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    Creepy
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    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 145 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2017
    Pour résumer : la fête des voisins risque d'être tendue cette année...Si l'on accepte certaines incohérences (Quelle drogue utilise le héros malfaisant pour que ses victimes soient à ce point là dociles?) ce film est un joli petit thriller bien ficelé, qui tisse sa toile lentement, au rythme d'un certain cinéma japonais, tous les protagonistes sont bien incarnés et le voisin particulièrement inquiétant et juste . Kiyoshi Kurosawa ne fait donc pas encore de l'ombre à son illustre homonyme mais ne lui fait pas honte non plus.
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2017
    Un ancien détective suspecte son voisin d’être impliqué dans une triple disparition au sein d'une même famille, affaire qui remonte à 6 ans. Dans un premier temps, cette adaptation d'un best-seller japonais se déguste façon polar à combustion lente avec ce professeur d'université qui ne peut s'empêcher d'enquêter, sa femme faussement heureuse au foyer et un voisin aussi revêche que bizarre. Rien de trépidant ni de "creepy" là dedans mais quand tout bascule Kiyoshi Kurosawa ne fait pas dans la dentelle. On se croirait dans un film coréen, pervers et sordide. A ceci près que de hasards en coïncidences trop marqués, le film perd en fin de compte de sa crédibilité, fasciné qu'il est par son psychopathe qui il est vrai est plutôt du genre terrifiant. Cela va cependant de mal en pis avec des trous énormes dans le scénario et des incohérences indéfendables dans le comportement des personnages. D'autant plus regrettable que Kurosawa confirme un style inégalable pour distiller l'angoisse et dynamiter la normalité. Présenté à la Berlinale 2016 et sorti au Japon (et dans de nombreux pays) l'année dernière, Creepy précédait Le secret de la chambre noire, premier film de Kurosawa tourné en français, de (déjà) sinistre mémoire.
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2017
    Cinéaste infatigable, Kiyoshi Kurosawa nous livre dans la même année deux films. Après quelques films d'errances mystiques romantiques ("Le secret de la chambre noire", "Real", "Vers l'autre rive"), le voilà qui revient vers le thriller avec "Creepy". Tout est d'ailleurs dans le titre, le film nous baladant de malaise en malaise au fur et à mesure que l'antagoniste se dévoile, lui et ses perversions. Se concentrant sur un couple peu à peu parasité par un voisin inquiétant et par la paranoïa du mari, ancien policier se plongeant dans une enquête non résolue, "Creepy" surprend par la fluidité de son récit et par la simplicité de sa mise en scène, prouvant que Kurosawa sait créer un sentiment de malaise ou d'angoisse à partir de rien. Sans jamais s'encombrer d'artifices, il livre un film assez étouffant dont on peine à sortir et dont la réussite est une fois de plus entachée par sa fâcheuse manie de faire durer le plaisir dans ses films, ceux-ci comportant souvent (du moins dans ses dernières réalisations) 15 minutes de trop. Finissant par s'engluer un peu avant de repartir de plus belle, "Creepy" se montre donc fascinant à défaut d'être pleinement réussi et démontre que Kurosawa sait décidément y faire et ce jusque dans ses choix de casting : on n'est pas prêt d'oublier le rictus diabolique de Teruyuki Kagawa, psychopathe d'un genre nouveau particulièrement flippant.
    dagrey1
    dagrey1

    98 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juillet 2017
    Takakura, un ancien policier blessé en service devenu professeur en criminologie s’installe avec son épouse, Yasuko, dans un nouveau quartier, à la recherche d’une vie tranquille. Alors que des anciens collègues lui demandent de participer à une enquête à propos de disparitions, sa femme fait la connaissance de leurs étranges voisins...

    Après le médiocre et hexagonal "Le secret de la chambre noire", Kiyoshi Kurosawa revient au genre du thriller mâtiné de fantastique avec "Creepy" sorti en juin 2017.
    "Creepy" distille assez intelligemment un malaise diffus qui s'accentue au fur et à mesure que le spectateur découvre les voisins du gentil petit couple très open. Le personnage qui démultiplie cette angoisse n'est autre que le chef de famille, Nishino interprété avec talent par Teruyuki Kagawa.
    Ce personnage est véritablement bipolaire: simultanément inquiétant et clownesque, il désarçonne son entourage tout en exercant pourtant une étrange fascination et une attractivité sur Yasuko, la femme de Takakura. Si bien que la "belle", qui se morfond dans sa condition de femme au foyer, perd vite tout libre arbitre.

    spoiler: C'est ainsi que le film va nous montrer que le voisin en question n'en est pas à son coup d'essai, ayant déjà supprimé 5 personnes, 6 ans auparavant dans un quartier voisin.


    "Creepy" se regarde bien même s'il interroge parfois le spectateur. En effet, comment ce petit bonhomme plein de carences et de vulnérabilité peut il infléchir la volonté de ses "cibles" et les plier à sa seule volonté.
    Quand bien même il les drogue...ses victimes font preuve de tellement peu d'esprit de conservation que l'on ne comprend pas. La réponse se trouve t-elle dans la mythologie japonaise ou est elle du domaine du fantastique et de l'irrationnel?
    A part ce détail qui n'en est pas un, le film constitue un bon thriller filmé sans empathie par le réalisateur et à l'issue incertaine jusqu'à son dénouement.
    Le casting est très bon, les acteurs ayant cette réserve toute japonaise et cette politesse qui confine ici à l'aveuglement et à la naiveté.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2017
    D’abord animé par une classique intrigue criminelle, Creepy s’assombrit aux côtés de Nishino, personnage psychopathe efficacement incarné par Teruyuki Kagawa. Le film se mue ainsi, petit à petit, en thriller horrifique et psychologique. Kiyoshi Kurosawa, auteur d’une filmographie aux multiples genres, rompt donc avec ses plus récentes réalisations et renoue avec un genre qu’il visita déjà avec succès en 1997 avec Cure. Maîtrisant à la perfection son art, le cinéaste livre un pur film de mise en scène… plein-champ. Critique complète sur notre blog ciné : incineveritasblog.wordpress.com
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2017
    Il me faut avouer en préambule que je n'ai jamais beaucoup aimé le cinéma de Kiyoshi Kurosawa, un réalisateur pourtant régulièrement encensé par "la critique qui compte" : si l'idée d'apporter l'intelligence d'une démarche auteuriste au cinéma de genre était assez culottée à l'époque (on parle des années 90...), la traduction de ces ambitions laissait régulièrement à désirer dans des films assez souvent confus et ennuyeux. Avec le temps, Kurosawa a recentré son cinéma, l'a clairement rendu plus accessible, ce qui nous amène aujourd'hui à ce "Creepy" capable de séduire un large public grâce à son histoire de psychopathe particulièrement vicieux. Sans avoir jamais recours à aucun effet de mise en scène facile, prenant intelligemment son temps, Kurosawa installe sur la durée un mélange de tension et de malaise redoutablement efficace, voire même formidablement emballant. Le personnage du voisin, interprété par un Teruyuki Kagawa au physique singulier, atteint alors des sommets de subtilité et de complexité, qui font vraiment honneur au script et à la belle mise en scène de Kurosawa. Las ! C'est quand "Creepy" bascule soudain dans le quasi fantastique, alors que Kurosawa nous fait découvrir d'un coup "l'envers du décor", que le film loupe son virage : en abusant d'un décor anxiogène finalement mal topographié, en détraquant la belle mécanique de ses personnages dont le comportement erratique ne répond plus à ce qu'on a vu jusqu'à présent, et surtout en ne choisissant pas entre magnétisme naturel et usage d'une drogue assez improbable pour expliquer l'emprise de son serial killer sur ses victimes, Kurosawa loupe le chef d’œuvre du genre qui se profilait. C'est dommage, mais "Creepy" reste une expérience tout-à-fait recommandable.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2017
    En réalisant "Creepy", Kiyoshi Kurosawa renoue avec les thrillers horrifiques qui ont marqué ses débuts. D'ailleurs, sur plus d'un point, ce film ressemble à son premier succès : "Cure". Mais voilà, aujourd'hui, le cinéaste japonais se distingue plus dans le drame que dans le cinéma de genre et "Creepy" ne déploie pas la même verve que dans ses premiers longs métrages. Pour faire le parallèle avec "Cure", on est effectivement loin de son ambiance oppressante et de son scénario torturé. "Creepy" souffre d'un rythme irrégulier et d'une intrigue captivante mais finalement assez peu surprenante. Même si j'aime le principe d'une histoire qui s'emballe progressivement, elle se perd parfois dans des directions incohérentes à l'image du comportement de dertains personnages. Il y a bien Teruyuki Kagawa qui excelle dans son rôle de voisin psychopate mais l'ensemble reste un peu trop dans les clous pour créer la surprise. Bon film mais néanmoins une forte déception.
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2017
    Incursion étonnante de Kurosawa dans le thriller pur et dur. Il ne se débrouille pas trop mal avec cette histoire de voisins tarés, mais sans faire d'étincelles.
    L'ambiance est très bien définie par le titre et la tension est belle et bien là mais on attendait le petit truc en plus qui aurait élevé cet honnête film de genre. On est loin de "Memories of murder".
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 juillet 2018
    Kiyoshi Kurosawa poursuit son travail de cinéaste de l'étrangeté avec ce film étrange et à l'histoire distillée... C'est lent, mais le scénario tel un poison s'immisce en nous et nous tient en haleine... Une histoire effroyable qui n'est pas sans rappeler certains films coréens à combustion lente...
    PaulGe G
    PaulGe G

    109 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2017
    manipulation, enquête, violence, cynisme, meurtres, démence, police, banlieue,. on peux résumer le film ainsi, tant les situations souvent improbables sont décrites avec une application de mise en scène assez stupéfiante. les comédiens évoluent dans le glauque quotidien comme si c'était normal, les décors contribuent a l'ambiance sulfureuse et très violente, c'est très dérangeant et a ne pas mettre entre toutes les mains.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    104 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2017
    Ce thriller violent et particulièrement sombre – surtout dans sa deuxième partie – nous embarque dans le quotidien d'un ancien inspecteur, spécialiste des tueurs en série, qui vient d'emménager avec son épouse dans une maison de la banlieue tokyoïte. Leur voisinage va vite se révéler étrange... Un peu long vers la fin, ce film qui monte en puissance pour devenir de plus en plus glauque, s'avère efficace et prenant.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2017
    Est-il encore une fois nécessaire d’être aussi débile en devant utiliser de l’anglais pour traduire du japonais en français ?
    Un ancien inspecteur de police reconverti en prof universitaire en criminologie se voit sollicité par un ancien collègue pour l’aider à résoudre une affaire de disparition familiale vieille de 6 ans. Parallèlement il ne peut s’empêcher de constater et d’enquêter sur les malsains et incohérents comportements de son étrange voisin de quartier, vers lequel tout semble converger.
    Bon, c’est dommage qu’il n’y ait pas que chez ledit voisin que pleuvent les incohérences. Certes on se laisse emporter par la progression de ce thriller japonais, la monstruosité progressive du vilain du jour, on passe globalement un bon moment de culture de l'angoisse permanente, et la mise en scène nous emporte plaisamment dans les évolutions et les destins des protagonistes. Mais ça aurait pu être un intéressant drame psychologique et un policier digne de ce nom si un peu de sérieux lui avait épargné tant d’illogisme et d’invraisemblances.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2018
    J’aimerais apprécier en pratique le cinéma de Kyoshi Kurosawa autant que je le souhaiterais en théorie. Quoique ses films soient, ici ou au Japon, des bêtes de festival plus que des succès publics, Kurosawa, en terme d’influence et de talent, figure dans le trio de tête des réalisateurs japonais qui comptent à l’international...mais bien que toujours liées de près ou de loin au Fantastique et au Cinéma de Genre, ses films sont tellement contemplatifs, tellement austères, tellement lents, interminables même, que mon intérêt pour eux vacille systématiquement avant qu’ils n’atteignent leur conclusion. D’ailleurs, j’ai du m’y reprendre à trois reprises pour “vaincre� ‘Creepy’, dont le scénario avait pourtant tout ce qu’il faut pour me séduire. Un couple s’installe dans un nouveau quartier. Lui est un ancien flic, qui enseigne à l’université, mais qui rempile sur un cold-case sordide pour filer un coup de main à un collègue. Elle est femme au foyer, simplement soucieuse d’établir de bonnes relations avec le voisinage..et justement, dans ce voisinage, il y a monsieur Nishino, un individu étrange, dont le physique n’inspire pas confiance et dont les manières grossières tranchent avec les normes de courtoisie en vigueur. Le tour de force de Kurosawa est de parvenir à instiller l’angoisse propre au Thriller domestique au compte-gouttes, sans le moindre coup d’éclat, sans le moindre artifice visuel, sans qu’il se passe quoi que ce soit, en réalité ! On en est toujours à soupeser le fait de décider si l’instinct doit prendre le pas sur la réflexion cartésienne, ou s’il est moralement justifiable d’éprouver méfiance et dégoût envers un individu qui n’a comme seul défaut apparent qu’un physique pas évident et un relatif manque d’éducation, qu’on se retrouve soudain à prendre la mesure d’un climat devenu très anxiogène sans qu’on l’ait vu venir ! Le réalisateur prend tout le temps dont il a besoin pour installer cette configuration, alterne le quotidien du mari, trop concentré sur ses activités professionnelles et celui de sa femme, dont il ne prend pas la mesure de l’angoisse latente et de l’imperceptible dégradation mentale, et dissimule les micro-événements qui pourraient agir comme une sonnette d’alarme au coeur de la banalité de cette existence banlieusarde. Il y aurait beaucoup à dire et à observer tout au long de ce minutieux travail de “confection atmosphérique�, durant lequel Kurosawa sème indices et fausses-pistes avec une maîtrise consommée de l’incertitude, en jouant notamment sur la configuration des différents domiciles, effet-miroir de la configuration mentale de ceux qui les occupent. Ce cheminement syncopé vers la résolution du mystère, où tout le sel de la démonstration tient au fait que l’essentiel se déroule hors-champ, et que rien ne requiert d’être exprimé s’il peut être suggéré, dure peut-être trop longtemps pour maintenir l’attention du spectateur à son point maximum, même quand on possède une certaine expérience de l’auteur et du cinéma japonais en général. D’autant plus que passé l’émerveillement face à un tel sens du détail et de la nuance, Kurosawa dévoile très vite ses limites lorsqu’il s’agit de faire bouger les lignes...
    Romain C.
    Romain C.

    80 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2017
    C'est un bon film malgré l'évidence pour certaine choses et la concordance qui manque quelque fois.Il y a quand même des imprévus .
    Les acteurs sont talentueux , le scénario est sophistiqué comme le dialogue et l'idée est génial est original .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 juillet 2017
    Creepy est un thriller qui se construit petit à petit. Voici la raison qui justifie sa longue durée. Dans une introduction reposée on fait connaissance du protagoniste, ancien détective, démissionnaire après avoir reçu un coup de feu, maintenant prof de criminologie à la fac. Lui et sa femme déménagent en quartier de périphérie idyllique, où ils essayeront de se présenter comme un couple accueillant qui offre des bombons aux voisins avec le meilleur de leur sourires. Cependant, dans un cadre si rassurant comme aseptisé, un certain habitant montrera à la famille les fissures cachées d'une image parfaite, leur faisant connaitre le vrai mal.

    Kurosawa retourne à son domaine, où il se sent comme poisson dans l'eau. Grand connaisseur du genre, il permet la trame d'arriver en douceur, surtout parce-que dans Creepy ce n'est pas le méchant qui vient perturber la tranquillité des protagonistes. Au contraire, ici ce sont les futures victimes qui viennent s'immiscer dans le territoire de l'antagoniste. Une proposition plus habituelle dans le genre d'aventures infantiles, dans le style de Vampire, vous avez-dit vampire? que dans le thriller. Il suffit une attitude forcée et une question inopportune pour que le méchant se sent menacé, puis il attaque.

    Après que l'antagoniste entre en scène, le film brise son structure, qui se reconstruit à fur et à mesure. spoiler: De la même façon que le mystérieux voisin fait avec le tissu social: il provoque une feinte de façon violente, il détruit tout reste du noyau familial, il adapte à son gré la volonté des gens les plus vulnérables, puis il renouvelle les composants quand il faut. Dans le style du raté Arlington road, sauf qu'ici le méchant n'est pas un être implacable, sinon un homme banal et pathétique qui passe inaperçu. Un ermite lambda qui réussit à détruire la structure sociale mais aussi la géométrie architectonique des quartiers périphériques du Japon d'après-guerre, identiques les uns aux autres.


    Creepy ne révolutionnera pas le cinéma, mais il sert comme confirmation du talent de Kurosawa, grand artisan du métier capable de signer des créations uniques. Il élude et modifie la narration à son plaisir, puis il laisse toujours la place aux clins d’œil de son passé j-horror. Surtout en ce qui concerne une certaine machine au fond du couloir.

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