Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Un piège à la fois sophistiqué et sulfureux orchestré de main de maître : voici ce dans quoi Lespert plonge le spectateur avec Iris.
Elle
par Emilie Rivenq
On se laisse entraîner avec plaisir par ce trio troublant dans un tourbillon de bondage, de frustrations amoureuses et de chantages qui confirme qu'en matière de film policier, Jalil est l'expert.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Après "Des vents contraires" et "Yves Saint Laurent", Jalil Lespert confirme son talent de réalisateur : depuis longtemps (depuis Beineix ?), le cinéma français n’avait connu pareille recherche esthétique. A suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
S’il n’a pas la dextérité visuelle d’un David Fincher, sa direction d’acteurs sur le fil du rasoir permet à "Iris" de flirter entre divertissement et drame psychologique sans jamais sacrifier l’un à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un thriller de veine hitchcockienne, qui a pour ambition principale de jouer les règles du genre et qui y parvient plutôt bien, grâce en particulier à une Charlotte Le Bon qui assume vaillamment son rôle érotique d’obscur objet du désir.
Voici
par La Rédaction
Un suspense de manipulation autour de la troublante Charlotte Le Bon.
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le cinéma français grand-public trouvera-t-il son salut dans les remakes de films étrangers ? Forte de variantes plus ou moins opportunes, cette tentative réalisée et interprétée par Jalil Lespert apporte une réponse mi-figue mi-raisin à la question.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On marche dans le jeu jusqu'à ce qu'une partie du mystère, finalement assez conventionnel, soit levé. Si le film devient dès lors moins haletant, on reste néanmoins séduit par les personnages troubles que Lespert met en scène.
Télérama
par Frédéric Strauss
À travers ce trio, le film dit un peu trop clairement son envie de séduire, mais se donne des atouts pour y arriver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Malgré quelques faiblesses, le thriller vénéneux se laisse agréablement regarder grâce à ses nombreux rebondissements scénaristiques et à son casting judicieusement choisi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sadomasochisme, manipulation et perversion au sein de ce jeu de dupes qui se prend un peu au sérieux. Malgré des incohérences et l’interprétation appuyée de Romain Duris, cette série B réussit à intriguer.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Où le triangle érotique se démultiplie au point de constituer une toile d’araignée : banquier sadomasochiste, garagiste pris à la gorge créature qui n’est pas celle que l’on croit, chantage, changements d’identité et sadomasochisme, tout ça pour un seul film. C’est beaucoup, et Jalil Lespert d’araignée devient mouche, pris à son propre piège.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Jalil Lespert adapte trop sagement un pur thriller à rebondissements signé Nakata.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On manipule le spectateur de bout en bout, quitte à lui mentir ; on accumule les clichés grossiers (bourgeois salaces, prolos rustres et losers). Cela se veut chic, émoustillant et intrigant, mais ça sent trop l’effort..
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Grosse galère – scénario téléphoné, mise en scène racoleuse, érotisme putride – dans laquelle s’est plongé le sympathique Jalil Lespert.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On comprend tout dès la première bobine de ce thriller érotique qui louche du côté de "Basic Instinct" et où le mot "paranoïaque" retentit dans les dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Inutile de se s’escrimer sur l’intrigue impossible de ce thriller qui veut jouer dans la cour des grands. Qu’il ne tienne pas la route n’est pas le pire. Ce qui heurte, ce sont les affreux clichés sociaux dont il est tissé, et sur lesquels repose son style en toc.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Jalil Lespert, collé aux basques de son intrigue gigogne, enchaîne les situations trop signifiantes pour susciter le moindre trouble. Son récit, peuplé d'archétypes (...), disqualifie tout suspense. Et la caméra a beau rendre tout cela joli à l'image, rien n'y fait.
CNews
Un piège à la fois sophistiqué et sulfureux orchestré de main de maître : voici ce dans quoi Lespert plonge le spectateur avec Iris.
Elle
On se laisse entraîner avec plaisir par ce trio troublant dans un tourbillon de bondage, de frustrations amoureuses et de chantages qui confirme qu'en matière de film policier, Jalil est l'expert.
L'Obs
Après "Des vents contraires" et "Yves Saint Laurent", Jalil Lespert confirme son talent de réalisateur : depuis longtemps (depuis Beineix ?), le cinéma français n’avait connu pareille recherche esthétique. A suivre.
LCI
S’il n’a pas la dextérité visuelle d’un David Fincher, sa direction d’acteurs sur le fil du rasoir permet à "Iris" de flirter entre divertissement et drame psychologique sans jamais sacrifier l’un à l’autre.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller de veine hitchcockienne, qui a pour ambition principale de jouer les règles du genre et qui y parvient plutôt bien, grâce en particulier à une Charlotte Le Bon qui assume vaillamment son rôle érotique d’obscur objet du désir.
Voici
Un suspense de manipulation autour de la troublante Charlotte Le Bon.
Mad Movies
Le cinéma français grand-public trouvera-t-il son salut dans les remakes de films étrangers ? Forte de variantes plus ou moins opportunes, cette tentative réalisée et interprétée par Jalil Lespert apporte une réponse mi-figue mi-raisin à la question.
Télé 7 Jours
On marche dans le jeu jusqu'à ce qu'une partie du mystère, finalement assez conventionnel, soit levé. Si le film devient dès lors moins haletant, on reste néanmoins séduit par les personnages troubles que Lespert met en scène.
Télérama
À travers ce trio, le film dit un peu trop clairement son envie de séduire, mais se donne des atouts pour y arriver.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques faiblesses, le thriller vénéneux se laisse agréablement regarder grâce à ses nombreux rebondissements scénaristiques et à son casting judicieusement choisi.
Le Journal du Dimanche
Sadomasochisme, manipulation et perversion au sein de ce jeu de dupes qui se prend un peu au sérieux. Malgré des incohérences et l’interprétation appuyée de Romain Duris, cette série B réussit à intriguer.
Le Monde
Où le triangle érotique se démultiplie au point de constituer une toile d’araignée : banquier sadomasochiste, garagiste pris à la gorge créature qui n’est pas celle que l’on croit, chantage, changements d’identité et sadomasochisme, tout ça pour un seul film. C’est beaucoup, et Jalil Lespert d’araignée devient mouche, pris à son propre piège.
Les Fiches du Cinéma
Jalil Lespert adapte trop sagement un pur thriller à rebondissements signé Nakata.
L'Humanité
On manipule le spectateur de bout en bout, quitte à lui mentir ; on accumule les clichés grossiers (bourgeois salaces, prolos rustres et losers). Cela se veut chic, émoustillant et intrigant, mais ça sent trop l’effort..
La Voix du Nord
Grosse galère – scénario téléphoné, mise en scène racoleuse, érotisme putride – dans laquelle s’est plongé le sympathique Jalil Lespert.
Le Figaro
On comprend tout dès la première bobine de ce thriller érotique qui louche du côté de "Basic Instinct" et où le mot "paranoïaque" retentit dans les dialogues.
Les Inrockuptibles
Inutile de se s’escrimer sur l’intrigue impossible de ce thriller qui veut jouer dans la cour des grands. Qu’il ne tienne pas la route n’est pas le pire. Ce qui heurte, ce sont les affreux clichés sociaux dont il est tissé, et sur lesquels repose son style en toc.
Studio Ciné Live
Jalil Lespert, collé aux basques de son intrigue gigogne, enchaîne les situations trop signifiantes pour susciter le moindre trouble. Son récit, peuplé d'archétypes (...), disqualifie tout suspense. Et la caméra a beau rendre tout cela joli à l'image, rien n'y fait.