Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Tour à tour mélo bouleversant, slasher baroque ou comédie bouffonne, un film audacieux, transformiste et fantasque, nourri par le cinéma mais hanté par la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Sophie Avon
Une incroyable impression de liberté se dégage de ce film poétique et sexy.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
En se rattachant au thriller italien, Yann Gonzalez ne boucle pourtant pas son film dans un genre. Bien au contraire, il ose en faire un objet encore plus impur, désorienté et insensé.
Critikat.com
par Thomas Choury
Un Couteau dans le cœur est un tissu de bonnes nouvelles tant il réalise ce que le « genre à la française » mérite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot et Christophe Seguin
Beau comme une chanson de Jean Guidoni, "Un couteau dans le coeur" exalte une splendeur orgiaque, décadente et vénéneuse du spectacle de la nuit (...) Le film de Yann Gonzales déborde d’amour : amour pour le cinéma de genre, amour pour une période révolue et amour de la marge.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Lino Cassinat
Après "Les Garçons sauvages" du copain Bertrand Mandico (ici acteur), assisterions nous au début d'une remontée à la surface de cinéastes radicalement différents jusqu'ici cantonnés à des cercles quasi-underground ? On l'espère, tant voir un film aussi particulier qu'"Un Couteau dans le coeur" nous réjouit, même s'il échoue de peu à nous convaincre totalement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Derrière ce film toujours surprenant, à la fois modeste et radical, naïf et ambitieux, il y a le plaisir d'un conteur et d'un amoureux du cinéma. De tous les cinémas.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Après les Rencontres d’après minuit, Yann Gonzalez confirme avec ce deuxième film au casting soigné (Jacques Nolot, Romane Bohringer, Florence Giorgietti en dame pipi) son statut de cinéaste à part, joyeusement clivant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un cri du cœur, un chant d’amour et de désir pour l’autre et pour le cinéma bis.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Saturé d’images mentales, de couleurs pop, de néons artificiels, de scènes de club électrisantes (…) C’est le film d’un réalisateur qui place le sentiment haut et est mû par une croyance indéfectible dans le cinéma et ses sortilèges.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Avec Un couteau dans le cœur, Yann Gonzalez offre un rôle intense à Vanessa Paradis.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jean-François Rauger
Un couteau dans le coeur est une déclaration d’amour tout autant qu’une déconstruction des thrillers italiens de série des années 1970 (les fameux giallos dont la critique « sérieuse » commence de découvrir la beauté), du cinéma pornographique (dont on sait à quel point il touche à la singularité irréductible du septième art dans sa frénésie de monstration), mais aussi de l’abstraction plastique.
Les Fiches du Cinéma
par G.R.
Gonzalez signe un film étrange, lyrique et drôle, sans doute plus accessible que son précédent long métrage et porté par une impeccable distribution.
Libération
par Marcos Uzal
Le caractère très composite du récit, de la forme, ainsi que des personnages - par delà les frontières du masculin et du féminin, et parfois de l’humain et de l’animal - participe de cette idéalisation d’un monde flamboyant, hédoniste, se jetant à corps perdu dans le plaisir et l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Thomas Agnelli
En somme, une célébration des amours plurielles qui, à défaut de nous glacer l'échine, nous enjoint à ne jamais avoir peur de rien, surtout pas de nos fantasmes.
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Clins d’œil, citations, hommages, le film en regorge. (...) Mais nul besoin d’identifier ces références pour aimer Un couteau dans le cœur, qui affiche aussi, paradoxalement, une limpidité, une franchise enfantines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un hommage flamboyant aux giallos de Dario Argento et aux films de De Palma, mené de main de fer par une Vanessa Paradis platine, désespérée, violente.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
POUR : Mêlant poésie lyrique et démarche de série B, mais aussi premier degré et ton décalé, cette œuvre non consensuelle assume ses excès et brille par son audace créative, loin des sentiers balisés du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le polar oscille entre grotesque assumé, climat horrifique et suavité romantique, même si Yann Gonzalez réalise avant tout un portrait de femme amoureuse et douloureuse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CNews
par La rédaction
Hommage au giallo italien mêlant thriller, cinéma d’horreur et érotisme – tant par son esthétisme que par son traitement – ce film kitsch et drôle malgré lui [...] peine à convaincre.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Certes, la nostalgie de Yann Gonzalez pour ce cinéma des années 70 est sincère, mais sans cette grille de lecture, on passe complètement à côté de son film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Une expérience kitsch et fétichiste bourrée de références au genre. L’intrigue n’a ici que peu d’intérêt, c’est mal ou surjoué mais c’est paraît-il fait exprès. On peut éventuellement se laisser convaincre par le trip esthétique.
Première
par Christophe Narbonne
Un film bancal que la prestation convaincante de Vanessa Paradis (et du fantasque Nicolas Maury) ne suffit pas à élever au-dessus du simple hommage fétichiste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le cinéaste fait donc des manières avec un cinéma déjà maniériste : en résulte une oeuvre caricaturale, souvent risible, notamment quand Gonzalez devient soudain solennel avec ses excès de lyrisme outré et faussement délicat avec sa poésie d'étudiant romantique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’ennui est que tout cela, qui donne parfois des trouvailles visuelles et des plans surprenants, tourne à vide dans les nouveaux clichés que véhicule ce cinéma d’une liberté qui prétend faire éclater tous les tabous.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Vanessa Paradis s'égare en productrice de films pornos gays dans ce pastiche pompeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Fantasme de pacotille exhibé au grand air, névrose mal dégrossie, ringarde et catastrophique… Voilà un navet flamboyant propre à désespérer les cinéastes qui s’attachent, avec mille difficultés, à faire du bon travail.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un nanar surjoué, aux couleurs criardes et au scénario bancal.
Positif
par Michel Cieutat
La honte de la compétition officielle lors du dernier festival de Cannes !
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : On a, donc, devant ce deuxième film hardi et inabouti, le sentiment d’entrevoir un auteur, sans parvenir à se persuader de son importance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
CONTRE : Un exercice de style aussi fade que bariolé, qui n’a pas l’audace de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Tour à tour mélo bouleversant, slasher baroque ou comédie bouffonne, un film audacieux, transformiste et fantasque, nourri par le cinéma mais hanté par la vie.
20 Minutes
Une incroyable impression de liberté se dégage de ce film poétique et sexy.
Cahiers du Cinéma
En se rattachant au thriller italien, Yann Gonzalez ne boucle pourtant pas son film dans un genre. Bien au contraire, il ose en faire un objet encore plus impur, désorienté et insensé.
Critikat.com
Un Couteau dans le cœur est un tissu de bonnes nouvelles tant il réalise ce que le « genre à la française » mérite.
Culturopoing.com
Beau comme une chanson de Jean Guidoni, "Un couteau dans le coeur" exalte une splendeur orgiaque, décadente et vénéneuse du spectacle de la nuit (...) Le film de Yann Gonzales déborde d’amour : amour pour le cinéma de genre, amour pour une période révolue et amour de la marge.
Ecran Large
Après "Les Garçons sauvages" du copain Bertrand Mandico (ici acteur), assisterions nous au début d'une remontée à la surface de cinéastes radicalement différents jusqu'ici cantonnés à des cercles quasi-underground ? On l'espère, tant voir un film aussi particulier qu'"Un Couteau dans le coeur" nous réjouit, même s'il échoue de peu à nous convaincre totalement.
L'Express
Derrière ce film toujours surprenant, à la fois modeste et radical, naïf et ambitieux, il y a le plaisir d'un conteur et d'un amoureux du cinéma. De tous les cinémas.
L'Humanité
Après les Rencontres d’après minuit, Yann Gonzalez confirme avec ce deuxième film au casting soigné (Jacques Nolot, Romane Bohringer, Florence Giorgietti en dame pipi) son statut de cinéaste à part, joyeusement clivant.
L'Obs
Un cri du cœur, un chant d’amour et de désir pour l’autre et pour le cinéma bis.
La Septième Obsession
Saturé d’images mentales, de couleurs pop, de néons artificiels, de scènes de club électrisantes (…) C’est le film d’un réalisateur qui place le sentiment haut et est mû par une croyance indéfectible dans le cinéma et ses sortilèges.
La Voix du Nord
Avec Un couteau dans le cœur, Yann Gonzalez offre un rôle intense à Vanessa Paradis.
Le Monde
Un couteau dans le coeur est une déclaration d’amour tout autant qu’une déconstruction des thrillers italiens de série des années 1970 (les fameux giallos dont la critique « sérieuse » commence de découvrir la beauté), du cinéma pornographique (dont on sait à quel point il touche à la singularité irréductible du septième art dans sa frénésie de monstration), mais aussi de l’abstraction plastique.
Les Fiches du Cinéma
Gonzalez signe un film étrange, lyrique et drôle, sans doute plus accessible que son précédent long métrage et porté par une impeccable distribution.
Libération
Le caractère très composite du récit, de la forme, ainsi que des personnages - par delà les frontières du masculin et du féminin, et parfois de l’humain et de l’animal - participe de cette idéalisation d’un monde flamboyant, hédoniste, se jetant à corps perdu dans le plaisir et l’imaginaire.
Mad Movies
En somme, une célébration des amours plurielles qui, à défaut de nous glacer l'échine, nous enjoint à ne jamais avoir peur de rien, surtout pas de nos fantasmes.
Télérama
POUR : Clins d’œil, citations, hommages, le film en regorge. (...) Mais nul besoin d’identifier ces références pour aimer Un couteau dans le cœur, qui affiche aussi, paradoxalement, une limpidité, une franchise enfantines.
Voici
Un hommage flamboyant aux giallos de Dario Argento et aux films de De Palma, mené de main de fer par une Vanessa Paradis platine, désespérée, violente.
aVoir-aLire.com
POUR : Mêlant poésie lyrique et démarche de série B, mais aussi premier degré et ton décalé, cette œuvre non consensuelle assume ses excès et brille par son audace créative, loin des sentiers balisés du cinéma français.
Sud Ouest
Le polar oscille entre grotesque assumé, climat horrifique et suavité romantique, même si Yann Gonzalez réalise avant tout un portrait de femme amoureuse et douloureuse.
CNews
Hommage au giallo italien mêlant thriller, cinéma d’horreur et érotisme – tant par son esthétisme que par son traitement – ce film kitsch et drôle malgré lui [...] peine à convaincre.
Franceinfo Culture
Certes, la nostalgie de Yann Gonzalez pour ce cinéma des années 70 est sincère, mais sans cette grille de lecture, on passe complètement à côté de son film.
Le Journal du Dimanche
Une expérience kitsch et fétichiste bourrée de références au genre. L’intrigue n’a ici que peu d’intérêt, c’est mal ou surjoué mais c’est paraît-il fait exprès. On peut éventuellement se laisser convaincre par le trip esthétique.
Première
Un film bancal que la prestation convaincante de Vanessa Paradis (et du fantasque Nicolas Maury) ne suffit pas à élever au-dessus du simple hommage fétichiste.
Transfuge
Le cinéaste fait donc des manières avec un cinéma déjà maniériste : en résulte une oeuvre caricaturale, souvent risible, notamment quand Gonzalez devient soudain solennel avec ses excès de lyrisme outré et faussement délicat avec sa poésie d'étudiant romantique.
Le Dauphiné Libéré
L’ennui est que tout cela, qui donne parfois des trouvailles visuelles et des plans surprenants, tourne à vide dans les nouveaux clichés que véhicule ce cinéma d’une liberté qui prétend faire éclater tous les tabous.
Le Figaro
Vanessa Paradis s'égare en productrice de films pornos gays dans ce pastiche pompeux.
Le Parisien
Fantasme de pacotille exhibé au grand air, névrose mal dégrossie, ringarde et catastrophique… Voilà un navet flamboyant propre à désespérer les cinéastes qui s’attachent, avec mille difficultés, à faire du bon travail.
Ouest France
Un nanar surjoué, aux couleurs criardes et au scénario bancal.
Positif
La honte de la compétition officielle lors du dernier festival de Cannes !
Télérama
CONTRE : On a, donc, devant ce deuxième film hardi et inabouti, le sentiment d’entrevoir un auteur, sans parvenir à se persuader de son importance.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Un exercice de style aussi fade que bariolé, qui n’a pas l’audace de son sujet.