Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le lyrisme convulsif de Bellocchio fonctionne ici par intermittence. (…) Reste que "Sangue del mio sangue" est souvent plus troublant que ce que sa surface donne à voir.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Un film parfois abstrait. Paradoxal. Mais aussi ironique, et s’auto-dynamitant de façon volontairement grotesque. Un opus qui propose de très beaux moments visuels et musicaux, oscillant entre le ténébrisme et le sfumato, l’intime et le choral.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par La Rédaction
L’ensemble séduit pourtant par sa splendeur plastique, son originalité et l’inventivité d’un cinéaste qui n’en finit pas de se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La splendeur visuelle de cette œuvre inclassable, énigmatique et baroque, se regarde comme une toile de maître.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La religion, la sorcellerie, le passage du temps, la transmission : Bellocchio fidèle à ses grands thèmes dans un drame qui a l’odeur du soufre.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un étrange collage de récits, de thèmes et de motifs, obscur dans son ensemble mais régulièrement réjouissant dans ses détails.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film garde son mystère pour faire travailler notre inconscient, remuer en nous d'antiques peurs (du désir, de la mort), faire ressurgir le souvenir de romans échevelés dont on a oublié le titre, l'auteur, mais pas les émotions qu'ils nous ont procurées.
Libération
par Clément Ghys
En filmant un village vérolé par la connerie et par une mafia de vampires pour qui tout est permis, en s’attachant à décrire une féodalité caduque mais encore présente, Bellocchio dessine une hilarante farce autour de l’Italie contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pascal Binétruy
De l'histoire de la sorcière du XVIIe siècle, condamnée par l'Inquisition, aux inquiétudes d'un aéropage de notables à l'arrivée d'un inspecteur, d'un amour impossible aux réminiscences d'un drame privé, "Sangue del mio sangue" trouve un surprenant chemin.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
On entre dans ce nouveau Bellochio comme par effraction. (...) Fascinant.
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
La mise en scène est un peu tape-à-l’oeil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film (...) laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le film brasse une fois encore les thèmes de son auteur avec à la fois une audace insatiable et une noirceur indélébile qui témoigne que, plus on espère les maîtriser, plus ils nous échappent.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le lien entre les deux histoires ? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens en activité, fête ses 50 ans de carrière avec un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Benoît Smith
Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête de Bellocchio pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Le lyrisme convulsif de Bellocchio fonctionne ici par intermittence. (…) Reste que "Sangue del mio sangue" est souvent plus troublant que ce que sa surface donne à voir.
Culturopoing.com
Un film parfois abstrait. Paradoxal. Mais aussi ironique, et s’auto-dynamitant de façon volontairement grotesque. Un opus qui propose de très beaux moments visuels et musicaux, oscillant entre le ténébrisme et le sfumato, l’intime et le choral.
L'Obs
L’ensemble séduit pourtant par sa splendeur plastique, son originalité et l’inventivité d’un cinéaste qui n’en finit pas de se renouveler.
La Croix
La splendeur visuelle de cette œuvre inclassable, énigmatique et baroque, se regarde comme une toile de maître.
Le Dauphiné Libéré
La religion, la sorcellerie, le passage du temps, la transmission : Bellocchio fidèle à ses grands thèmes dans un drame qui a l’odeur du soufre.
Les Fiches du Cinéma
Un étrange collage de récits, de thèmes et de motifs, obscur dans son ensemble mais régulièrement réjouissant dans ses détails.
Les Inrockuptibles
Le film garde son mystère pour faire travailler notre inconscient, remuer en nous d'antiques peurs (du désir, de la mort), faire ressurgir le souvenir de romans échevelés dont on a oublié le titre, l'auteur, mais pas les émotions qu'ils nous ont procurées.
Libération
En filmant un village vérolé par la connerie et par une mafia de vampires pour qui tout est permis, en s’attachant à décrire une féodalité caduque mais encore présente, Bellocchio dessine une hilarante farce autour de l’Italie contemporaine.
Positif
De l'histoire de la sorcière du XVIIe siècle, condamnée par l'Inquisition, aux inquiétudes d'un aéropage de notables à l'arrivée d'un inspecteur, d'un amour impossible aux réminiscences d'un drame privé, "Sangue del mio sangue" trouve un surprenant chemin.
Studio Ciné Live
On entre dans ce nouveau Bellochio comme par effraction. (...) Fascinant.
aVoir-aLire.com
La mise en scène est un peu tape-à-l’oeil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film (...) laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.
La Septième Obsession
Le film brasse une fois encore les thèmes de son auteur avec à la fois une audace insatiable et une noirceur indélébile qui témoigne que, plus on espère les maîtriser, plus ils nous échappent.
Le Journal du Dimanche
Le lien entre les deux histoires ? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.
Le Monde
Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens en activité, fête ses 50 ans de carrière avec un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un.
Première
Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.
Critikat.com
Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête de Bellocchio pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?