Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un thriller tendu et terriblement efficace.
20 Minutes
par Caroline Vié
Entre enquête policière et cinéma d’aventures, Sheridan a trouvé le ton de ce film engagé. Son œuvre intense ne fait pas de cadeau au spectateur au fil d’une intrigue diaboliquement orchestrée où les paysages sauvages jouent un rôle capital.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Entre plans au symbolisme appuyé et répliques sentencieuses, "Wind River" a les maladresses d’un premier film. Rien qui ne mine son efficacité narrative ou émotionnelle.
Closer
par La Rédaction
Brutal et parfois dur, ce polar qui dépeint le quotidien d'une réserve indienne est l'occasion pour Jeremy Renner de démontrer toute l'étendue de son talent.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Prix de la mise en scène de la section "Un certain regard" du dernier Festival de Cannes, "Wind River" tient les promesses du scénariste de "Sicario" et "Comencheria". Taylor Sheridan. Un beau thriller hivernal, efficace au sous-texte édifiant. De la belle ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est du polar costaud, bien mené. Et Jeremy Renner ("Démineurs") est royal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Avec ce polar solennel et émouvant, le scénariste renommé Taylor Sheridan passe avec aisance à la réalisation pour faire connaître les tragédies rongeant les réserves indiennes aux États-Unis.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Par le scénariste de “Sicario”, un polar épuré et blanc comme neige, qui explore non sans talent la frontière de l’univers sauvage, qui n’est pas forcément là où on le pense…
Le Figaro
par La Rédaction
Noirceur, poésie, violence, Wind River redonne du rose aux joues à un genre qui s'était oublié dans les explosions et les poursuites de voitures.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un thriller crépusculaire captivant dont le rythme languissant favorise une immersion dans une réserve indienne et une communauté ravagée par l’alcool, la drogue, la violence, la précarité, l’isolement.
Le Point
par Philippe Guedj
Un film profond et musclé en terre amérindienne ? Ne cherchez plus : "Wind River" de Taylor Sheridan !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Yannick Vely
(...) si la trame n'est pas des plus originales, "Wind River" a deux sérieux atouts dans la manche : la splendeur enneigée du Wyoming et la dignité de la communauté amérindienne qui y vit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Christian Viviani
La banalité des scènes de ville s'oppose à la terrible splendeur des paysages. Les mouvements de caméra qui y pénètrent, l'ampleur du déploiement et le refus du pittoresque évoquent le meilleur d'Anthony Mann.
Voici
par La Rédaction
Malgré une résolution de l'enquête décevante et quelques phrases sentencieuses sur le sens de la vie d'un Jeremy Renner mélancolique, ce western tragique, violent et délicat, est une réussite.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le film mêle thriller et étude de la communauté amérindienne avec un sens aigu de la narration et une belle qualité technique. Taylor Sheridan est aussi bon réalisateur que scénariste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Comme chez Hillerman, l'enquête avance en douce, presque au ralenti, dans cette région recouverte par la neige, et ce rythme va bien au film. Il est alors dommage que la clef de l'affaire, assez banale, arrive en un flash-back prévisible et conclut le film à la va-vite.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Porté par Elizabeth Olsen et Jeremy Renner, parfait duo d’écorchés, “Wind River” est un somptueux drame policier, servi par une mise en scène brillante.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
De l’aveu même de son auteur, Taylor Sheridan, Wind River forme une trilogie avec Sicario et Comancheria, dont il a signé les scénarios mais laissé la mise en scène à d’autres (respectivement Denis Villeneuve et David Mackenzie) (…) Wind River est le moins inspiré, sans toutefois être déshonorant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Un miracle d’observation socio, de caractérisation minutieuse, de conversations amères retentissant dans l’immensité désolée, soit tout l’arsenal poétique "habituel" de Taylor Sheridan, au milieu duquel se loge une scène de fusillade de première bourre qui prouve que cet homme n’est pas doué qu’avec une machine à écrire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Damien Bonelli
Un petit polar montagneux qui ne culmine jamais très haut, même si à l’évidence, il ne cherche pas à respirer l’air raréfié des cimes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
C’est plutôt la qualité des scènes d’action et de gunfight qui impressionne : elles donnent à Wind River l’étoffe d’un petit western tout à fait regardable.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène très conventionnelle de la violence ne laisse pas "Wind River" atteindre la dimension tragique que suggèrent les références répétées du scénario au crime originel, le génocide des Amérindiens, sur lequel sont fondés les Etats-Unis.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le reste n’est qu’affaire de drones, au son (nappes vrombissantes) et à l’image (poursuites en motoneige), un soubassement musclé que la blancheur immaculée du lieu peine à contenir tandis qu’il s’achemine là où il voulait en venir, un viol collectif évidemment.
Ouest France
Un thriller tendu et terriblement efficace.
20 Minutes
Entre enquête policière et cinéma d’aventures, Sheridan a trouvé le ton de ce film engagé. Son œuvre intense ne fait pas de cadeau au spectateur au fil d’une intrigue diaboliquement orchestrée où les paysages sauvages jouent un rôle capital.
CinemaTeaser
Entre plans au symbolisme appuyé et répliques sentencieuses, "Wind River" a les maladresses d’un premier film. Rien qui ne mine son efficacité narrative ou émotionnelle.
Closer
Brutal et parfois dur, ce polar qui dépeint le quotidien d'une réserve indienne est l'occasion pour Jeremy Renner de démontrer toute l'étendue de son talent.
Franceinfo Culture
Prix de la mise en scène de la section "Un certain regard" du dernier Festival de Cannes, "Wind River" tient les promesses du scénariste de "Sicario" et "Comencheria". Taylor Sheridan. Un beau thriller hivernal, efficace au sous-texte édifiant. De la belle ouvrage.
L'Obs
C’est du polar costaud, bien mené. Et Jeremy Renner ("Démineurs") est royal.
La Croix
Avec ce polar solennel et émouvant, le scénariste renommé Taylor Sheridan passe avec aisance à la réalisation pour faire connaître les tragédies rongeant les réserves indiennes aux États-Unis.
Le Dauphiné Libéré
Par le scénariste de “Sicario”, un polar épuré et blanc comme neige, qui explore non sans talent la frontière de l’univers sauvage, qui n’est pas forcément là où on le pense…
Le Figaro
Noirceur, poésie, violence, Wind River redonne du rose aux joues à un genre qui s'était oublié dans les explosions et les poursuites de voitures.
Le Journal du Dimanche
Un thriller crépusculaire captivant dont le rythme languissant favorise une immersion dans une réserve indienne et une communauté ravagée par l’alcool, la drogue, la violence, la précarité, l’isolement.
Le Point
Un film profond et musclé en terre amérindienne ? Ne cherchez plus : "Wind River" de Taylor Sheridan !
Paris Match
(...) si la trame n'est pas des plus originales, "Wind River" a deux sérieux atouts dans la manche : la splendeur enneigée du Wyoming et la dignité de la communauté amérindienne qui y vit.
Positif
La banalité des scènes de ville s'oppose à la terrible splendeur des paysages. Les mouvements de caméra qui y pénètrent, l'ampleur du déploiement et le refus du pittoresque évoquent le meilleur d'Anthony Mann.
Voici
Malgré une résolution de l'enquête décevante et quelques phrases sentencieuses sur le sens de la vie d'un Jeremy Renner mélancolique, ce western tragique, violent et délicat, est une réussite.
aVoir-aLire.com
Le film mêle thriller et étude de la communauté amérindienne avec un sens aigu de la narration et une belle qualité technique. Taylor Sheridan est aussi bon réalisateur que scénariste.
L'Express
Comme chez Hillerman, l'enquête avance en douce, presque au ralenti, dans cette région recouverte par la neige, et ce rythme va bien au film. Il est alors dommage que la clef de l'affaire, assez banale, arrive en un flash-back prévisible et conclut le film à la va-vite.
Les Fiches du Cinéma
Porté par Elizabeth Olsen et Jeremy Renner, parfait duo d’écorchés, “Wind River” est un somptueux drame policier, servi par une mise en scène brillante.
Les Inrockuptibles
De l’aveu même de son auteur, Taylor Sheridan, Wind River forme une trilogie avec Sicario et Comancheria, dont il a signé les scénarios mais laissé la mise en scène à d’autres (respectivement Denis Villeneuve et David Mackenzie) (…) Wind River est le moins inspiré, sans toutefois être déshonorant.
Première
Un miracle d’observation socio, de caractérisation minutieuse, de conversations amères retentissant dans l’immensité désolée, soit tout l’arsenal poétique "habituel" de Taylor Sheridan, au milieu duquel se loge une scène de fusillade de première bourre qui prouve que cet homme n’est pas doué qu’avec une machine à écrire.
Critikat.com
Un petit polar montagneux qui ne culmine jamais très haut, même si à l’évidence, il ne cherche pas à respirer l’air raréfié des cimes.
La Septième Obsession
C’est plutôt la qualité des scènes d’action et de gunfight qui impressionne : elles donnent à Wind River l’étoffe d’un petit western tout à fait regardable.
Le Monde
La mise en scène très conventionnelle de la violence ne laisse pas "Wind River" atteindre la dimension tragique que suggèrent les références répétées du scénario au crime originel, le génocide des Amérindiens, sur lequel sont fondés les Etats-Unis.
Cahiers du Cinéma
Le reste n’est qu’affaire de drones, au son (nappes vrombissantes) et à l’image (poursuites en motoneige), un soubassement musclé que la blancheur immaculée du lieu peine à contenir tandis qu’il s’achemine là où il voulait en venir, un viol collectif évidemment.