Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Léonor Serraille, dont c’est le premier long métrage, fait partie de ces nouveaux cinéastes préférant la bifurcation aventureuse aux sentiers balisés du cinéma français.
Le Figaro
par Etienne Sorin
On conseille de se précipiter dans les salles car Jeune Femme est un film qui dépote, comme son héroïne, Paula, et son interprète, Laetitia Dosch.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Lauréat de la Caméra d'or au dernier Festival de Cannes, le film de Léonor Serraille «Jeune Femme» sidère avec ce portrait solaire d'une fille moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Louise Dumas
Sous ses airs de comédie mélancolique et fantasque, "Jeune femme" traite en fait des difficultés rencontrées depuis toujours par celles qui sont imperceptiblement différentes (...).
Transfuge
par François Bégaudeau
Avec "Jeune femme", Léonor Serraille signe un brillant éloge de l'instabilité.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
"Jeune femme" est l’une des plus belles surprises prodiguées par le cinéma français ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Ferhat Abbas
(...) le film continue de surprendre dans des détails de mise en scène simples mais astucieux, qui insufflent au film une légèreté et mettent en lumière une direction d’acteurs et une interprétation formidables.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
L’originalité de ce premier film découle non pas de son postulat de départ mais de sa volonté, sa capacité à peindre le portrait subtil et complexe d’une héroïne insaisissable qui se construit (et se reconstruit) sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Actrice aussi étonnante que désopilante, Laetitia Dosch est une fille à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Antoine Le Fur
(...) le film en forme de chronique réaliste se révèle plus malin et ambitieux qu'il n'y paraît.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout en exagérant un peu l’adaptabilité de son héroïne, Léonor Serraille forge un personnage singulier, peu vu au cinéma, à mi-chemin entre citadin rangé et nomade. D’où le caractère plaisamment imprévisible de ce récit sans causalité, progressant comme un jeu de l’oie, en fonction des écueils et des bonheurs croisés sur sa route par l’héroïne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce long métrage où éclate le talent de sa réalisatrice, Léonor Serraille, et de son actrice principale, Laetitia Dosch, a été récompensé de la Caméra d’or à Cannes et du prix d’Ornano-Valenti à Deauville, décernés à un premier film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Jeune femme, certes, ne révolutionne pas la grammaire cinématographique mais infuse un sang neuf à ce cinéma français peuplé de vieux roudoudous confits dans leurs conventions.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film en marche, qui avance en toute liberté, porté par une interprète qui donne chair et souffle à un personnage farfelu et gentiment fêlé, qui suscite immanquablement le sourire complice de la sympathie.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De tous les plans, tantôt insupportable, tantôt attendrissante avec ses grands yeux inquiets et son doux sourire, [Laetitia Dosch] impressionne.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
“Jeune femme” est un premier film assez classique dans sa forme, mais dynamité par le duo que forment la réalisatrice et son actrice.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Avec ce portrait virevoltant d'une trentenaire marginale, la réalisatrice défend un cinéma humain et hédoniste, récompensé par la Caméra d'or à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Léonor Serraille sait maintenir sa caméra en éveil, alors même que son scénario, fort bien écrit, aurait pu cadenasser son film, ou le réduire à de la simple illustration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Caméra d'or du dernier Festival de Cannes, le premier film de Léonor Serraille a tout pour devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Tourbillonnant, irritant, bouleversant, Jeune femme est un objet curieux qui possède une arme secrète : son humour volontiers iconoclaste qui permet à la réalisatrice et à son actrice de dédramatiser pudiquement le désordre intérieur de leur héroïne virevoltante. Ce n’est pas la moindre de ses qualités.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Gai et tragique à la fois, le film sacré par la Caméra d’or du dernier festival de Cannes, conquiert par son humour et sa liberté, ses tumultes fins, son écriture fluide, son incarnation puissante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Paula (Laetitia Dosch, une révélation) se cogne partout, mais fonce.
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Léonor Serraille fait montre d’une qualité d’observation rare pour un premier film. Sensible et énergique, son portrait de femme ne reformule pas les attendus du genre mais nous embarque dans une zone intermédiaire, cet interstice dans lequel précisément s’accomplit sa merveilleuse "jeune femme".
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce premier long-métrage de Léonor Serraille, récompensé en mai à Cannes par la Caméra d’or, réactive avec un engagement remarquable l’art du portrait, ici celui d’une trentenaire à la dérive, lâchée dans un Paris hostile, sans autre ressource que son émotivité débordante et sa capacité à se réinventer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Il y a du très bon dans ce premier film (...). Cependant, ce personnage de trentenaire foutraque (...) est en passe de devenir un cliché du cinéma français.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) le portrait subtil d'une jeune femme singulière et attachante. De tous les plans, Laetitia Dosch (La Bataille de Solférino) volcanique et émouvante à la fois, irradie ce joli film (...).
Télérama
par Cécile Mury
Paula est encore ailleurs, dans le naturel et la sensualité fantasque de son interprète, Laetitia Dosch. En larmes ou en orbite dans ses rêves, en uniforme rose ou perdue dans son grand manteau rouge, la comédienne est la révélation du film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Difficile d’éprouver de l’empathie pour ce caractère trempé mais exténuant… Paula fait très vite le vide autour d’elle, et les personnages secondaires n’ont pas le temps d’exister.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
VSD
par Bernard Achour
Quelque chose nous dit qu’en attribuant sa Caméra d’Or à Jeune femme, c’est essentiellement la révélation d’une actrice hors normes que le jury a voulu récompenser.
Cahiers du Cinéma
Léonor Serraille, dont c’est le premier long métrage, fait partie de ces nouveaux cinéastes préférant la bifurcation aventureuse aux sentiers balisés du cinéma français.
Le Figaro
On conseille de se précipiter dans les salles car Jeune Femme est un film qui dépote, comme son héroïne, Paula, et son interprète, Laetitia Dosch.
Le Parisien
Lauréat de la Caméra d'or au dernier Festival de Cannes, le film de Léonor Serraille «Jeune Femme» sidère avec ce portrait solaire d'une fille moderne.
Positif
Sous ses airs de comédie mélancolique et fantasque, "Jeune femme" traite en fait des difficultés rencontrées depuis toujours par celles qui sont imperceptiblement différentes (...).
Transfuge
Avec "Jeune femme", Léonor Serraille signe un brillant éloge de l'instabilité.
Bande à part
"Jeune femme" est l’une des plus belles surprises prodiguées par le cinéma français ces dernières années.
Critikat.com
(...) le film continue de surprendre dans des détails de mise en scène simples mais astucieux, qui insufflent au film une légèreté et mettent en lumière une direction d’acteurs et une interprétation formidables.
Culturopoing.com
L’originalité de ce premier film découle non pas de son postulat de départ mais de sa volonté, sa capacité à peindre le portrait subtil et complexe d’une héroïne insaisissable qui se construit (et se reconstruit) sous nos yeux.
Elle
Actrice aussi étonnante que désopilante, Laetitia Dosch est une fille à suivre.
L'Express
(...) le film en forme de chronique réaliste se révèle plus malin et ambitieux qu'il n'y paraît.
L'Humanité
Tout en exagérant un peu l’adaptabilité de son héroïne, Léonor Serraille forge un personnage singulier, peu vu au cinéma, à mi-chemin entre citadin rangé et nomade. D’où le caractère plaisamment imprévisible de ce récit sans causalité, progressant comme un jeu de l’oie, en fonction des écueils et des bonheurs croisés sur sa route par l’héroïne.
La Croix
Ce long métrage où éclate le talent de sa réalisatrice, Léonor Serraille, et de son actrice principale, Laetitia Dosch, a été récompensé de la Caméra d’or à Cannes et du prix d’Ornano-Valenti à Deauville, décernés à un premier film.
La Voix du Nord
Jeune femme, certes, ne révolutionne pas la grammaire cinématographique mais infuse un sang neuf à ce cinéma français peuplé de vieux roudoudous confits dans leurs conventions.
Le Dauphiné Libéré
Un film en marche, qui avance en toute liberté, porté par une interprète qui donne chair et souffle à un personnage farfelu et gentiment fêlé, qui suscite immanquablement le sourire complice de la sympathie.
Le Journal du Dimanche
De tous les plans, tantôt insupportable, tantôt attendrissante avec ses grands yeux inquiets et son doux sourire, [Laetitia Dosch] impressionne.
Les Fiches du Cinéma
“Jeune femme” est un premier film assez classique dans sa forme, mais dynamité par le duo que forment la réalisatrice et son actrice.
Les Inrockuptibles
Avec ce portrait virevoltant d'une trentenaire marginale, la réalisatrice défend un cinéma humain et hédoniste, récompensé par la Caméra d'or à Cannes.
Libération
Léonor Serraille sait maintenir sa caméra en éveil, alors même que son scénario, fort bien écrit, aurait pu cadenasser son film, ou le réduire à de la simple illustration.
Paris Match
Caméra d'or du dernier Festival de Cannes, le premier film de Léonor Serraille a tout pour devenir culte.
Première
Tourbillonnant, irritant, bouleversant, Jeune femme est un objet curieux qui possède une arme secrète : son humour volontiers iconoclaste qui permet à la réalisatrice et à son actrice de dédramatiser pudiquement le désordre intérieur de leur héroïne virevoltante. Ce n’est pas la moindre de ses qualités.
Sud Ouest
Gai et tragique à la fois, le film sacré par la Caméra d’or du dernier festival de Cannes, conquiert par son humour et sa liberté, ses tumultes fins, son écriture fluide, son incarnation puissante.
Voici
Paula (Laetitia Dosch, une révélation) se cogne partout, mais fonce.
La Septième Obsession
Léonor Serraille fait montre d’une qualité d’observation rare pour un premier film. Sensible et énergique, son portrait de femme ne reformule pas les attendus du genre mais nous embarque dans une zone intermédiaire, cet interstice dans lequel précisément s’accomplit sa merveilleuse "jeune femme".
Le Monde
Ce premier long-métrage de Léonor Serraille, récompensé en mai à Cannes par la Caméra d’or, réactive avec un engagement remarquable l’art du portrait, ici celui d’une trentenaire à la dérive, lâchée dans un Paris hostile, sans autre ressource que son émotivité débordante et sa capacité à se réinventer.
Studio Ciné Live
Il y a du très bon dans ce premier film (...). Cependant, ce personnage de trentenaire foutraque (...) est en passe de devenir un cliché du cinéma français.
Télé 7 Jours
(...) le portrait subtil d'une jeune femme singulière et attachante. De tous les plans, Laetitia Dosch (La Bataille de Solférino) volcanique et émouvante à la fois, irradie ce joli film (...).
Télérama
Paula est encore ailleurs, dans le naturel et la sensualité fantasque de son interprète, Laetitia Dosch. En larmes ou en orbite dans ses rêves, en uniforme rose ou perdue dans son grand manteau rouge, la comédienne est la révélation du film.
L'Obs
Difficile d’éprouver de l’empathie pour ce caractère trempé mais exténuant… Paula fait très vite le vide autour d’elle, et les personnages secondaires n’ont pas le temps d’exister.
VSD
Quelque chose nous dit qu’en attribuant sa Caméra d’Or à Jeune femme, c’est essentiellement la révélation d’une actrice hors normes que le jury a voulu récompenser.