Instinct de survie - The Shallows : Critique presse
Instinct de survie - The Shallows
Note moyenne
2,9
21 titres de presse
Gala
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Ouest France
Positif
Télérama
Voici
aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Critikat.com
Elle
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Mad Movies
Metro
Libération
TF1 News
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Gala
par Jean-Christian Hay
Même si tout n'est pas réussi dans ce film, les mésaventures d'une jeune surfeuse coincée sur un minuscule rocher autour duquel rôde un énorme requin offrent quelques bon moments de stress. Les fans de Blake Lively ne seront pas déçus.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le spectateur n'a pas une seconde de répit et tremble à chaque seconde pour elle. Jusqu'à un final enlevé, chaotique et libérateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sans génie mais hyper-fonctionnelle, faisant un usage raisonné des images de synthèse, la mise en scène se charge de conférer au film une sécheresse bienvenue (...) Une impeccable série B estivale.
Ouest France
par La Rédaction
Un huis clos terrifiant avec l'excellente Blake Lively.
Positif
par Adrien Gombeaud
Un budget aussi riquiqui que le maillot de la star, moins d'une heure et demie de ciné pour un petit produit de studio qui s'avérait finalement plus rafraîchissant que bien des blockbusters pachydermiques proposés par Hollywood l'été dernier.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Avec ce scénario efficace et habile, le réalisateur jusque-là médiocre de Non-Stop et Sans identité prend, enfin, son envol. Les eaux peu profondes promises par le titre américain (The Shallows) ne sont pas, pour une fois, celles de la superficialité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un plaisir coupable à ne pas bouder.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Plus un remake effréné d’Open Waters qu’un ersatz des Dents de la mer, le nouveau Jaume Collet-Serra provoque l’intense frisson d’été, celui d’un suspense implacable, mené tambour battant, par un roi du suspense.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Amusant, efficace, ce survival finit par être trahi par son manque de moyens.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaro
par Léna Lutaud
Jaume Collet-Serra n'est pas Steven Spielberg. Mais son thriller fait partie des meilleurs films de requins derrière "Les Dents de la mer" et "The Reef".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En s'appuyant sur un argument minimal et en dépit d'un dénouement maladroit, Jaume Collet-Serra signe un survival efficace et inspiré.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
(...) le tout s'avère terriblement efficace avec juste ce qu'il faut de gore. Dommage que la fin du film fasse plus rire que peur. Ce qui gâche un peu le plaisir.
Télé 7 Jours
par La Rédaction
Frissons à l'horizon, mais pas à la hauteur des "Dents de la mer".
Critikat.com
par Josué Morel
Autour de ce fil ténu, c’est toute une armature plastique qui vient perturber et alourdir la ligne claire que demandait pareil projet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Le prédateur aura beau tourner autour de sa proie et la vue de son aileron nous terrifier, c’est une version soft des « Dents de la mer » que nous offre Jaume Collet-Serra. Certes, des corps de surfeurs sont avalés comme des Apéricube par le squale, mais si vous avez peur d’avoir peur, rassurez-vous : « Instinct de survie », c’est Titi et Grosminet à la plage !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’épouvante pas vraiment original que sauve la présence de Blake Lively. Pour le reste, les dents de la mer paraissent un peu émoussées.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On s’étonne de l’exposition, trop longue, qui abuse des ralentis esthétisants sur la silhouette élancée de l’actrice. Mais c’est pour mieux montrer la lente désagrégation de ce corps parfait. Une série B calibrée, parfaitement de saison.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Cédric Delelée
Blake Lively pisse le sang en prenant des poses de porn star et en discutant avec une mouette sur un rocher. Vaguement divertissant mais vite oublié.
Metro
par Marilyne Letertre
Les Dents de la mer, sorti en 1975, ont plus de 40 ans mais n’ont pas pris une ride. Aucun film de requins sorti depuis ne lui arrive d'ailleurs à la cheville. Instinct de survie avec Blake Lively en surfeuse sexy et chassée ne changera pas la donne. Pire : il est carrément ridicule... au point d’en être presque jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Libération
par Guillaume Tion
Dans les interstices de cette chasse femme-squale, Nancy fait copine avec une mouette immobilisée à l’aile blessée. Une métaphore de son personnage. Mais aussi du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Le divertissement repose sur l'excitation provoquée par la perspective de voir Blake Lively en bikini sur un rocher cernée par un requin. Mais Blake joue mal, le requin aussi.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Gala
Même si tout n'est pas réussi dans ce film, les mésaventures d'une jeune surfeuse coincée sur un minuscule rocher autour duquel rôde un énorme requin offrent quelques bon moments de stress. Les fans de Blake Lively ne seront pas déçus.
Le Parisien
Le spectateur n'a pas une seconde de répit et tremble à chaque seconde pour elle. Jusqu'à un final enlevé, chaotique et libérateur.
Les Inrockuptibles
Sans génie mais hyper-fonctionnelle, faisant un usage raisonné des images de synthèse, la mise en scène se charge de conférer au film une sécheresse bienvenue (...) Une impeccable série B estivale.
Ouest France
Un huis clos terrifiant avec l'excellente Blake Lively.
Positif
Un budget aussi riquiqui que le maillot de la star, moins d'une heure et demie de ciné pour un petit produit de studio qui s'avérait finalement plus rafraîchissant que bien des blockbusters pachydermiques proposés par Hollywood l'été dernier.
Télérama
Avec ce scénario efficace et habile, le réalisateur jusque-là médiocre de Non-Stop et Sans identité prend, enfin, son envol. Les eaux peu profondes promises par le titre américain (The Shallows) ne sont pas, pour une fois, celles de la superficialité.
Voici
Un plaisir coupable à ne pas bouder.
aVoir-aLire.com
Plus un remake effréné d’Open Waters qu’un ersatz des Dents de la mer, le nouveau Jaume Collet-Serra provoque l’intense frisson d’été, celui d’un suspense implacable, mené tambour battant, par un roi du suspense.
CinemaTeaser
Amusant, efficace, ce survival finit par être trahi par son manque de moyens.
Le Figaro
Jaume Collet-Serra n'est pas Steven Spielberg. Mais son thriller fait partie des meilleurs films de requins derrière "Les Dents de la mer" et "The Reef".
Les Fiches du Cinéma
En s'appuyant sur un argument minimal et en dépit d'un dénouement maladroit, Jaume Collet-Serra signe un survival efficace et inspiré.
Studio Ciné Live
(...) le tout s'avère terriblement efficace avec juste ce qu'il faut de gore. Dommage que la fin du film fasse plus rire que peur. Ce qui gâche un peu le plaisir.
Télé 7 Jours
Frissons à l'horizon, mais pas à la hauteur des "Dents de la mer".
Critikat.com
Autour de ce fil ténu, c’est toute une armature plastique qui vient perturber et alourdir la ligne claire que demandait pareil projet.
Elle
Le prédateur aura beau tourner autour de sa proie et la vue de son aileron nous terrifier, c’est une version soft des « Dents de la mer » que nous offre Jaume Collet-Serra. Certes, des corps de surfeurs sont avalés comme des Apéricube par le squale, mais si vous avez peur d’avoir peur, rassurez-vous : « Instinct de survie », c’est Titi et Grosminet à la plage !
Le Dauphiné Libéré
Un film d’épouvante pas vraiment original que sauve la présence de Blake Lively. Pour le reste, les dents de la mer paraissent un peu émoussées.
Le Journal du Dimanche
On s’étonne de l’exposition, trop longue, qui abuse des ralentis esthétisants sur la silhouette élancée de l’actrice. Mais c’est pour mieux montrer la lente désagrégation de ce corps parfait. Une série B calibrée, parfaitement de saison.
Mad Movies
Blake Lively pisse le sang en prenant des poses de porn star et en discutant avec une mouette sur un rocher. Vaguement divertissant mais vite oublié.
Metro
Les Dents de la mer, sorti en 1975, ont plus de 40 ans mais n’ont pas pris une ride. Aucun film de requins sorti depuis ne lui arrive d'ailleurs à la cheville. Instinct de survie avec Blake Lively en surfeuse sexy et chassée ne changera pas la donne. Pire : il est carrément ridicule... au point d’en être presque jouissif.
Libération
Dans les interstices de cette chasse femme-squale, Nancy fait copine avec une mouette immobilisée à l’aile blessée. Une métaphore de son personnage. Mais aussi du film.
TF1 News
Le divertissement repose sur l'excitation provoquée par la perspective de voir Blake Lively en bikini sur un rocher cernée par un requin. Mais Blake joue mal, le requin aussi.