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La mise en scène est conforme à la belle picturalité du film. Des labours aux moissons, l’air, sûrement, sent l’humus, le bois mouillé, les blés roussis.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
"Les Gardiennes" fait du beau son souci formel, dans une esthétique picturale inspirée à la fois par le clair-obscur de Georges de La Tour et la peinture paysanne de Jean-François Millet.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dès qu'il pose sa caméra sur le personnage de Francine, incarnée par Iris Bry, orpheline embauchée comme renfort à la ferme et qui s'éprend d'un des fils de la patronne, Beauvois trouve son sujet, et son film, sous le double parrainage de Pialat et de Truffaut.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Devant son objectif, Nathalie Baye revient à l’essence de sa vocation et fait oublier qu’elle parut dans le misérable Alibi.com. Les autres, les gueux, les inconnus, la caméra les pare tout autant d’une grandeur qui fait chaud au cœur.
Une fois de plus magnifié par la photographie de Caroline Champetier, le film est aussi l’écrin d’une découverte : la jeune Iris Bry, qui joue Francine, (...) le genre de personnalité qui suffit à redéfinir complètement la complexe nature d’un film par la seule intensité de leur surgissement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La tragédie de la Grande Guerre, sans champs de bataille à l'écran, imprègne chaque séquence où l'esthétique des plans est un écrin pour l'émotion silencieuse servie par de magnifiques comédiennes (...).
Xavier Beauvois et son opératrice Caroline Champetier filment magnifiquement les visages : Laura Smet (la fille aînée), Cyril Descours (le fils cadet) n’ont jamais paru aussi vulnérables et vrais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sur fond de ruralité, Xavier Beauvois signe un film tout de raffinement et de sobriété pour rendre hommage au courage des femmes prises dans la tourmente de la Première Guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) film délibérément austère, où tout le projet semble porté sur le soin des cadres, sur une parole distillée avec parcimonie, des silences lourds de sens.
Dans un film formellement magnifique, le réalisateur Des Hommes et des dieux, Xavier Beauvois, évoque le hors-champ de la Grande Guerre, dans un monde encore essentiellement rural, au travers le destin de trois femmes confrontées à l’absence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Beauvois s'inscrit avec talent une tradition très claire du cinéma français : le réalisme [...]. Dans sa forme, "Les Gardiennes" est donc un film très classique. Dans son récit aussi, qui de descriptif glisse vers le mélodrame. Rien à redire, sinon qu'il lui manque parfois un petit quelque chose.
Alors qu’il s’achève par un chant, le film rend un curieux son mat. Derrière l’élégance d’une mise en scène épousant toutes les circonstances, son cœur, ses nerfs demeurent insaisissables.
Cette complexité, dramaturgique et sociale à la fois, arrive toutefois bien tard dans ce film un rien compassé qui semble avoir le mal d’un pays qui n’existe plus de longue date, et dont on cherche sans le trouver l’enjeu par lequel il nous saisirait aujourd’hui.
Femme Actuelle
Un film d'une beauté classique qui prend son temps pour dresser de magnifiques portraits féminins.
L'Humanité
La mise en scène est conforme à la belle picturalité du film. Des labours aux moissons, l’air, sûrement, sent l’humus, le bois mouillé, les blés roussis.
Bande à part
"Les Gardiennes" fait du beau son souci formel, dans une esthétique picturale inspirée à la fois par le clair-obscur de Georges de La Tour et la peinture paysanne de Jean-François Millet.
Charlie Hebdo
En voilà un beau récit de guerre, puisque de la guerre, rien n'est montré..., ou alors, ce qui n'en a quasiment jamais été montré.
Franceinfo Culture
"Les Gardiennes" s’avère l’un des plus beaux films de cette fin d’année et de cette année tout court.
L'Obs
Dès qu'il pose sa caméra sur le personnage de Francine, incarnée par Iris Bry, orpheline embauchée comme renfort à la ferme et qui s'éprend d'un des fils de la patronne, Beauvois trouve son sujet, et son film, sous le double parrainage de Pialat et de Truffaut.
La Voix du Nord
Devant son objectif, Nathalie Baye revient à l’essence de sa vocation et fait oublier qu’elle parut dans le misérable Alibi.com. Les autres, les gueux, les inconnus, la caméra les pare tout autant d’une grandeur qui fait chaud au cœur.
Le Dauphiné Libéré
La Grande Guerre vue de l'arrière, côté femmes, dans un film qui rend à celles-ci tout ce qui leur revient.
Libération
Une fois de plus magnifié par la photographie de Caroline Champetier, le film est aussi l’écrin d’une découverte : la jeune Iris Bry, qui joue Francine, (...) le genre de personnalité qui suffit à redéfinir complètement la complexe nature d’un film par la seule intensité de leur surgissement.
Marianne
Avec "Les Gardiennes", Xavier Beauvois restitue les réalités d'il y a un siècle, mais regarde également notre époque droit dans les yeux.
Positif
Beauvois, Bry, Champetier, trois bonnes raisons de découvrir ce beau film.
Sud Ouest
Xavier Beauvois réalise une œuvre inspirée qui chante mezzo voce le courage des femmes dans un monde de brutes.
Télé 7 Jours
La tragédie de la Grande Guerre, sans champs de bataille à l'écran, imprègne chaque séquence où l'esthétique des plans est un écrin pour l'émotion silencieuse servie par de magnifiques comédiennes (...).
Télé Loisirs
Un film à la fois épuré et dense, qui rend un hommage vibrant au courage des femmes durant la guerre.
Télérama
Xavier Beauvois et son opératrice Caroline Champetier filment magnifiquement les visages : Laura Smet (la fille aînée), Cyril Descours (le fils cadet) n’ont jamais paru aussi vulnérables et vrais.
aVoir-aLire.com
Sur fond de ruralité, Xavier Beauvois signe un film tout de raffinement et de sobriété pour rendre hommage au courage des femmes prises dans la tourmente de la Première Guerre mondiale.
L'Express
(...) film délibérément austère, où tout le projet semble porté sur le soin des cadres, sur une parole distillée avec parcimonie, des silences lourds de sens.
La Croix
Dans un film formellement magnifique, le réalisateur Des Hommes et des dieux, Xavier Beauvois, évoque le hors-champ de la Grande Guerre, dans un monde encore essentiellement rural, au travers le destin de trois femmes confrontées à l’absence.
La Septième Obsession
Beauvois a saisi l’occasion de retrouver une ampleur perdue dans le cinéma français.
Le Journal du Dimanche
Malgré un manque d’émotion, on est captivé par l’intrigue et la première réunion au cinéma de Nathalie Baye et de sa fille, Laura Smet.
Les Inrockuptibles
Beauvois s'inscrit avec talent une tradition très claire du cinéma français : le réalisme [...]. Dans sa forme, "Les Gardiennes" est donc un film très classique. Dans son récit aussi, qui de descriptif glisse vers le mélodrame. Rien à redire, sinon qu'il lui manque parfois un petit quelque chose.
Première
Par son ampleur esthétique et la puissance de ses interprètes, "Les Gardiennes" se révèle toutefois un beau morceau de cinéma.
Studio Ciné Live
Un film inégal qui parvient tout de même à trouver sa voie.
Transfuge
(...) film d’un grand classicisme (...) "Les Gardiennes" mue ainsi en récit d’une éclosion. Celle d’une jeune femme indépendante.
Voici
Un western rural, hommage au travail de la terre.
Cahiers du Cinéma
Alors qu’il s’achève par un chant, le film rend un curieux son mat. Derrière l’élégance d’une mise en scène épousant toutes les circonstances, son cœur, ses nerfs demeurent insaisissables.
Critikat.com
Jamais Beauvois ne trouve le juste ton, oscillant entre une retenue de surface et des élans mélodramatiques mal calibrés.
Le Monde
Cette complexité, dramaturgique et sociale à la fois, arrive toutefois bien tard dans ce film un rien compassé qui semble avoir le mal d’un pays qui n’existe plus de longue date, et dont on cherche sans le trouver l’enjeu par lequel il nous saisirait aujourd’hui.
Le Figaro
Un feuilleton rural ennuyeux et démodé.