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labellejardinière
85 abonnés
274 critiques
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0,5
Publiée le 19 novembre 2016
Cherchons le qualificatif idoine pour résumer cet "Iris" de cinéma...... Académique sur la forme, vide sur le fond... Mais c'est bien sûr... Allons au plus simple : un "navet" !
Rien à voir avec la figure homérique, la messagère d'Héra... Jalil Lespert le (co)scénariste a cependant vu double avec son personnage central (qui le restera, spoiler: même mourant au bout de 10 minutes, renforçant l'impression créée par l'affiche du film - qui est bien la seule chose réussie dans cette affaire...) au nom de mythe. Pour une intrigue, hélas, qui ne fait pas long feu (sur la durée du "mystère") - et finalement fait long feu (sur le but poursuivi - faire naître et développer un "thriller", digne de ce nom) - voilà pour le fond, et est mise en scène (par JL) de manière ô combien gauche (voire indigente). Dans le trio de l'affiche, on distingue JL à senestre (en fait, il a donc vu triple pour ses casquettes, puisque se distribuant en "banquier d'affaires", et mari barbu) et Romain Duris à dextre (moustachu et faisant la gueule en permanence, se demandant peut-être pourquoi il avait accepté de tourner dans un tel navet - Max Lopez, le dépanneur auto, et plus, si ....) : ces deux messieurs ne parviendront jamais à donner de la chair à leurs personnages, 1 h 39 durant. Quant à "Iris" (Charlotte Le Bon)... à part sa plastique (complaisamment dévoilée, grâce à un "supplément" pseudo épicé, SM, étalé à l'écran avec une emphase pompière), qui pourra intéresser certains.... Comme c'est une histoire "policière", il y a aussi des policiers - pas remarquables non plus un seul instant (appendice à la Cyrano de Camille Cottin mis à part, bien sûr). Un joli ratage, au global.
Médiocre téléfilm manièré, on ne comprend pas ce que Charlotte Le bon et Romain Duris sont allés faire dans cette galère. On ne relèvera pas toutes les invraisemblances et les faussetés de ce navet qui se prend très au sérieux.
Que ceux qui doivent subir les suites de 40 nuances de Grey, courez voir ce navet à la pseudo intrigue adultéro-sado-masochiste bourgeois friqués. Cela vous evitera de subir 4 heures de supplice. Pour résumer, nous avons là, un polar de zone Z érotico porno soft bcbg. Mettre une musique à fort volume ne suffit pas à donner un caractère de thriller à cette chose cinématographique.
Dans « Iris », si on ne peut guère faire de reproche à Jalil Lespert, pour sa performance d’acteur, on ne peut en dire autant de sa performance de metteur en scène. Encore moins inspiré que dans son « Ives St-Laurent », Lespert, ici, adopte un rythme qui manque totalement de dynamisme. Il étire parfois inutilement certaines scènes, dont certaines sont quelquefois redondantes, voire, par moments, voyeuristes. Ne parlons même pas de ses compétences de scénariste. En effet, l’intrigue qu’a imaginée Lespert est criblée de situations peu vraisemblables, avec des dialogues, qui souvent frôlent l’iréel (la flique et le banquier, au sujet du sexe). Pénible, en dépit de la présence d’un excellent Duris.
Quelle catastrophe ! Je me suis dit que certes les critiques étaient vraiment mauvaises mais comme quelques une étaient meilleures , pourquoi pas tenter le coup ? Le thriller sensé donner des frissons angoissants m'a fait hurler de rire ! Déjà là c'est pas bon signe . Vraiment pas bon signe. Chatlotte Lebon a une vraie tête à claques et comme son acolyte Duris joue comme un pied. L'histoire est abracadabrante . Bref ce film est un véritable navet .
Quelle catastrophe !! Histoire abracadabrante : comment le mari pouvait être sûr que le garagiste ne regarderait pas le visage de sa femme ? Pourquoi celui ci semble découvrir que sa femme est morte dans l appartement ? Pourquoi se suicide t il. ? Tous les personnages sont antipathiques à souhait sauf les deux policiers complètement largués
Ennuyeux, mal joué, l'enfer. Rien ne tient la route, l'intrigue est pourrie, l'ambiance est naze. Je sais toujours pas comment on a tenu jusqu'à la fin.