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    L'Île aux chiens
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    296 critiques spectateurs

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    AZZZO
    AZZZO

    272 abonnés 739 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2018
    Wes Anderson a lancé son audace sur une pelouse glissante, celle du film d'animation. Et c'est une réussite, une oeuvre racée, un film qui a du chien grâce à une histoire simple mais bien menée et un humour aussi fin que les poils d'un setter irlandais. Mais c'est surtout l'envoûtante bande-son composée par Alexandre Desplat qui donne tout son charme au film et fait lever l'oreille du spectateur. On se lèche déjà les babines à l'idée de le revoir en DVD. Wouf !
    Nico H.
    Nico H.

    15 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juin 2018
    Whaou(f). Realisation hyper dynamique et débordante de trouvailles, scénario au diapason, c'est riche, ça fourmille d'idées, c'est magnifiquement exécuté, brillamment écrit, sans temps morts, sans fausses notes. Son meilleur film tout simplement et le meilleur de cette année. A ne pas rater.
    Travel S
    Travel S

    10 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mai 2018
    Wes Anderson fait partie de ces réalisateurs américains, les plus identifiable du Cinéma !
    C'est un très grand adepte de la symétrie dans ses plans et chacune de ses oeuvres sont très caractérisées par son style inimitable.

    Pour ma part, j'ai apprécié tout ses films. Et même si j'ai moins aimé "La Vie Aquatique", je dois admettre que c'est un film à voir également, comme chaque réalisation du cinéaste.
    "The Grand Budapest Hotel" est pour ma part, le Chef d'oeuvre de Wes. Mais je dois dire que c'est aussi avec "Fantastic Mr. Fox" que Wes Anderson m'avait totalement bluffé ! Je trouve que mise à part sa forme et son esthétisme très abouti en Stop motion, le film d'animation avait un fonds vraiment intéressant. Les personnages étaient également très bien écrits. Quant à la réalisation : Un sans faute !

    Et c'est donc là qu'intervient, 9 ans plus tard, "Isle of Dogs" !
    Comme toujours, Anderson nous livre une oeuvre aboutie de bout en bout. Tout est parfaitement maîtrisé. L'esthétique est une nouvelle fois incroyable. La B.O de Alexandre Desplat est à certains moments vraiment excellente.
    Je trouve que le niveau de la photographie est encore un cran au dessus que "Fantastic Mr. Fox", alors que c'était déja du grand travail. Certains plans sont vraiment impressionnant et les chiens ont tous une particularité physique qui les rendent reconnaissables très facilement. Le doublage ( en V.O pour moi ) est assez dingue, vu le casting.
    Les décors et l'ambiance de l'île sont hyper crédible. Mais "Isle of dogs" n'est pas une oeuvre d'animation juste magnifique visuellement mais c'est aussi une oeuvre avec un fonds et une vraie critique du monde actuel.
    Que ce soit lié à la politique, aux maladies, à l'écologie ou même à la vision qu'on peut avoir sur le fait d'être parent, au sein de ce monde, à l'avenir incertain, ou non etc etc...

    Chaque personnage ou chaque réplique à un véritable fonds, dans cette oeuvre. Et c'est aussi ça Wes Anderson !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 194 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2018
    Depuis « The Grand Budapest Hotel » en 2014, nous avions hâte de découvrir la nouvelle œuvre inventive de Wes Anderson. Pour ce retour, il renoue avec ses marionnettes qui ont fait le charme de « Fantastic Mr. Fox » en 2009. Mais « LÎle aux chiens » est loin d’être aussi réjouissant. En raison d’une grippe canine, le maire ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville sur l’île aux poubelles. Mais le jeune Atari se rebelle et part sur l’île retrouver son fidèle compagnon. Entouré d’une bande de chiens, il va alors découvrir une conspiration politique. C’est le film le plus engagé d’Anderson et par la même occasion, son plus sombre. En rejetant les chiens, le cinéaste donne écho à une société devenue ingrate à tout séparer. Cette fable pour l’égalité est pourtant bien pessimiste et donne rarement l’occasion au spectateur de sourire. Le thème musical nui d’ailleurs énormément à l’ambiance déjà pas très gaie de l’histoire. Quant à la mise en scène, signature de Wes Anderson, elle ne surprend plus et les personnages en stop motion et les décors ne sont pas là non plus pour rehausser le ton. On remarquera aussi le manque significatif de personnages féminins qui va en deçà de l’idée générale du film. Enfin, le trop plein de légendes et de langues non sous-titrées épuisent fortement notre intérêt. « LÎle aux chiens » déçoit grandement par son manque de fantaisie et de légèreté.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Kev T
    Kev T

    38 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2018
    Un film dont j’ai trouvé l’esthétisme superbe. Ce film peut être vu comme une métaphore vis à vis des minorités abandonnés et isolés. Cela donne à réfléchir sur notre humanité et les conséquences de certains choix politiques. Cependant, cette fable peut aussi être appréciée si on la savour au premier degré.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 avril 2018
    Quel incroyable film ! bien sur, il est inutile de présenter l'esthétique unique et si personnel de Wes Anderson, il est donc sans intérêts de parler des somptueux décors, des prises de vues onirique incroyables, de la gestion des couleurs grandiose... lorsque l'on connaît ce cinéaste. En revanche, l'un des gros points forts de ce film ( outre son histoire, son visuel et ses personnages absolument atypiques ) et le rythme donné à la mise en scène par son montage et par les percussions, qui sont réellement un orgasme pour les yeux et les oreilles car tout est rythmé à la perfection.
    En tout cas, ce film est vraiment génial ( bien qu'un peu complexe pour les plus jeunes ) et en certains points atteint l'apogée visuelle et de mise en scène du Réalisateur.
    Vador Mir
    Vador Mir

    229 abonnés 714 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    Il y a un très gros casting (en VO comme en VF) la musique est super et l'animation vraiment sympa. Beaucoup de bonnes idées, c'est original... ceci dit, les critiques sont un peu trop dithyrambiques, c'est un bon film d'animation, c'est intelligent, mais le rythme est un peu lent et on s'ennuie parfois.
    Cine vu
    Cine vu

    125 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2018
    Au delà d’un conflit.

    Un portait de famille confronté au deuil. L’histoire se compose en trois tableaux .

    Première partie : L’arrivée soudaine de l’armée israélienne pour annoncer à Michael et Dafna, la mort de leur fils Jonathan, jeune soldat de 19 ans.
    Puis en plan rapproché la douleur du père, que l’on va suivre dans l’appartement. Sous le choc il est désorienté, mais la colère prend le dessus.
    Sa femme, sous sédatif, s’abrite dans le sommeil.

    Lior Ashkenazi est saisissant et multiple, une performance incroyable qui nous renverse.
    Seulement l’armée s’est trompée de soldat et Michael exige le retour, immédiat de son fils.

    Deuxième partie : On rejoint quatre jeunes soldats postés au poste frontière entre Palestine et Israël. Ils sont chargés de vérifier chaque véhicule de passage. En plein désert quatre jeunes hommes à peine sortie de l’enfance, qui s’ennuient écrasés sous le soleil, parfois la barrière se lève, non pour faire passer un ange mais un dromadaire.

    Le cadre est surprenant, une zone sinistrée, un van déglingué, un parasol au-dessus du poste de garde et une chambre en tôle qui bascule dans la boue. Les gamins laissent passer le temps, dansent, se racontent des histoires et se relayent par deux pour assurer les gardes.
    Une ambiance particulière où quelques voitures vont passer et chacune est une histoire dans l’histoire. Les lampes torches, la tension palpable, les palestiniens angoissés et les jeunes soldats trop inexpérimentés pour affronter un vrai conflit.

    Un terrain de jeux dangereux où peut se jouer le pire. On va croiser trois voitures et chacune avec des passagers désorientés par la violence de ce conflit sans fin.

    Un couple sans histoire passera sans trop de difficulté, puis un deuxième.
    Là, les soldats inquiets font sortir le couple, la femme, vêtue comme pour un mariage, va rester sous la pluie, humiliée, en attendant l’autorisation. Cette scène est bouleversante, son désespoir est poignant mais d’un regard son mari va tenter de la rassurer, c’est dans le non dit que le scénario est le plus parlant.
    La troisième voiture transporte de jeunes palestiniens joyeux et insolents, mais un malentendu va déclencher le pire. Jonathan est sous le charme de la jeune femme dans la voiture et d’un regard il est amoureux. Ce gosse est plein d’imaginaire, il raconte en dessins l’histoire de sa famille et de son père, c’est cocasse et triste.

    Troisième partie, nous voilà de retour dans l’appartement à Tel Aviv. Michael et Dafna semblent s’être séparés et le chagrin est présent. Une confrontation avec une complicité remplie de tendresse où le couple se dévoile enfin.

    Tout est parfait : la réalisation, la lumière, la photo, le scénario et le casting.

    Un film à voir absolument pour nous éclairer sur un pays en guerre et les conséquences collatérales pour deux peuples, des gens ordinaires qui n’ont rien demandé, rien revendiqué, mais subissent le pire.
    cortomanu
    cortomanu

    66 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2018
    Première grosse déception pour un film de W.Anderson que j'aime habituellement beaucoup. C'est un réal qui a "la carte" d'où les bonnes critiques mais n'empêche : une bonne partie de l'animation est d'une laideur sans nom, la hype du Japonisme pour toucher un public plus jeune n'apporte rien au propos, il n'y a aucun humour qui fonctionne. Le jeu blanc et très plat qu'on trouve dans ses films avec vrais acteurs ne convient pas du tout à l'animation.
    Au moins j'ai bien dormi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Un film qui a du chien et de la gueule !

    Wes Anderson avait déjà sévi dans le passé avec des œuvres mémorables telles que la Vie Aquatique avec Bill Murray ou encore l’inénarrable Grand Budapest Hôtel. Fan de ce créatif hors normes, je ne pouvais manquer de me rendre sans délai à l’ Ile aux Chiens. Je n’en attendais pas moins de Mr Anderson mais la surprise et le plaisir tinrent largement leurs promesses. Au-delà d’une maîtrise totale de la technique Stop Motion type « L’Etrange Noël de Monsieur Jack », le film est d’une extrême poésie tout en vilipendant à tour de bras les exclusions et les racismes de tout poil. Une fable politique à la gloire du « vivre ensemble » sans la mièvrerie hollywoodienne habituelle. Nous transportant comme par magie dans un Japon légèrement futuriste (ou pas), nous baignons dans une atmosphère asiatique empruntée aux vieux films nippons d’antan genre Kurosawa et les références à ce cinéma classique sont légion. Aussi j’ai pu apercevoir avec un certain délice la Grande Vague de Kanagawa par Hokusai qu’ un certain Hergé avait pastiché à une autre époque dans Les Cigares du Pharon. Chacun a les clins d’œil qui le font vibrer. Il faut tout de même saluer le travail colossal entrepris sur ce film, aucun détail n’est laissé au hasard, tout porte la patte du maître, tout est minutieusement calibré. La musique très rythmée accompagne l’ensemble de façon remarquable, comme pour mieux souligner l’emballement démoniaque de la machinerie du scénario. On est aux antipodes des guimauves sucrées et indigestes de certains Disney, et pourtant cela pourrait intéresser grandement un enfant de douze ans. Il n’ y a absolument aucun temps mort dans le film, haletant et bourré d’idées diverses et malgré l’action inventive la réflexion est présente en permanence. D’ailleurs on se demande si vraiment on regarde un film ou si on est en train d’assister à un drame en direct, pour ma part, j’étais en totale immersion, captivé par l’ambiance sonore et visuelle sans cesse renouvelée de détails que parfois on a du mal à saisir au vol. Il y a forcément un zeste de Stanley Kubrick dans cet Anderson , dans la façon de faire défiler l’histoire, dans la structuration des espaces. Le film est noir bien sûr même si quelques petites touches subtiles d’ humour (noir) ou gags burlesques apparaissent parfois et nous font sourire.

    Le film est une arme formidable contre toutes les « dictatures » corrompues et le « trumpisme » lénifiant.

    En résumé, du très grand Anderson qui nous sert une nouvelle louche de son immense talent .

    A recommander sans limites, laissez vous embarquer sur cette surprenante Ile aux Chiens.
    ( Et pourtant je préfère les chats lol)
    Arnaud P.
    Arnaud P.

    11 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Amateur de Wes Anderson j'attendais ce film de pied ferme et je n'ai pas été deçu. Original et surtout esthetiquement reussi, l'île aux chiens m'a plu, tout simplement.
    A découvrir
    robinou20
    robinou20

    1 abonné 197 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Visuellement, c'est incroyable comme Wes Anderson sait si bien faire ! Très beau film ! J'approuve et je recommande donc absolument ce film, dans la lignée des précédents.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 027 abonnés 4 096 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2020
    Wes Anderson apporte à chaque film la démonstration que l'on peut encore être réalisateur à Hollywood sans faire de concession sur ses visées artistiques, écrire ses propres scénarios, bénéficier de budgets conséquents, recueillir des critiques élogieuses et en sus faire gagner de l'argent à ses producteurs (hormis "La vie aquatique" aucun film du réalisateur n'a perdu de l'argent). Tim Burton avait précédé Anderson dans cette voie mais goûtant à la célébrité, il a finit par quelque peu formater son talent en le confiant aux Studios Disney. Pour le moment Anderson reste fidèle aux trois producteurs (Jeremy Dawson, Steven M.Rales et Scott Rudin) qui l'accompagnent depuis des années. Son style si particulier où la rêverie s'accompagne d'une méticulosité obsessionnelle, consubstantielle à son accomplissement, nécessite sans aucun doute un environnement familier propre à la sérénité créative. L'animation déjà entrée dans l'univers d'Anderson avec "Fantastic Mr. Fox" en 2009 est ici mise au service d'une histoire" japonaise" imaginée en commun avec Roman Coppola, Jason Schwartzman et Kunichi Nomura. Vu deux ans après sa sortie mondiale, le film revêt une forme prémonitoire des plus curieuses. spoiler: Dans un Japon dystopique, une grippe canine fait des ravages parmi la population de Megasaki (tiens ! tiens!) tenue d'une main de fer par un maire autoritaire. L'hygiénisme qui n'est pas une chose inconnue au Japon amène la population à accepter que tous "les meilleurs amis de l'homme" soient déportés sur "l'île poubelle" où sont stockés les déchets de la ville. Atari, un jeune garçon (en réalité le neveu du maire) a volé un petit avion pour retrouver son chien . Il va se lier d'amitié avec cinq mâles "alpha" de l'île et fomenter une rébellion pour ramener la population de Magasaki à la raison
    . Wes Anderson avait visé juste quand on sait la panique qui saisira peu après les gouvernements et les populations occidentales, consentant à des réductions de liberté drastiques pour éviter le retour des pandémies qui ont de tout temps frappé l'humanité. Mais le cinéaste n'a réellement jamais revendiqué la volonté de faire passer des messages à travers ses films, d'autres le faisant de manière plus convaincantes que lui. C'est donc l'aspect visuel qui frappe encore une fois avec cette façon si particulière, tenant tout à la fois de la géométrie et de la poésie pure de présenter l'environnement dans lequel évoluent ses personnages. L'animation en volume qui puise ses origines chez Willis H. O'Brien ("King Kong" de Cooper et Schoedsack en 1933) et chez son disciple Ray Harryhausen (" Jason et les Argonautes" de Don Chaffey en 1963) est ici portée à un niveau de sophistication qui s'il atténue un peu la magie du procédé, permet au réalisateur d'asservir complètement la technique à ses désirs. Le résultat certes fascine mais presque pour lui-même et c'est peut-être à terme le piège dans lequel Anderson devra éviter de tomber. En attendant, le spectateur peut embarquer sans crainte et en bonne compagnie pour l'île aux chiens.
    Christoblog
    Christoblog

    751 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Pendant que je regardais L'île aux chiens, une question m'a traversé l'esprit : mais qu'est ce que Wes Anderson a dans la tête, qui lui permette d'élaborer un projet aussi improbable que ce film, qui traite de choses tristes se passant dans un décor démoralisant, avec du japonais parfois non sous-titré ? Sûrement beaucoup de génie, une opiniâtreté d'acier et le sentiment de vouloir régler ses dettes (ici au Japon).

    Le résultat est brillant. Les chiens et les personnages humains sont un peu statiques (cela est du au procédé utilisé : le stop motion) et pourtant très expressifs. Anderson joue avec les cadrages, la disposition symétrique dans les plans, la profondeur de champ, bref, de tous les moyens de la mise en scène, pour exprimer les émotions.

    Les décors sont incroyables d'inventivité, et j'ai particulièrement aimé les petites séquences gratuites rendant hommage au Japon : la préparation des sushis et le combat de sumo par exemple.

    Si les images sont superbes, le film convainc également par l'alacrité de ses dialogues, comme toujours chez Anderson à la fois simples, non conventionnels et servant admirablement la progression de l'intrigue.

    Je conseille donc vraiment L'île aux chiens, qui, comme Fantastic Mr. Fox, donne le meilleur à voir de Wes Anderson.
    titicaca120
    titicaca120

    354 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2018
    avec l'île aux chiens le réalisateur nous entraine dans une aventure incroyable
    ou les chiens sont devenus des indésirables , des ratés des moins que rien.
    heureusement le petit pilote va tout faire pour rétablir la vérité.
    champ visuel rétréci images seconde par seconde Wes Anderson nous offre un spectacle sublime.
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