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Dandure
173 abonnés
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3,0
Publiée le 13 avril 2019
Attention, cet avis contient ce genre de spoiler: La vie était en couleur en RDA?! Quoi de plus gonflé et de poétique qu'une montgolfière pour s'évader très loin d'un régime autoritaire? Malheureusement le réal ne s’intéresse pas à la poésie, au régime autoritaire ni à la liberté. Lui ce qui l’intéresse, c'est le suspense. Celui qui vous fera frémir pour la gentille famille au centre du récit. Pas de bol, cette histoire s'inspire d'un fait réel, son déroulement est donc surpiqué de fil blanc. Faisant fi de ce genre de détail, le réal nous livre une authentique leçon de cinéma sur le thème "comment créer artificiellement de la tension?". C'est un festival ; tout y passe:spoiler: rêve, fausse simultanéité, contre-temps bidons, plans cheatés, jumpscare et fausses informations . Sur une durée de 1h30, ça passerait inaperçu. Pas de bol, le film dure 2h et les procédés les plus discutables sont utilisés plusieurs fois. On s'inquiète alors qu'en fait, il n'y a pas de menace. Magie du cinéma ou simple trahison? Heureusement les héros sont sympathiques, le méchant charismatique, le film bien rythmé, la paranoïa bien rendue et la menace bien réelle quand l'étau se resserre. Au final, un vent de liberté est un peu au film d'évasion ce que le tire-larme est au drame. Un truc efficace qui abuse de facilités à grands renfort de violons.
J'ai été à deux doigts de passer à côté : mal distribué, la peur de m'ennuyer... Il a presque fallu un coup du sort pour que je me laisse tenter : la surprise n'en fut que plus plaisante. Franchement, hormis la langue et l'histoire, difficile de ne pas avoir l'impression d'être devant un film américain tant au niveau des codes, du rythme, du style, on est dans une pure logique hollywoodienne. Ce serait presque le reproche que je pourrais lui faire : musique omniprésente, surdramatisation, sous-intrigue amoureuse dispensable... Michael Bully Herbig a vraiment tout intégré dans le « package », mais si cela m'a un peu gêné, c'est loin d'être rédhibitoire pour autant. Le récit est déjà assez incroyable en lui-même et, une fois n'est pas coutume, qu'il soit inspiré d'une histoire vraie apporte ici une authenticité bienvenue. D'autant que ce dernier (dont j'ignorais l'issue, ce qui n'est pas mal, niveau suspense) évite intelligemment la routine, notamment durant ces premières minutes cassant le schéma auquel on pouvait s'attendre, spoiler: nous laissant imaginer un long flashback avant de comprendre qu'il s'agit bien du début de « l'aventure » : aussi habile qu'efficace. Le reste proposera moins de surprises, mais reste intense du début à la fin, que ce soit la pression constante, la paranoïa gagnant presque les protagonistes ou les préparatifs pour la montgolfière (ces derniers sont bluffants), le tout interprété avec sobriété par un casting hétérogène (manquant peut-être légèrement d'incarnation, mais ça reste très correct, petit coup de cœur au passage pour la charmante Karoline Schuch). Même les scènes d'action, sans être grandioses, sont joliment immersives, des « morceaux de bravoure » que l'on vit au plus près des protagonistes. Bref, une « résurrection » aussi étonnante qu'inattendue d'un cinéma certes sous forte influence « yankee » (la présence de Thomas Kretschmann incluse, sans oublier Roland Emmerich dans les remerciements!), mais prenante de bout en bout : belle découverte.
J’ai beau être très intéressé par l’Histoire, je dois bien avouer que j’ai toujours une petite crainte à aller voir un film qui traite d’un événement historique. Trop souvent le même piège : insister sur l’Histoire et oublier le film. Combien d’auteurs se sont-ils cachés derrière la force évocatrice et solennelle des événements pour justifier une forme paresseuse et un propos plat dénué d’intérêt et d’originalité ? Si je précise tout cela avant de vous parler de ce « Vent de la liberté » c’est parce qu’à première vue, ce film de Michael Herbig avait l’air de cocher toutes les cases de ces films qui me rebutent : une ode à ces gentilles victimes du méchant communisme qui ont risqué leur vie pour la plus belle des valeurs : la liberté. Et tout ça s’inspire d’une histoire vraie mesdames et messieurs ! Seulement voilà, dès le premier quart d’heure, ce « Vent de la liberté » a su agréablement me surprendre. La phase d’exposition est habilement dissoute dans une scène introductive qui pose tout de suite l’action centrale : l’évasion. Pas de moments interminables passés à présenter les personnages, leur situation et à insister sur les raisons qui les poussent à fuir avant qu’enfin on nous déroule toutes les étapes attendues de la concrétisation de leur plan. Non, rien de tout ça. On est tout de suite dans le vif du sujet ; dans la tension annoncée. Les quelques détails nécessaires à la mise en relief de l’intrigue sont habilement disséminés au milieu de toute cette phase d’action. Et ce travail est étonnamment bien dosé. Ça l’est d’abord dans le contenu, puisque l’air de rien de nombreux éléments d’intrigue contrebalancent souvent la pertinence de l’évasion (spoiler: le fait que Frank doive tirer un trait sur son début de flirt avec sa voisine ou bien encore le fait que Günter doive tirer un trait sur son père ). Mais c’est aussi bien dosé au niveau de la forme puisque le rythme insufflé dans cette introduction est suffisamment soutenu pour assurer une véritable tension dès le début du film, mais il est aussi suffisamment aéré pour nous laisser le temps de prendre le train en route et de saisir tous ces éléments d’intrigue qu’on nous a laissé sur le chemin. Et à dire vrai, cette introduction résume à elle seule toute la démarche du film. J’avoue que j’ai été assez saisi de la capacité de ce « Vent de la liberté » à ne jamais se reposer. La menace est toujours présente. Il faut agir vite. Prendre des décisions à l’issue incertaine. Ainsi le film sort des sentiers attendus et parvient en conséquence à instaurer un vrai suspense. Mieux encore, il parvient à nous imprégner de cette oppression permanente et insidieuse qu’instaure l’Etat est-allemand sur sa société. D’ailleurs l’échec est régulier pour nos héros. Il faut souvent savoir reculer ou fuir. Cela fait habilement sortir cette intrigue d’un rail narratif qui tuerait toute possibilité de s’émouvoir de ces péripéties. Alors après, au-delà de ça, cela n’empêche pas ce film de flirter parfois avec ce que je craignais le plus : le recours facile à la puissance émotionnelle que génère de l’événement historique traité. Cela se ressent notamment dans la réalisation et surtout la musique, très américanisante, qui vise parfois à surligner inutilement les moments de tension et d’émotion. Mais bon, l’un dans l’autre ces écarts sont compensés par un vrai sens de l’équilibre. Equilibre entre la petite et la grande histoire d’abord. Chaque personnage parvient à exister singulièrement à l’écran, quelque soit le camp, et ça c’est un vrai plus. Equilibre aussi dans le propos, ou parfois quelques questions vraiment intéressantes sont posées sur cette mécanique de répression et cela, la plupart du temps, par un personnage d’opposant plutôt bien pensé, mesuré dans ses aspects… Ainsi, à bien tout prendre, ce « Vent de la liberté » se révèle être un film tout ce qu’il y a de plus efficace. Et même s’il n’a pas su apporter cet élément qui – un peu à l’image d’une « Vie des autres » – fait qu’un film historique nous révèle soudainement quelque-chose de très fort sur l’humain, il a au moins ce mérite d’être parvenu à traiter d’une question classique de manière dynamique et incarnée. Rien que pour cela, cela peut donc valoir le coup de se laisser porter par ce « Vent de la liberté »… Mais bon, après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
Le Vent de la liberté souffre d’un paradoxe regrettable : se consacrer à la mise en œuvre puis en vol d’une montgolfière tout en proposant une démarche éléphantesque où chaque effet se voit constamment appuyé. Ou la légèreté rattrapée par la pesanteur. La démarche de Michael Herbig lorgne du côté de Christopher Nolan : une tension omniprésente portée par la composition musicale qui évoque Dunkirk, les miroirs rêvés dans lesquels se réverbère à l’infini une course-poursuite qui reprend Inception, des échos zimmeriens qui donne l’impression d’entendre se rejouer en sourdine The Dark Knight. Tout cela au service d’une histoire dont le postulat exigeait, au contraire, le dépouillement. L’ensemble apparaît si boursouflé par mille et un artifices que l’on perd la terreur sourde, la violence muette qu’un régime faisait subir à ses concitoyens. Pas une minute de silence, pas un plan qui ne vise l’esthétisation. Alors les images s’avèrent sublimes, certes, mais là n’était pas l’enjeu. Car les deux vecteurs du sublime ici sont d’une part la famille, d’autre part le véhicule qu’elle bâtit pour s’échapper. Et la rencontre de ces deux énergies aurait dû déboucher sur la création d’une icône finale venant synthétiser le combat et incarner la liberté enfin obtenue. En esthétisant tout à outrance, en enveloppant le quotidien est-allemand dans un miel hollywoodien assez malvenu, Le Vent de la liberté perd en identité ce qu’il gagne, reconnaissons-le, en efficacité. Parce qu’accessible à tous, parce que régi par un profond respect du style thriller-blockbuster actuel, le film déplace la nature de la tension pour la remettre à jour, pour la rendre palpable à un très large public. Passionnant par sa persévérance, intrigant par sa balourdise, Le Vent de la liberté souffle un je-ne-sais-quoi de sincère et, surtout, de très actuel, restitue au cœur d’un exploit individuel l’âme d’une aventure collective capable de faire choir les murs emprisonnant les êtres et les rassembler. On vibre on sursaute on ressent chaque aiguille effectuant son cycle sur l’horloge, et c’est déjà pas si mal.
Le vent de la liberté est le genre de films où les héros tremblent à chaque instant d'être découverts et voient dans chaque regard étranger une menace et dans chaque tintement de sonnette, une alerte. le climat paranoïaque en RDA était très pesant, on le sait, mais de là à voir dans tout inconnu un membre probable de la Stasi ... Le film raconte une histoire déjà suffisamment incroyable pour qu'il ne soit pas nécessaire d'en rajouter dans l'angoisse mais c'est pourtant le cas dans ce long-métrage plus lourd que l'air qui s'accompagne d'une musique signifiante et envahissante. A part ça, Le vent de la liberté est un sacré suspense où malgré une mise en scène très sage et un dénouement que l'on connait d'avance, l'action est bien menée en misant sur une course poursuite haletante et un contre la montre qui ne l'est pas moins. Mais hélas, le film n'est pas plus que cela et ne se démarque que très peu de la version Disney tournée dès 1982. Qu'il montre une certaine réalité de l'Allemagne de l'Est de la fin des années 70, sans aucun doute, mais après La vie des autres, Barbara, Goodbye Lenin et La révolution silencieuse, entre autres, Le vent de la liberté ne montre guère d'aptitude pour capter l'air de ce temps. Il s'agit avant tout du film d'une aventure extraordinaire qui n'illustre le contexte historique et social d'un pays communiste au temps de la guerre froide autrement que par une imagerie consensuelle qui simplifie au lieu d'approfondir.
Inspiré d'une histoire vraie, "Le vent de la liberté" raconte l'histoire d'une improbable traversée de la frontière allemande en montgolfière pendant la Guerre Froide. Ce n'est pas un film grandiose mais tout simplement une leçon d'abnégation chez ces deux familles est-allemandes, rêvant d'une vie meilleure à l'Ouest. On pourra reprocher au réalisateur de ne pas mettre plus en avant le climat d'oppression instauré par la Stasi à cette époque, mais le film tient la route, laissant planer un suspense agréable. Du bon cinéma populaire.
Il y a des films plus intéressants que celui-ci sur l'Allemagne de l'est à cette époque. Mais le film d'évasion, même si la prison a ici la taille d'un pays, contient toujours son propre suspense. Du coup on peut regarder ce film tiré d'une histoire vraie avec plaisir, si on ne vient pas y chercher un peu de profondeur.
L'histoire est admirablement bien contée et donne froid dans le dos rien que de penser à ces années sombres et inutiles de la RDA. Rappeler ces moments ne fait pas de mal parfois...
Ce très beau film historique est remarquablement bien ficelé, ce qui permet aux deux heures du récit d’être captivantes de bout en bout. En effet, le long-métrage démarre très vite par une première tentative de franchir la frontière avec l’Allemagne de l’Ouest. Les enjeux ne sont guère présentés, mais ils sont tellement évidents que ce choix fait par le réalisateur de se concentrer quasi uniquement sur la tentative d’émigration est une excellente chose. Le réalisateur allemand parvient à installer une tension palpable, en mettant en parallèle la traque effectuée par la Stasi pour découvrir les auteurs de la première tentative avortée. Le film, basé sur un évènement historique ayant vraiment eu lieu, le réalisateur a l’audace de transformer l’histoire en un thriller politique assez passionnant portant l’emprise morale des services de l’Etat est-allemand sur la population. La suspicion est omniprésente, la confiance ne se donne pas facilement et les risques de se faire prendre peuvent avoir de lourdes conséquences. On suit donc ces deux familles qui tentent, avec une épatante conviction, d’arriver à leurs fins, par un moyen particulièrement improbable, la montgolfière. Les interprètes sont convaincants, ainsi que quelques seconds rôles, notamment le responsable de la Stasi locale. Le final ne réservera de surprises qu’à ceux ne connaissant pas l’épilogue de l’histoire originale, pour les autres cela sera un peu convenu.
Une belle histoire vraie pour un film sans temps mort et d'une grande intensité. L'introduction avec ce premier essai infructueux nous met directement dans l'ambiance et lance l'histoire puisqu'à partir de ce moment-là débute une course contre-la-montre avec cette famille qui est alors traquée par la Stasi. On suit toutes leurs préparations pour leur nouvelle tentative et en parallèle l'enquête de la Stasi qui tente de les retrouver. Avec "Ballon", Michael Herbig parvient à faire un film vraiment haletant qu'il maîtrise parfaitement. Ce qu'il manque probablement à son film, c'est de montrer les conditions de vie au sein de la RDA. Tout le monde doit connaître cette partie de l'histoire, mais dans le cas contraire (on ne sait jamais), cela pourrait desservir, car rien ne laisse à penser qu'ils ont une mauvaise vie ou qu'ils sont persécutés. Ce n'est pas le sujet du film, évidemment, mais un rapide retour sur la politique de la RDA n'aurait pas fait de mal. Ce n'est qu'un détail, car comme je l'ai dit le film est haletant et l'on ne pense pas vraiment à cela pendant le visionnage. En somme, un bon film.
Voilà un film qui, s'il est réalisé de façon classique, a le mérite de nous tenir en haleine de la première à la dernière minute. Une tension permanente et un suspens grandissant nous prennent aux tripes et ne nous lâchent pas. Je ne connaissais pas l’histoire (vraie) et même si on devine ( ou espère) le dénouement, cela fonctionne et j'ai marché à fond. La reconstitution historique est bien rendue, on ressent bien l'ambiance oppressante de la vie en Allemagne de l'est à cette époque, même si cela fait parfois un peu carton-pâte. Les acteurs, inconnus chez nous à part peut être David Kross (The reader) et Thomas Kretschmann, sont tous impeccables. Ils nous rendent ces personnages épris de liberté d'emblée très attachants. Une émotion contenue, et sans pathos aucun, qui ne surgit vraiment qu'à la fin, bien sûr, parachevant le tout pour nous offrir l'un des films les plus haletant de l'année. Quand la réalité dépasse la fiction...Instructif, palpitant et passionnant.
L’histoire est une source inépuisable d’anecdotes et de faits réels incroyables et certains ont un potentiel cinématographique évident. Et ce qui est raconté dans « Le vent de la liberté » fait complètement partie de cette catégorie. Une histoire folle mais vraie qui s’est déroulée en pleine Guerre froide et permet à ce long-métrage haletant de trouver ses lettres de noblesse. Le film est une grosse production allemande qui a eu un grand succès sur ses terres de production. Elle a été faite avec les moyens d’un film américain et cela se ressent à chaque minute. On pourra reprocher à cette œuvre captivante de démarrer très fort et de se clore de la même manière avec une heure centrale un peu plus lâche où la tension se désamorce par instants. De courts instants. Il y a également quelques invraisemblances négligeables et des facilités de scénario destinées à rendre le tout plus palpitant, de manière un peu voyante parfois. Certains rebondissements sont également un peu dispensables et ils décrédibilisent la tension plutôt que de l’accroître (on pense notamment à la course contre la montre finale et le passage du barrage) mais c’est bien peu en comparaison du plaisir que l’on prend à suivre les deux heures que durent ce film. Surtout que ce qui s’est passé cette nuit de 1979 est déjà assez fou pour qu’il n’y ait aucun besoin d’en rajouter. Tous les moyens mis en place pour retranscrire avec passion et ferveur cette histoire ont été utilisés à bon escient et avec une maestria visuelle et narrative hors pair qui en font un vrai bon moment de cinéma.
En premier lieu, la mise en scène de Michael Bully Herbig (dont c’est le premier film, chapeau !) est en tous points remarquable alliant esthétique seventies parfaitement rendue et modernité dans les plans et les mouvements de caméra. On ressent tout à fait la paranoïa qu’ont pu vivre les allemands de l’est aspirant à vouloir passer à l’ouest. Le climat angoissant de cette période de l’Allemagne encore scindée en deux est prégnant et nous traverse des pieds à la tête. On est régulièrement scotché à notre siège, priant que les personnages arrivent à leurs fins bien qu’on connaisse de manière quasi certaine l’issue de tout cela. De nombreuses séquences font vraiment monter le suspense à son comble. De plus, de nombreux plans sont admirables de beauté, notamment tous ceux montrant les envols de montgolfière, d’un esthétisme raffiné jamais gratuit. Saluons également l’interprétation toute en nuances de Thomas Kretschmann en haut gradé de la Stasi. « Le vent de la liberté » constitue donc un thriller historique de haute volée (et l’expression prend tout son sens ici) qui tient en haleine de bout en bout. C’est à la fois instructif, passionnant et prenant et en dépit de ses quelques maladresses, c’est un divertissement parfaitement orchestré. Du beau et grand cinéma qui sait caresser la fibre des amateurs de cinéma indépendant et soigné comme ceux préférant du cinéma populaire à grande échelle. Un équilibre rare à saluer.
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L'histoire vraie est méritante mais le film use de trop de ficelles mélodramatiques d'une banalité sans nom y compris pour les jeunes qui ne "pourront plus se revoir"..... c'est pas mal sans plus
Nous sommes en Allemagne de l'Est en 1979 et deux familles vont tenter de fuir à l'Ouest par un moyen plutôt original : comme des fourmis, ils vont pendant des mois construire une énorme montgolfière afin de tenter de s'envoler vers la liberté ! Ce thriller historique allemand retrace une histoire vraie pleine de peur et d'espoir mêlés. On vibre pour ces hommes, ces femmes et ces enfants qui jouent leurs vies à quitte ou double pour changer leurs destins. Même si les comédiens manquent un peu de charisme, je n'ai pas vu passer les 2h06 de cette histoire incroyable et pourtant authentique. Palpitant. Site www.cinemadourg.free.fr