Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Emmanuel Raspiengeas
Laguionie sait capter du bout de son fusain les petits pas mesurés et craintifs des anciens lancés à l’assaut d’efforts physiques aussi anodins en apparence que monter une côte, ou marcher sur un sable trop mou, et cette déambulation tâtonnante a la beauté des carnets intimes de grand-mères.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
LCI
par Marilyne Letertre
(Une) merveille aux accents autobiographiques et aux notes poétiques.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’aquarelliste impressionniste instaure une douce mélancolie évoquant parfois le cinéma de Tati. Le graphisme répand sa suprême élégance. Le dialogue et la voix off s’exposent avec parcimonie tandis que les musiques distillent des ondes élégiaques. Que la beauté soit avec vous !
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un chef-d'œuvre, hymne à la vie et à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Bernard Génin
Laguionie a toujours magnifié ces choses "sans importance", qui le font, comme dit joliment son producteur Jean-Pierre Lemouland "plonger dans sa mer intérieure".
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec des teintes pastel, un trait délicat mais affirmé, une volonté de rester du côté des songes et du mystère, Jean-François Laguionie déploie une mélancolie qui atteint sans accabler tant la beauté du graphisme et l'originalité du récit donnent une idée de la puissance du cinéma d'animation.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Cette impression d'éternité, de merveilleux flottement vient du dessin de Jean-François Laguionie. Quand tous les studios du monde se repaissent de couleurs et de technologie, cet héritier de Paul Grimault peint comme on respire et capte l'essence d'une existence et d'un décor avec des pastels et de la gouache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
C’est la quintessence de l’art de Laguionie – neuf courts et cinq longs seulement en quarante-deux ans – que nous propose "Louise en hiver".
L'Express
par Christophe Carrière
Le portrait délicat d'une septuagénaire. Un dessin animé emprunt de poésie et de bon sens, mené par un maître du pinceau, Jean-François Laguionie.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Véritable caresse visuelle, le dernier film de Jean-François Laguionie est une évocation délicate du crépuscule de la vie d’une femme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit bijou d’animation, marqué par l’esprit d’enfance, par le temps qui passe et par l’art de créer une atmosphère de tendresse mélancolique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Tout est épuré, minimaliste, en retenue. Presque pas de dialogues. "Louise en hiver" parle avec nostalgie et délicatesse de la vieillesse et de la mort, les émotions en retrait pour signifier la pudeur de cette femme robuste de 75 ans, qui se réfugie dans un univers métaphorique, presque surréaliste, pour se recueillir dans la nature en silence, comme Robinson Crusoé.
Le Monde
par Noémie Luciani
Jean-François Laguionie signe un merveilleux tableau animé.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film d’animation d’une grande pureté graphique, qui s’adresse plutôt aux adultes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
De la mise en image de ce magnifique récit initiatique, il émane une mélancolie douce et charmante, qui nous rappelle que Jean-François Laguionie reste un grand nom de l’animation française.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une allégorie qui parle de la solitude de l'âge, du retrait progressif de la vie, du grand froid qui approche à petits pas de vieille dame. (...) C'est somptueux, discret, tendre et malicieux, sans tape-à-l’œil.
Libération
par Yannick Vely
S’il faut accepter son rythme contemplatif, «Louise en hiver» déploie peu à peu ses ailes poétiques pour nous troubler durablement, comme après la lecture d’un roman dont on ne saisirait pas toute la puissance nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Libération
par Guillaume Tion
(...) un cinquième long-métrage sensible sur la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
"Louise en hiver" est un magnifique voyage dans sa propre intimité. Il y est question de sourires et de larmes. Et la vie continue.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
(...) nous conserverons de cette belle aventure un peu de douceur et beaucoup de sérénité au sein d’une nature aquarellée qui frémit de couleurs, de lumière et de chants d’oiseaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Laguionie sait capter du bout de son fusain les petits pas mesurés et craintifs des anciens lancés à l’assaut d’efforts physiques aussi anodins en apparence que monter une côte, ou marcher sur un sable trop mou, et cette déambulation tâtonnante a la beauté des carnets intimes de grand-mères.
LCI
(Une) merveille aux accents autobiographiques et aux notes poétiques.
La Voix du Nord
L’aquarelliste impressionniste instaure une douce mélancolie évoquant parfois le cinéma de Tati. Le graphisme répand sa suprême élégance. Le dialogue et la voix off s’exposent avec parcimonie tandis que les musiques distillent des ondes élégiaques. Que la beauté soit avec vous !
Le Figaro
Un chef-d'œuvre, hymne à la vie et à la liberté.
Positif
Laguionie a toujours magnifié ces choses "sans importance", qui le font, comme dit joliment son producteur Jean-Pierre Lemouland "plonger dans sa mer intérieure".
Sud Ouest
Avec des teintes pastel, un trait délicat mais affirmé, une volonté de rester du côté des songes et du mystère, Jean-François Laguionie déploie une mélancolie qui atteint sans accabler tant la beauté du graphisme et l'originalité du récit donnent une idée de la puissance du cinéma d'animation.
Télérama
Cette impression d'éternité, de merveilleux flottement vient du dessin de Jean-François Laguionie. Quand tous les studios du monde se repaissent de couleurs et de technologie, cet héritier de Paul Grimault peint comme on respire et capte l'essence d'une existence et d'un décor avec des pastels et de la gouache.
Cahiers du Cinéma
C’est la quintessence de l’art de Laguionie – neuf courts et cinq longs seulement en quarante-deux ans – que nous propose "Louise en hiver".
L'Express
Le portrait délicat d'une septuagénaire. Un dessin animé emprunt de poésie et de bon sens, mené par un maître du pinceau, Jean-François Laguionie.
La Croix
Véritable caresse visuelle, le dernier film de Jean-François Laguionie est une évocation délicate du crépuscule de la vie d’une femme.
Le Dauphiné Libéré
Un petit bijou d’animation, marqué par l’esprit d’enfance, par le temps qui passe et par l’art de créer une atmosphère de tendresse mélancolique.
Le Journal du Dimanche
Tout est épuré, minimaliste, en retenue. Presque pas de dialogues. "Louise en hiver" parle avec nostalgie et délicatesse de la vieillesse et de la mort, les émotions en retrait pour signifier la pudeur de cette femme robuste de 75 ans, qui se réfugie dans un univers métaphorique, presque surréaliste, pour se recueillir dans la nature en silence, comme Robinson Crusoé.
Le Monde
Jean-François Laguionie signe un merveilleux tableau animé.
Le Parisien
Un film d’animation d’une grande pureté graphique, qui s’adresse plutôt aux adultes.
Les Fiches du Cinéma
De la mise en image de ce magnifique récit initiatique, il émane une mélancolie douce et charmante, qui nous rappelle que Jean-François Laguionie reste un grand nom de l’animation française.
Les Inrockuptibles
Une allégorie qui parle de la solitude de l'âge, du retrait progressif de la vie, du grand froid qui approche à petits pas de vieille dame. (...) C'est somptueux, discret, tendre et malicieux, sans tape-à-l’œil.
Libération
S’il faut accepter son rythme contemplatif, «Louise en hiver» déploie peu à peu ses ailes poétiques pour nous troubler durablement, comme après la lecture d’un roman dont on ne saisirait pas toute la puissance nostalgique.
Libération
(...) un cinquième long-métrage sensible sur la solitude.
Studio Ciné Live
"Louise en hiver" est un magnifique voyage dans sa propre intimité. Il y est question de sourires et de larmes. Et la vie continue.
aVoir-aLire.com
(...) nous conserverons de cette belle aventure un peu de douceur et beaucoup de sérénité au sein d’une nature aquarellée qui frémit de couleurs, de lumière et de chants d’oiseaux.