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24 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Tour de France" dit avec simplicité comment l'incompréhension peut devenir un lien fort. Ce n'est jamais mièvre. Le jeune Sadek est impeccable. Depardieu porte ce message avec une élégante efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Le choc entre Gérard Depardieu et Sadek fait bel et bien des étincelles. On croit en l’amitié qui se forme entre le Français bourru et le petit gars des cités obligé de se mettre au vert après s’être embrouillé avec un confrère. La performance de notre « Gégé » national est pour beaucoup dans cette réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
"Tour de France" offre ainsi à toucher, voir, entendre et se souvenir d’une belle tapisserie française où la gouache, la couleur et la caméra parviennent à confondre tous les Serges et les Rachid en les ayant placés tous sous le même signe : celui du père et de la réconciliation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Le film touche au but parce que le cinéma y tourne à plein régime.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le mérite premier du film réside dans la bienveillance du regard porté sur les personnages. Tout se passe en douceur. (...) A ce jeu-là, la complicité qu’ont nouée Depardieu et Sadek est essentielle. Elle permet de passer sur certaines facilités et quelques passages trop prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit initiatique et solaire recèle une sincérité et une spontanéité rares. De celles qui arrivent à dépasser les clichés pour accoucher d’un film aux émotions vives, fort et fragile à la fois, où cohabitent l’humour, la nostalgie et l’état des lieux d’une société qui va mal.
Marianne
par Danièle Heymann
Modeste et cahoteux, empoignant les clichés pour mieux les dézinguer, il touche là où ça fait du bien.
Paris Match
par Alain Spira
Finement écrite et filmée, cette comédie humaniste est soutenue par le génial Gégé et le très talentueux Sadek. Ses textes sont une révélation, et leur virée, une délectation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Pas d'ironie, pas de jugement : chacun se livre et se délivre de ses mots (ou de ses maux) sans que jamais l'on ne sente l'ombre d'un discours édifiant. Stigmatisant. Pesant. Quel bonheur !
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
"Tour de France" est un film simple, évident, un conte moderne contre les idées rances. Il est bon de se l'entendre raconter.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Une ode à la tolérance émouvante.
Télérama
par Guillemette Odicino
Naïf ? Oui, mais justement. Rachid Djaïdani use d'une arme bouleversante : la candeur. Pourquoi n'y aurait-il pas une fraternité entre ces damnés de la terre, survivants d'un monde ouvrier désintégré ou représentants d'une jeunesse jamais intégrée ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un road-movie délicat, qui transcende son côté prévisible.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
L’émotion sous-jacente et la délicatesse de certaines scènes (...) débarrassent le récit de tous les clichés dans lesquels aurait pu se fourvoyer cet appel à la tolérance et au brassage des cultures.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un attelage improbable pour un road movie à deux où Rachid Djaïdani pose les bonnes questions sociales et identitaires de façon un peu appliquée ; mais Depardieu, en roue libre, fait tout passer…
Le Figaro
par Etienne Sorin
Ça sent le cliché à plein nez. On connaît déjà la fin, le début d'une belle amitié entre le vieux raciste et le jeune Arabe, le prolo et le rappeur. Deux cabossés de la vie, deux écorchés vifs. Mais Djaïdani et ses acteurs sont plus malins que ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si le dispositif peut sembler un peu simpliste et angélique, on a aussi envie de croire avec Djaïdani en la réconciliation possible de la France FN et de la France des quartiers. (...) Et si "Tour de France" perd un peu en grâce tchatcheuse et spontanéité guérilla par rapport à Rengaine, on sait gré à Rachid Djaïdani d'essayer de cautériser intelligemment les plaies de notre pays.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un jeune rappeur et un vieux râleur partent sur les traces du peintre Joseph Vernet. De Dieppe à Marseille en passant par Lens, les deux lascars vont apprendre à s’apprécier. Sans surprise.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Rachid Djaïdani joue la carte du choc des cultures pour envoyer un message de tolérance, mais aboutit à une succession de clichés datés et simplistes.
Libération
par Gilles Renault
Chantre autoproclamé de la «majorité silencieuse», l’ogre Depardieu en fait des caisses, comme chaque fois qu’on lui laisse les coudées franches (le spectre de Jean Reno n’étant plus si loin).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Gérard Depardieu ne se fatigue pas beaucoup, collant à son image d'acteur imprévisible dans ses tocades. Sadek essaie d'être à la hauteur, plutôt émouvant quand il s'agit d'exprimer son amour, mais dépassé le reste du temps. L'un et l'autre doivent faire face à des répliques mal écrites, pétries de clichés et de bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Une embarrassante plaidoirie pour le vivre-ensemble trouvant son dénouement à Marseille, comme un clin d’œil à un feuilleton de la télé publique auquel "Tour de France" ne fait que trop penser.
Critikat.com
par Josué Morel
Une sorte d’agrégat d’ébauches de scènes, entrecoupées de plans qui ressemblent aux chutes d’un mauvais court-métrage expérimental d’étudiant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Far’Hook, jeune rappeur dont la tête est mise à prix, se met au vert chez le père de son agent, Serge, qu’il va accompagner dans son tour de France des toiles du peintre Claude Joseph Vernet. Problème : Serge est plutôt raciste et mauvais coucheur. L’attelage va pourtant s’en sortir, mieux que le film, qui ne parvient pas à éviter les poncifs découlant de son généreux propos.
Le Parisien
"Tour de France" dit avec simplicité comment l'incompréhension peut devenir un lien fort. Ce n'est jamais mièvre. Le jeune Sadek est impeccable. Depardieu porte ce message avec une élégante efficacité.
20 Minutes
Le choc entre Gérard Depardieu et Sadek fait bel et bien des étincelles. On croit en l’amitié qui se forme entre le Français bourru et le petit gars des cités obligé de se mettre au vert après s’être embrouillé avec un confrère. La performance de notre « Gégé » national est pour beaucoup dans cette réussite.
Culturopoing.com
"Tour de France" offre ainsi à toucher, voir, entendre et se souvenir d’une belle tapisserie française où la gouache, la couleur et la caméra parviennent à confondre tous les Serges et les Rachid en les ayant placés tous sous le même signe : celui du père et de la réconciliation.
L'Express
Le film touche au but parce que le cinéma y tourne à plein régime.
L'Obs
Le mérite premier du film réside dans la bienveillance du regard porté sur les personnages. Tout se passe en douceur. (...) A ce jeu-là, la complicité qu’ont nouée Depardieu et Sadek est essentielle. Elle permet de passer sur certaines facilités et quelques passages trop prévisibles.
Le Journal du Dimanche
Ce récit initiatique et solaire recèle une sincérité et une spontanéité rares. De celles qui arrivent à dépasser les clichés pour accoucher d’un film aux émotions vives, fort et fragile à la fois, où cohabitent l’humour, la nostalgie et l’état des lieux d’une société qui va mal.
Marianne
Modeste et cahoteux, empoignant les clichés pour mieux les dézinguer, il touche là où ça fait du bien.
Paris Match
Finement écrite et filmée, cette comédie humaniste est soutenue par le génial Gégé et le très talentueux Sadek. Ses textes sont une révélation, et leur virée, une délectation.
Positif
Pas d'ironie, pas de jugement : chacun se livre et se délivre de ses mots (ou de ses maux) sans que jamais l'on ne sente l'ombre d'un discours édifiant. Stigmatisant. Pesant. Quel bonheur !
Studio Ciné Live
"Tour de France" est un film simple, évident, un conte moderne contre les idées rances. Il est bon de se l'entendre raconter.
Télé 2 semaines
Une ode à la tolérance émouvante.
Télérama
Naïf ? Oui, mais justement. Rachid Djaïdani use d'une arme bouleversante : la candeur. Pourquoi n'y aurait-il pas une fraternité entre ces damnés de la terre, survivants d'un monde ouvrier désintégré ou représentants d'une jeunesse jamais intégrée ?
Voici
Un road-movie délicat, qui transcende son côté prévisible.
aVoir-aLire.com
L’émotion sous-jacente et la délicatesse de certaines scènes (...) débarrassent le récit de tous les clichés dans lesquels aurait pu se fourvoyer cet appel à la tolérance et au brassage des cultures.
Le Dauphiné Libéré
Un attelage improbable pour un road movie à deux où Rachid Djaïdani pose les bonnes questions sociales et identitaires de façon un peu appliquée ; mais Depardieu, en roue libre, fait tout passer…
Le Figaro
Ça sent le cliché à plein nez. On connaît déjà la fin, le début d'une belle amitié entre le vieux raciste et le jeune Arabe, le prolo et le rappeur. Deux cabossés de la vie, deux écorchés vifs. Mais Djaïdani et ses acteurs sont plus malins que ça.
Les Inrockuptibles
Si le dispositif peut sembler un peu simpliste et angélique, on a aussi envie de croire avec Djaïdani en la réconciliation possible de la France FN et de la France des quartiers. (...) Et si "Tour de France" perd un peu en grâce tchatcheuse et spontanéité guérilla par rapport à Rengaine, on sait gré à Rachid Djaïdani d'essayer de cautériser intelligemment les plaies de notre pays.
La Voix du Nord
Un jeune rappeur et un vieux râleur partent sur les traces du peintre Joseph Vernet. De Dieppe à Marseille en passant par Lens, les deux lascars vont apprendre à s’apprécier. Sans surprise.
Les Fiches du Cinéma
Rachid Djaïdani joue la carte du choc des cultures pour envoyer un message de tolérance, mais aboutit à une succession de clichés datés et simplistes.
Libération
Chantre autoproclamé de la «majorité silencieuse», l’ogre Depardieu en fait des caisses, comme chaque fois qu’on lui laisse les coudées franches (le spectre de Jean Reno n’étant plus si loin).
Sud Ouest
Gérard Depardieu ne se fatigue pas beaucoup, collant à son image d'acteur imprévisible dans ses tocades. Sadek essaie d'être à la hauteur, plutôt émouvant quand il s'agit d'exprimer son amour, mais dépassé le reste du temps. L'un et l'autre doivent faire face à des répliques mal écrites, pétries de clichés et de bons sentiments.
Cahiers du Cinéma
Une embarrassante plaidoirie pour le vivre-ensemble trouvant son dénouement à Marseille, comme un clin d’œil à un feuilleton de la télé publique auquel "Tour de France" ne fait que trop penser.
Critikat.com
Une sorte d’agrégat d’ébauches de scènes, entrecoupées de plans qui ressemblent aux chutes d’un mauvais court-métrage expérimental d’étudiant.
Le Monde
Far’Hook, jeune rappeur dont la tête est mise à prix, se met au vert chez le père de son agent, Serge, qu’il va accompagner dans son tour de France des toiles du peintre Claude Joseph Vernet. Problème : Serge est plutôt raciste et mauvais coucheur. L’attelage va pourtant s’en sortir, mieux que le film, qui ne parvient pas à éviter les poncifs découlant de son généreux propos.