Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le résultat est si époustouflant que le spectateur a l’impression de plonger dans les tableaux. Un voyage magique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un récit sous forme d’enquête, à la fois sur la mort de Van Gogh, et, plus profondément, sur sa peinture, à partir d’un étonnant travail d’animation, les images filmées avec des comédiens s’insérant dans des images peintes reproduisant et animant l’oeuvre de Van Gogh : surprenant et réussi.
Télé Loisirs
par Maryvonne Ollivry
(...) nous tenons là un petit chef d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
CNews
par La Rédaction
"La passion Van Gogh" déploie une animation impressionnante composée de 125 toiles de l’artiste, reproduites dans leur totalité ou partiellement, par plus de 90 artistes-peintres. Réalisé par la Polonaise Dorota Kobiela et le Britannique Hugh Welchman, ce film de peinture animée vaut aussi pour son intrigue bien ficelée (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La mise en images est l’atout du film, tant la ressemblance est forte entre l’œuvre originale et sa transposition, clairvoyante, comme si l’artiste l’avait réalisé lui-même. L’identification est totale.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par David Verhaeghe
Un long métrage atypique, graphiquement impressionnant
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le résultat, éblouissant et hypnotique, force l’admiration tant on a l’impression de voir les tableaux du maître en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Éblouissant et éducatif pour le public. Ce n'est pas pour rien que La Passion Van Gogh a remporté le Prix du public en juin au Festival du film d'animation d'Annecy : le film est beau comme un tableau du grand Vincent et nous apprend énormément de choses sur le peintre (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Palpitant comme une enquête de Columbo, traversé de flashbacks en noir et blanc aussi beaux que les passages en couleur, le film concilie beauté et suspense, poésie et documentaire. Pari gagné haut le pinceau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Bien que l'intrigue ne se révèle pas à la hauteur de son audace formelle, cette toile vivante mérite assurément le coup d'oeil.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une peinture animée ambitieuse et vivante pour rendre hommage à ce peintre mal connu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Véritable défi aux techniques d’animation, "La Passion Van Gogh" de Dorota Kobiela et Hugh Welchman ressuscite le peintre en donnant vie à sa peinture. Envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Long au démarrage, le récit a d’abord des airs de docufiction édifiant et quelque peu compassé. Mais on se laisse emporter par une trame bien ficelée, dont il est toutefois difficile de démêler le vrai de l’invention.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Une prouesse technique, mais, côté scénario, c'est Van Gogh pour les nuls.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
par Bernard Génies
L'histoire fait resurgir une thèse éculée selon laquelle Vincent ne se serait pas suicidé, mais aurait été assassiné. Pour le reste, le film pèche par son excessive lenteur et son absence de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Passé le choc esthétique – éblouissante technique de peinture animée – le film perd vite de son intérêt. En cause, un doublage calamiteux, des acteurs insipides, une musique grandiloquente, des dialogues envahissants. Seule solution, couper le son !
Sud Ouest
par Sophie Avon
Reste que la prouesse technologique ne garantit ni l’ampleur du récit, ni sa capacité d’émotion. (...) au lieu de s’épouser mutuellement, le bouillonnement pictural de la forme et la précision de l’investigation menée par Armand se contredisent, s’alourdissent (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Positif
par Christian Viviani
On se demande tout au long d'une projection qui paraît interminable ( 1h34 pourtant !) et qui, à force de tangage et de mouvements intempestifs finit par donner des haut-le-coeur, à quoi ça sert ?
Télérama
par Pierre Murat
Travail colossal et fausse bonne idée : on émerge fourbu de cet exercice de style. Rendu encore plus vain par le dialogue français neuneu, notamment dit par Pierre Niney. Qu’est-il allé faire dans cette galère ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le résultat est si époustouflant que le spectateur a l’impression de plonger dans les tableaux. Un voyage magique.
Le Dauphiné Libéré
Un récit sous forme d’enquête, à la fois sur la mort de Van Gogh, et, plus profondément, sur sa peinture, à partir d’un étonnant travail d’animation, les images filmées avec des comédiens s’insérant dans des images peintes reproduisant et animant l’oeuvre de Van Gogh : surprenant et réussi.
Télé Loisirs
(...) nous tenons là un petit chef d’œuvre.
CNews
"La passion Van Gogh" déploie une animation impressionnante composée de 125 toiles de l’artiste, reproduites dans leur totalité ou partiellement, par plus de 90 artistes-peintres. Réalisé par la Polonaise Dorota Kobiela et le Britannique Hugh Welchman, ce film de peinture animée vaut aussi pour son intrigue bien ficelée (...).
Franceinfo Culture
La mise en images est l’atout du film, tant la ressemblance est forte entre l’œuvre originale et sa transposition, clairvoyante, comme si l’artiste l’avait réalisé lui-même. L’identification est totale.
LCI
Un long métrage atypique, graphiquement impressionnant
Le Journal du Dimanche
Le résultat, éblouissant et hypnotique, force l’admiration tant on a l’impression de voir les tableaux du maître en mouvement.
Le Parisien
Éblouissant et éducatif pour le public. Ce n'est pas pour rien que La Passion Van Gogh a remporté le Prix du public en juin au Festival du film d'animation d'Annecy : le film est beau comme un tableau du grand Vincent et nous apprend énormément de choses sur le peintre (...).
Première
Palpitant comme une enquête de Columbo, traversé de flashbacks en noir et blanc aussi beaux que les passages en couleur, le film concilie beauté et suspense, poésie et documentaire. Pari gagné haut le pinceau.
Studio Ciné Live
Bien que l'intrigue ne se révèle pas à la hauteur de son audace formelle, cette toile vivante mérite assurément le coup d'oeil.
aVoir-aLire.com
Une peinture animée ambitieuse et vivante pour rendre hommage à ce peintre mal connu.
Bande à part
Véritable défi aux techniques d’animation, "La Passion Van Gogh" de Dorota Kobiela et Hugh Welchman ressuscite le peintre en donnant vie à sa peinture. Envoûtant.
La Croix
Long au démarrage, le récit a d’abord des airs de docufiction édifiant et quelque peu compassé. Mais on se laisse emporter par une trame bien ficelée, dont il est toutefois difficile de démêler le vrai de l’invention.
Le Figaro
Une prouesse technique, mais, côté scénario, c'est Van Gogh pour les nuls.
L'Obs
L'histoire fait resurgir une thèse éculée selon laquelle Vincent ne se serait pas suicidé, mais aurait été assassiné. Pour le reste, le film pèche par son excessive lenteur et son absence de point de vue.
La Voix du Nord
Passé le choc esthétique – éblouissante technique de peinture animée – le film perd vite de son intérêt. En cause, un doublage calamiteux, des acteurs insipides, une musique grandiloquente, des dialogues envahissants. Seule solution, couper le son !
Sud Ouest
Reste que la prouesse technologique ne garantit ni l’ampleur du récit, ni sa capacité d’émotion. (...) au lieu de s’épouser mutuellement, le bouillonnement pictural de la forme et la précision de l’investigation menée par Armand se contredisent, s’alourdissent (...).
Positif
On se demande tout au long d'une projection qui paraît interminable ( 1h34 pourtant !) et qui, à force de tangage et de mouvements intempestifs finit par donner des haut-le-coeur, à quoi ça sert ?
Télérama
Travail colossal et fausse bonne idée : on émerge fourbu de cet exercice de style. Rendu encore plus vain par le dialogue français neuneu, notamment dit par Pierre Niney. Qu’est-il allé faire dans cette galère ?