Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Sylvie Verheyde retranscrit avec brio les tourments de la jeunesse citadine. La solitude, l’individualisme, l’ennui, la quête effrénée de fric et de sexe. Elle le fait avec ce qu’il faut de finesse, de franchise et de profondeur, à l’épaule avec des plans nerveux et francs, le tout enrobé d’une électro hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par Victoria Gairin
Révélée par "La Graine et le Mulet", la jeune Marseillaise Hafsia Herzi oscille entre femme-enfant et femme fatale dans le très beau "Sex Doll".
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L'Obs
par François Forestier
On s’attend à un film fort, on a une bluette. Avec une actrice à suivre : Hafsia Herzi, douce et dure à la fois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
En jouant sur la fascination que la prostitution exerce sur l’imaginaire collectif, et surtout sur la charge érotique qui émane de Hafsia Herzi, un film ambitieux mais qui n’échappe pas toujours aux poncifs visuels du porno chic.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film renoue avec les ficelles du mélo classique à base de filles perdues et de rédemption introuvable. Son véritable atout est sans aucun doute l’interprétation d’Hafsia Herzi, traînant son cynisme et sa résignation apparente comme une colère rentrée.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un portrait gracieux et troublant, en même temps qu’une romance un peu convenue.
Ouest France
par La Rédaction
Beaucoup d'effets gratuits, mais la sulfureuse Hafsia Herzi ensorcelle.
Voici
par Lola Sciamma
Avec la toujours plus incandescente Hafsia Herzi, révélée dans "La Graine et le mulet".
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La caméra (trop) pudique impose une esthétique de papier glacé qui pénalise ce film dépourvu d’émotion, là où on aurait aimé de la profondeur.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Hélas, le scénario sonne creux et la tentative de polar (...) frise le grotesque.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Une à une Sex Doll coche toutes les cases du « récit de call-girl » tel qu’on le croise depuis environ dix ans, vague commentaire sur le désir et le capitalisme dans quelques séries, ou dans les films de Soderbergh, Ozon ou Bercot.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Visages filmés de près sur arrière-fond d’éclairages nocturnes jaune sale, caméo du chanteur Lescop dans un bar sombre, tout y est, et l’on peine à suivre les péripéties des tourtereaux, tant elles nous paraissent peu crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Après une version soporifique de "La Confession d'un enfant du siècle", avec un Pete Doherty plus éteint que mélancolique, la réalisatrice se prend les pieds dans le tapis du réel avec une histoire archi prévisible d'escort girl sauvée de la misère (sexuelle) par un mystérieux ange exterminateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Sylvie Verheyde retranscrit avec brio les tourments de la jeunesse citadine. La solitude, l’individualisme, l’ennui, la quête effrénée de fric et de sexe. Elle le fait avec ce qu’il faut de finesse, de franchise et de profondeur, à l’épaule avec des plans nerveux et francs, le tout enrobé d’une électro hypnotique.
Le Point
Révélée par "La Graine et le Mulet", la jeune Marseillaise Hafsia Herzi oscille entre femme-enfant et femme fatale dans le très beau "Sex Doll".
L'Obs
On s’attend à un film fort, on a une bluette. Avec une actrice à suivre : Hafsia Herzi, douce et dure à la fois.
Le Dauphiné Libéré
En jouant sur la fascination que la prostitution exerce sur l’imaginaire collectif, et surtout sur la charge érotique qui émane de Hafsia Herzi, un film ambitieux mais qui n’échappe pas toujours aux poncifs visuels du porno chic.
Le Monde
Le film renoue avec les ficelles du mélo classique à base de filles perdues et de rédemption introuvable. Son véritable atout est sans aucun doute l’interprétation d’Hafsia Herzi, traînant son cynisme et sa résignation apparente comme une colère rentrée.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait gracieux et troublant, en même temps qu’une romance un peu convenue.
Ouest France
Beaucoup d'effets gratuits, mais la sulfureuse Hafsia Herzi ensorcelle.
Voici
Avec la toujours plus incandescente Hafsia Herzi, révélée dans "La Graine et le mulet".
Le Journal du Dimanche
La caméra (trop) pudique impose une esthétique de papier glacé qui pénalise ce film dépourvu d’émotion, là où on aurait aimé de la profondeur.
Studio Ciné Live
Hélas, le scénario sonne creux et la tentative de polar (...) frise le grotesque.
Cahiers du Cinéma
Une à une Sex Doll coche toutes les cases du « récit de call-girl » tel qu’on le croise depuis environ dix ans, vague commentaire sur le désir et le capitalisme dans quelques séries, ou dans les films de Soderbergh, Ozon ou Bercot.
Libération
Visages filmés de près sur arrière-fond d’éclairages nocturnes jaune sale, caméo du chanteur Lescop dans un bar sombre, tout y est, et l’on peine à suivre les péripéties des tourtereaux, tant elles nous paraissent peu crédibles.
Télérama
Après une version soporifique de "La Confession d'un enfant du siècle", avec un Pete Doherty plus éteint que mélancolique, la réalisatrice se prend les pieds dans le tapis du réel avec une histoire archi prévisible d'escort girl sauvée de la misère (sexuelle) par un mystérieux ange exterminateur.