhaité par le réalisateur s’apparente plus à un tour de train fantôme petit-bourgeois qu’à une véritable proposition de cinéma.
La Septième Obsession
Rabâchant ses thématiques fétiches, telles l’insignifiance de l’existence, l’aliénation que suscitent nos sociétés ritualisées ou la perversité de la nature humaine, le cinéaste grec pousse la caricature jusqu’à la nausée.
Le Monde
La facticité de l’ensemble et le sentiment de se voir donner une leçon que l’auteur voudrait cuisante rendent, in fine, le film de Yorgos Lanthimos plutôt dérisoire.
Les Inrockuptibles
A vrai dire, le scénariste Lanthimos, qui a certes l'art du pitch, a aussi bien du mal à faire retomber son récit sur ses pieds, qui se clôt sur un éloge benoît et consternant du bon vieux "oeil pour oeil, dent pour dent..."
Première
Dès le début de Mise à mort du cerf sacré (plan fixe et cracra sur une opération à cœur ouvert, musique pompeuse, travellings kubrickiens interminables…), on sent que ça va être long.
aVoir-aLire.com
Complaisant à l’extrême et incapable de se renouveler, Lanthimos racle les fonds de marmites dans un thriller citant maladroiterment Pasolini et Kubrick. Difficile de faire plus pontifiant et décérébrant.