Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans ce film franco-belgo-luxembourgeois produit par Luc Besson, Thomas Vinterberg fait la part belle au spectaculaire comme à l’expérience humaine portée par Mathias Schoenaerts en marin dans la tourmente.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Thomas Vinterberg aux manettes d’un blockbuster européen tiré d’une catastrophe humaine. Gros pari, que le cinéaste réussit avec inspiration et brio collectif.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Fidèle au livre de Robert Moore, Sauvez le Kursk !, dont il s’inspire, ce drame alternant action et émotion, et tourné en anglais, décrit avec précision cette incroyable course contre la montre qui a tenu en haleine le monde entier pendant neuf jours.
Closer
par La Rédaction
Une transcription sobre et précise de l'enquête que le journaliste Robert Moore a consacré à cette tragédie.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Poignant et haletant.
Le Parisien
par La Rédaction
Les fans de Thomas Vinterberg, le réalisateur danois de « Festen », vont juger que le cinéaste n’a jamais signé un long-métrage au déroulé si classique. Mais c’est un film de commande et Vinterberg s’en sort très bien (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Baptiste Roux
Le réalisateur de "Submarino" utilise avec une efficacité dramatique, presque dépourvue de pathos, les ressorts habituels du film catastrophe [...].
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Malgré quelques maladresses de goût, le KURSK de Thomas Vinterberg – et son casting international, qui a la bonne idée de ne pas prendre l’accent russe – émeut et étonne par la virulence de sa colère.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Jamais désagréable à suivre, le récit semble néanmoins coincé dans un sous-régime permanent, comme si Thomas Vinterberg n'osait jamais embrasser la complexité horrifique et l'horreur humaine de ce qu'il décrit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tiré d’un épisode dramatique survenu en 2000 en mer de Barents, le film de Thomas Vinterberg surprend par ses séquences de survie haletantes, mais peine quand même à trouver le souffle et la rage nécessaires à une telle catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un blockbuster Europa, conçu à l’américaine par la firme de Luc Besson : du grand spectacle, sans trop s’engager dans les profondeurs politiques…
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Fidèle à son cinéma, Thomas Vinterberg réussit à mettre l’humain au cœur de ce film catastrophe qui ne ménage pas ses effets.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Le 12 août 2000, une série d’explosions envoie par le fond le sous-marin Koursk. Doté d’un casting international, le Danois Thomas Vinterberg s’attache à décrire l’échec humain, plus que politique, du sauvetage des survivants. Mais le suspense n’est-il pas de trop ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Intéressant pour la dimension documentaire de ce drame, le film bénéficie d'un bon casting mais est terriblement classique dans sa conception.
Première
par Sylvestre Picard
Thomas Vinterberg raconte avec efficacité l'histoire vraie du naufrage du sous-marin russe Kursk il y a près de vingt ans.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Si les scènes d’action en mer déçoivent, on peut se consoler avec le portrait des familles à terre : une ambiance soviétique passe (malgré l’anglais, parlé curieusement par tous…), qui raconte avec le naufrage du Koursk, la fin d’un vieux rêve et d’un vieux monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Pas mal du tout.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Submergé par l’histoire réelle, le réalisateur danois toucherait le fond s’il ne parvenait à inventer par la fiction les derrières heures des 23 survivants. Ce n’est certes pas du Kathryn Bigelow ( K-19 , Le Piège des profondeurs ), mais au moins ce cinéma générique de la claustrophobie sous-marine donne un peu d’air à ce film sans surface.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Express
par Antoine Le Fur
[...] un long-métrage d'un ennui aussi abyssal que les eaux renfermant l'épave du Koursk.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les scènes dans le sous-marin, entre attente et tentatives de survie, impressionnent, mais souffrent d'une écriture improbable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Malgré quelques tentatives, le réalisateur Thomas Vinterberg ne tire de ce drame qu’un simple film catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste danois, co fondateur du Dogme, Thomas Vinterberg fait en sorte de hisser son film au rang de tragédie classique, mais l’aspect international de cette production où les Russes parlent anglais, loin de donner de l’universalité au propos, lui enlève son authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Le film s'en tient aux cahiers des charges et ressemble à un téléfilm de luxe où tout le monde s'exprime en Anglais, co-production européenne oblige, ce qui nuit à la crédibilité du récit (...) Vinterberg est fin prêt pour Hollywood. On pourrait le retrouver derrière un Marvel ou pourquoi pas un James Bond. Ce qui en soit est une bien triste nouvelle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par La Rédaction
Le nouveau long-métrage de Thomas Vinterberg, le réalisateur de Festen, n'est pas remarquable. Le Danois sait certes manier une caméra dans un lieu clos mais, dans cette chronique de plusieurs dizaines de morts annoncées, néglige tout à fait l'aspect politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Son récit de sauvetage construit en montage alterné (les survivants bloqué sous l'eau, les familles restées à terre et les secouristes en mer) est d'un ennui abyssal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Dans ce film franco-belgo-luxembourgeois produit par Luc Besson, Thomas Vinterberg fait la part belle au spectaculaire comme à l’expérience humaine portée par Mathias Schoenaerts en marin dans la tourmente.
Bande à part
Thomas Vinterberg aux manettes d’un blockbuster européen tiré d’une catastrophe humaine. Gros pari, que le cinéaste réussit avec inspiration et brio collectif.
CNews
Fidèle au livre de Robert Moore, Sauvez le Kursk !, dont il s’inspire, ce drame alternant action et émotion, et tourné en anglais, décrit avec précision cette incroyable course contre la montre qui a tenu en haleine le monde entier pendant neuf jours.
Closer
Une transcription sobre et précise de l'enquête que le journaliste Robert Moore a consacré à cette tragédie.
Femme Actuelle
Poignant et haletant.
Le Parisien
Les fans de Thomas Vinterberg, le réalisateur danois de « Festen », vont juger que le cinéaste n’a jamais signé un long-métrage au déroulé si classique. Mais c’est un film de commande et Vinterberg s’en sort très bien (...).
Positif
Le réalisateur de "Submarino" utilise avec une efficacité dramatique, presque dépourvue de pathos, les ressorts habituels du film catastrophe [...].
CinemaTeaser
Malgré quelques maladresses de goût, le KURSK de Thomas Vinterberg – et son casting international, qui a la bonne idée de ne pas prendre l’accent russe – émeut et étonne par la virulence de sa colère.
Ecran Large
Jamais désagréable à suivre, le récit semble néanmoins coincé dans un sous-régime permanent, comme si Thomas Vinterberg n'osait jamais embrasser la complexité horrifique et l'horreur humaine de ce qu'il décrit.
La Voix du Nord
Tiré d’un épisode dramatique survenu en 2000 en mer de Barents, le film de Thomas Vinterberg surprend par ses séquences de survie haletantes, mais peine quand même à trouver le souffle et la rage nécessaires à une telle catastrophe.
Le Dauphiné Libéré
Un blockbuster Europa, conçu à l’américaine par la firme de Luc Besson : du grand spectacle, sans trop s’engager dans les profondeurs politiques…
Le Journal du Dimanche
Fidèle à son cinéma, Thomas Vinterberg réussit à mettre l’humain au cœur de ce film catastrophe qui ne ménage pas ses effets.
Les Fiches du Cinéma
Le 12 août 2000, une série d’explosions envoie par le fond le sous-marin Koursk. Doté d’un casting international, le Danois Thomas Vinterberg s’attache à décrire l’échec humain, plus que politique, du sauvetage des survivants. Mais le suspense n’est-il pas de trop ?
Ouest France
Intéressant pour la dimension documentaire de ce drame, le film bénéficie d'un bon casting mais est terriblement classique dans sa conception.
Première
Thomas Vinterberg raconte avec efficacité l'histoire vraie du naufrage du sous-marin russe Kursk il y a près de vingt ans.
Télérama
Si les scènes d’action en mer déçoivent, on peut se consoler avec le portrait des familles à terre : une ambiance soviétique passe (malgré l’anglais, parlé curieusement par tous…), qui raconte avec le naufrage du Koursk, la fin d’un vieux rêve et d’un vieux monde.
Voici
Pas mal du tout.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Submergé par l’histoire réelle, le réalisateur danois toucherait le fond s’il ne parvenait à inventer par la fiction les derrières heures des 23 survivants. Ce n’est certes pas du Kathryn Bigelow ( K-19 , Le Piège des profondeurs ), mais au moins ce cinéma générique de la claustrophobie sous-marine donne un peu d’air à ce film sans surface.
L'Express
[...] un long-métrage d'un ennui aussi abyssal que les eaux renfermant l'épave du Koursk.
L'Obs
Les scènes dans le sous-marin, entre attente et tentatives de survie, impressionnent, mais souffrent d'une écriture improbable.
La Croix
Malgré quelques tentatives, le réalisateur Thomas Vinterberg ne tire de ce drame qu’un simple film catastrophe.
Sud Ouest
Le cinéaste danois, co fondateur du Dogme, Thomas Vinterberg fait en sorte de hisser son film au rang de tragédie classique, mais l’aspect international de cette production où les Russes parlent anglais, loin de donner de l’universalité au propos, lui enlève son authenticité.
Culturopoing.com
Le film s'en tient aux cahiers des charges et ressemble à un téléfilm de luxe où tout le monde s'exprime en Anglais, co-production européenne oblige, ce qui nuit à la crédibilité du récit (...) Vinterberg est fin prêt pour Hollywood. On pourrait le retrouver derrière un Marvel ou pourquoi pas un James Bond. Ce qui en soit est une bien triste nouvelle.
Le Figaro
Le nouveau long-métrage de Thomas Vinterberg, le réalisateur de Festen, n'est pas remarquable. Le Danois sait certes manier une caméra dans un lieu clos mais, dans cette chronique de plusieurs dizaines de morts annoncées, néglige tout à fait l'aspect politique.
Les Inrockuptibles
Son récit de sauvetage construit en montage alterné (les survivants bloqué sous l'eau, les familles restées à terre et les secouristes en mer) est d'un ennui abyssal.