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    Hurricane
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    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2018
    La machine hollywoodienne aux grandes idées pour faire exploser le tiroir-caisse sans trop se fouler a encore frappé avec "Hurricane", la combinaison magique entre film d'action en mode braquage et film catastrophe où un ouragan dément fait s'envoler la moitié d'un État américain dans les abysses des fonds verts. Et quoi de mieux que de faire appel à Rob Cohen, l'initiateur de la saga "Fast & Furious", pour emballer cette promesse de combo ultime "Twister"/"Pluie d'enfer" venue tout droit des années 90 ?
    Enfin... Sauf qu'à part mettre un joli "Par le réalisateur de F&F" sur l'affiche, tout le monde semble avoir oublié une donnée importante : l'ami Rob est au fond du trou depuis au moins dix bonnes années. Entre un pitoyable "Alex Cross" et un encore plus pitoyable "Un Voisin trop parfait" (une des grandes rigolades de 2015), le cinéaste semble prendre un plaisir masochiste à enchaîner les galères improbables depuis un bien trop long moment.
    C'est donc avec une certaine appréhension de film catastrophe au sens premier du terme que l'on s'apprête à visionner "Hurricane". Mais, petit miracle, si le film va faire le job sans grandes étincelles, il va tout de même nous prouver que l'encéphalogramme de Rob Cohen est encore capable de quelques sursauts.

    Traumatisé par la mort de son père lors d'un terrible ouragan, Will est devenu un météorologue spécialiste de ces phénomènes naturels (logique, non ?). Alors qu'une monumentale bourrasque sous-estimée par tout le monde s'apprête à frapper sa ville natale, il part y retrouver son frère. Au même moment, des braqueurs profitent de l'ouragan pour s'introduire dans un établissement fédéral rempli à ras bord de billets prêts à être déchiquetés...

    Bizarrement, "Hurricane" ne va jamais prendre réellement de près ou de loin l'allure de gros plaisir coupable alors qu'il en avait tous les arguments sur le papier. La faute en revient principalement au fait que le film ne parvient pas à exploiter tout le potentiel de son improbable croisée des genres. L'ouragan reste en fait presque en permanence une toile de fond à l'histoire très banale de casse en train de se jouer.

    Horriblement prévisible par ses situations classiques de film de braquage avec son lot de traîtres et de mini-rebondissements, par ses personnages pas très futés spoiler: (tout tombe en panne alors qu'un ouragan se prépare et que plein de personnes extérieures arrivent au même moment, aucun gardien ne voit rien venir à part la jolie blonde casse-cou interprétée par Maggie Grace, évidemment)
    , par ses incohérences un peu bizarres spoiler: (on nous montre des tas de voitures s'envoler dans tous les sens, pourtant les malfaiteurs se déplacent tranquillement en un temps record au centre commercial, à la jardinerie,... pour retrouver les deux héros)
    et par d'inévitables séquences/temps-morts où les deux personnage principaux se dragouillent en déballant leurs états d'âme simplistes (le tout en faisant des pauses-pipi ou en mangeant des sandwichs à la confiture, passionnant comme pas permis qu'on vous dit !), "Hurricane" déroule son récit pas innovant pour un sou devant la caméra mise sur vibreur de Rob Cohen pour bien nous souligner qu'il y a une tension constante et palpable dans toute cette affaire. L'état de somnolence/ennui déclenché par celle-ci nous laissera toutefois penser tout le contraire même si le film réussit néanmoins à nous sortir de notre torpeur à l'occasion de quelques jolies séquences.

    C'est en effet justement lorsqu'il fait entrer en collision les deux éléments en son coeur (ce qui aurait dû être sa ligne de conduite permanente), l'ouragan et le braquage, que "Hurricane" décolle vraiment en réveillant par la même occasion son réalisateur prêt à prouver qu'il en a gardé sous la pédale. De l'affrontement à coups de projectiles inattendus, en passant par une scène "d'aspiration", à la course-poursuite finale très Fury Roadienne, le film n'est jamais meilleur que quand il se décide enfin à faire de l'ouragan un véritable acteur à son récit et qu'il nous laisse entrevoir qu'il avait peut-être bien plus de cartes à abattre au lieu de se reposer sur les ressorts faciles de son intrigue la majeure partie de sa durée .

    Au final, "Hurricane" est peut-être le moins mauvais film que nous ait pondu Rob Cohen depuis pas mal d'années mais, si l'on excepte les bons passages évoqués, il est dommage que le long-métrage passe à côté de son mélange total des genres tant attendu, les bonnes intentions de départ étaient, elles, pourtant bel et bien présentes...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2018
    Quand on m’a présenté cet « Hurricane » on m’a dit que c’était l’histoire d’un braquage de banque, en plein ouragan, et avec Rob Cohen aux commandes… Mon premier réflexe, ça a d’abord été de répondre : « Kamoulox ! » Bah ouais ! Désolé mais retrouver tous ces mots là ensemble dans la même phrase, pour moi, ça n’a juste aucun sens ! Et c’est justement parce que ça avait l’air de n’avoir aucun sens qu’avec un pote on s’est décidé à aller le voir ! Non mais oh ! Un braquage de banque en plein ouragan ! Un truc pareil ça ne peut pas être traité sérieusement ! … Non ? …Franchement ! …Eh bah en fait, si. En tout cas, ce fut donc le drôle de pari de l’ami Cohen. Dès la première scène, on sent tout le sérieux qui est mis dans cette pathétique introduction. Tentative grossière d’hameçonnage du spectateur en amorçant le film par une grosse scène d’action. Déballage classique d’effets visuels numériques atrocement fades. Construction minable d’un scénario qui entend poser dès le départ un enjeu dramatique sur des personnages qu’on a pourtant parvenu à nous faire détester en une minute montre en main… Bref, la seule intro a suffi pour nous révéler beaucoup de vérités concernant ce film : ça va moche, stupide et affreusement inutile. En somme, un belle annonce de tout ce qui nous attend derrière ! Et je peux vous dire qu’on a été servi ! C’était festival mes amis ! D’un côté les mecs bodybuildés ! De l’autre une galerie de top-models ! On rajoute un méchant qui grimace, un papy et un gros dummy à moustache et on a le casting du film ! Tous ces gens sont ensuite répartis aléatoirement dans le camp des gentils et des méchants. Bien sûr, vu que même le mécano du coin a un passif dans l’armée, ça va promettre de sacrées confrontations musclées ! On sort les flingues pour un rien. Ça mitraille dans tous les sens sans jamais vraiment toucher personne. Ça prend des décisions stupides ou ça a des éclairs de génie en fonction de ce qui arrange le scénario, le tout dans une atmosphère incapable de faire décoller la moindre tension. Alors du coup l’ami Robbie y va à grands coups de musiques pompières et de gros jargons et de loupiottes informatiques qui claquent. Ainsi, dans ce film, un simple centre météorologique ressemble à une base spatiale du futur ; tous les personnages utilisent des claviers en tapotant dessus super-vite ; et surtout ils élaborent des stratégies super-compliquées à base de logiciels qui ont des noms de boss de jeux-vidéo des années 80 tout en faisant des calculs impliquant « des nombres à deux chiffres entiers » (sic). Et dire tout cela c’est oublier la grande plus-value de ce film : l’ouragan. (Bah oui… C’est que ça s’appelle « Hurricane » quand même, hein…) Pour le coup, son implication dans l’intrigue est véritablement fantastique ! (A prendre au sens littéral du mot.) Bah oui, parce que ledit ouragan peut aspirer dans les airs des gens en plein cœur d’un centre commercial tandis qu’à l’entrée du même centre on peut marcher tranquillement au sol. Idem il t’avalera un camion entier mais laissera tranquille celui qui roule juste à côté. D’ailleurs, le film n’a même plus aucun scrupule sur son final. C’est juste la fête du slip en termes de logique ! spoiler: Trois camions poursuivis par le mur de l’œil du cyclone. Ils tracent tous les trois pour éviter d’être emportés. Un premier est emporté. Puis un second (pourtant juste à côté du camion des héros qui roulent presque « tranquille bibi »). Puis une fois que tous les héros se retrouvent dans le même camion et que les méchants ont disparu, le chauffeur du dernier camion décide alors de… de… d’appuyer sur l’accélérateur pour échapper au mur de l’œil… Oui. Il appuie sur l’accélérateur. Aussi simple que ça. Deux camions ont donc disparu parce que leurs conducteurs n’écrasaient pas suffisamment le champignon ! Euh… Je suis sensé dire quoi face à ça ? « Lol ? » Et ce qui est merveilleux dans tout ça c’est que, malgré le fait que le scénario insiste bien régulièrement sur le fait que les héros sont prisonniers à l’intérieur de l’œil du cyclone, il suffit donc d’appuyer sur le champignon et de tracer tout droit pour… sortir du cyclone ! Alors je veux bien qu’on ne se prenne pas la tête face à ce genre de films mais bon... On va dire que la magie des nombres à deux chiffres entiers est impénétrable !
    En gros, si je devais résumer mon impression, je dirais que ce film est une blague, mais une blague pas drôle. Franchement, si encore ça avait été bien ficelé, bien filmé, et que derrière tout cela il y avait une légère once de second degré dans les caricatures proposées, ça aurait encore pu être sympa. Mais là, franchement, on a juste affaire à un film qui a essayé de ratiboiser un peu de pognon avec un budget moindre et surtout une créativité nulle... Enfin, du moins, une créativité qui n’est pas allée plus loin que le Kamoulox de son pitch. Triste...Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 mars 2018
    Quand vous partez dans l'idée de voir un film d'action et que ce dernier fini par devenir plus drôle (de n'importe quoi) qu'autre chose, on sait qu'il y a un problème quelque part
    Mais pas de regret d'avoir payé ma place j'ai pu voir pour la première fois de ma vie quelqu'un mort avec un lancé d'enjoliveur 😂
    SaintPauly
    SaintPauly

    19 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mars 2018
    Hurricane est le premier film où vous allez prier pour moins d'action car l'action ici est tellement mal faite que c'est plus excitant de regarder des mouches s'accouplent, et c'est plus intéressant en plus.

    Les images font par ordinateur datent des années 70 avant que la technique n'existait, avec la pluie dessinait à la main et les effets spéciaux ajoutaient avec un filtre Snapchat. Regardez Twister à nouveau, plutôt que payer pour voir ceci.
    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2018
    C'est une déception ce film.
    C'est cliché, sans surprise, on s'ennuie copieusement.
    Il n'y a que les 20 dernières minutes qui sont impressionnantes et captivantes avec les trois camions.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 février 2018
    Aussitôt vu, aussitôt oublié ! Malheureusement, on ne s'attache ni aux personnages, ni à l'histoire... Les séquences d'ouragan et de destruction ne sont même pas palpitantes... Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 mars 2018
    Connu pour ses films d’action comme Fast and furious et xXx, le réalisateur Rob Cohen a voulu mêler ce genre à celui du film catastrophe. Deux frères (dont Ryan Kwanten, bien connu des amateurs de série TV comme étant le fameux Jason Stackhouse dans True Blood) vont être confrontés aux braqueurs d’un dépôt fédéral durant un terrible ouragan, braqueurs qui vont devoir faire face à un docteur en météorologie et un réparateur badass. Si la réalisation reste correcte, en revanche le scénario est catastrophique (sans jeu de mot avec le genre) tant il est émaillé d’incohérences et d’invraisemblances. Si la première scène est spectaculaire mais complètement inutile pour la suite, le reste est un grand n’importe quoi scénaristique, c’en est parfois ridicule, du début avec l’évacuation sur la petite route ( spoiler: son camion coincé sur une petite route encombrée, on se demande d’ailleurs pourquoi les gens ont emprunté cette voie alors qu’il y a l’autoroute qu’on verra à la fin, l’agent Casey décide de se frayer un passage en tamponnant une voiture qui gène pour mieux passer par un champ cultivé, c’est du grand n’importe quoi
    ) et la scène finale sur une autoroute. Le film n’est pas sauvé par des personnages mal écrits et assez caricaturaux.
    PLR
    PLR

    465 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2018
    Mélange des genres : film catastrophe et casse du siècle à grand renfort technologique. Un peu de vulgarisation scientifique (les ouragans), beaucoup de technologie informatique pour s'emparer du butin (bien sûr on n'y comprend rien si tant est qu'il y ait quelque chose à comprendre). Des gentils, des méchants. Deux frères bougons typiquement américains. L'héroïne féminine qui va bien. Une tambouille des plus classiques mais finalement assez ennuyeuse. Des scènes qui semblent n'avoir été imaginées que pour la 3D (très peu pour moi, la 2D m'a largement suffi). Quand la fin justifie les moyens. Mais côté septième art, une grosse déception.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 mars 2018
    Une bande annonce chaotique qui ne fait qu’appuyer sur le fait que le film est réalisé par Rob Cohen, c’est limite. Et en voyant ce film, on comprend que la limite n’est pas uniquement là. Scénario insipide et vide, réalisateur aux fraises qui n’arrive pas à réalisé, incrustations numériques à la hauteur d’un Sharknado, Hurricane est une catastrophe sur toute la ligne. Ce film n’a absolument aucun intérêt et l’on s’ennuie ferme devant la médiocrité permanente. Maggie Grace représente un léger rayon de soleil dans cette tempête de médiocrité.
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    39 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2018
    bof, ce film n'est ni passionnant ni intéressant, sans doute trop fourre-tout pour que chacun y retrouve son compte. une sorte de heat sous la tempete en 100 fois moins bien ... et c'est peu dire !
    Laurent B.
    Laurent B.

    28 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2018
    Bon, il y a de l'action, des explosions... et puis c'est tout !!! Un point noir sur les effets spéciaux sur les camions; comment le conducteur ne peut être impacté quand sa remorque se trouve aspiré par une tornade ? Sinon, le hasard aide beaucoup le scénario... Du moins, le pauvre scénario.
    HawkMan
    HawkMan

    177 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 août 2019
    Hurricane est un mélange entre film catastrophe et film d'action puisque on suit les tentatives de braquage d'une banque se déroulant pendant un ouragan aux USA. Comme toujours, les bandits trouveront sur leur chemin des justiciers professionnels ou non qui feront leur max pour déjouer les plans des braqueurs.
    Bref : entre scènes ridicules et des effets spéciaux à jeter, autant aller voir ailleurs.
    Ibrahim Aksel
    Ibrahim Aksel

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2019
    Ça fait penser à ces téléfilms allemands des années 2000 qui semblent copier le "modèle " américain (sic)...
    A part les effets spéciaux très réalistes de l'ouragan, tout le reste du film , en particulier les dialogues, est du n'importe nawak soporifique...
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    766 abonnés 1 516 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Un braquage sophistiqué en plein ouragan, l'idée paraissait originale et osée avec un mélange des genres qui s'annonçait potentiellement sympathique.
    Le début du film est très plaisant : les personnages possèdent un brin de charisme, l'action se met en place progressivement avec une tension supplémentaire : l'ouragan du siècle !
    Et puis... Patatras !
    L'histoire tourne assez rapidement vers une ambiance "téléfilm moyen", la fin (sans la dévoiler) est juste ratée !
    L'intention de départ semblait alléchante, mais le maigre scénario associé à une réalisation trop légère et trop facile plongera cette oeuvre dans la longue liste des longs métrages à se regarder entre amis à la maison avec une pizza sans se faire mal au cerveau.
    Médiocre.
    --> Site CINEMADOURG
    tony-76
    tony-76

    1 071 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2018
    Rob Cohen est un cinéaste peu inspirant et peu inspiré, c'est un simple amateur de série B. Rien qu'en voyant sa filmographie - xXx, Alex Cross, The Boy Next Door - il se contente du service minimum, n'atteignant pas le plaisir coupable des cinéphiles... Cohen se lance cette-fois dans un tout autre registre, c'est à dire le film catastrophe ! Avec son Hurricane Heist, il parle d'une gigantesque tempête de catégorie 5. Une équipe de hackers infiltre une base militaire pour y voler 600 millions de dollars. Alors qu'ils prennent la fuite, ils sont traqués par un métérologue et une convoyeuse. Ces derniers vont tenter de les arrêter ! Au vu du script, c'est du Black Storm avec une Pluie d'enfer rencontrant Fast Five... Il n'y a aucune originalité, de plus Cohen met un certain à démarrer son histoire, en mettant son public dans les nuages... C'est souvent répétitif... Pire encore, l'avalanche de clichés aberrants et des personnages risibles rendent les faits prévisibles. Malgré la présence de Maggie Grace (les Taken et Lock out) qui essaye d'empêcher le film d'échoué totalement ! Toby Kebbell n'est pas un acteur charismatique, ni un acteur crédible. Lui qui est souvent dans des apparitions ambigus à l'écran, plus principalement dans les reboots - le Fantastic Four de 2015, le Ben Hur de 2016, le Kong de 2017 - il nous le prouve une fois de plus, chez Rob Cohen. Ryan Kwanten est un sous Chris Pratt, ne possédant pas son talent... Et les méchants font piètre figure ! La musique y est quasi-absente, laissant place à des bruitages provenant de cette tempête qui règne dans la ville... Des effets spéciaux qui demeurent toutefois acceptables, un brin plus dynamique que le Geostorm de l'année passée... Heureusement que la dernière partie du récit sauve un peu l'ensemble de la noyade spoiler: - quand l'ouragan pourchasse ces trois camions blindés -
    Rob Cohen fait exactement la même démarche avec son premier Fast and Furious, ce n'est pas suffisant, puisque The Hurricane Heist s'avère prévisible. En clair, The Hurricane Heist est un film catastrophe peu captivant, voulant mettre le spectateur dans l'embarras. On croyait s'attendre à un délire sympa comme Rampage mais on s'est trompé !
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