Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Le scénario bénéficie d'une documentation très approfondie et du savoir-faire du scénariste Emmanuel Courcol (complice de Philippe Lioret sur Welcome, notamment). A mi-chemin entre l'enquête et le thriller, c'est gris, dur, anxiogène. En un mot, réaliste.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Damien Leblanc
Avec l’histoire de ce malfrat français contraint par la police d’infiltrer la mafia du proxénétisme en Bulgarie, Kamen Kalev fait preuve d’un réalisme impressionnant – travail de documentation et acteurs non professionnels à l’appui.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Marc Quaglieri
Filmé au scalpel, "Tête baissée" prend des allures de tragédie grecque dans un final d’une noirceur totale, prouvant une fois de plus que l’inexorable fatum est en marche et que rien ne pourra l’arrêter, au risque d’abîmer autant les spectateurs que les âmes des protagonistes embourbées dans des marécages ténébreux et austères.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par La Rédaction
Le monde décrit est terrifiant. Melvil Poupaud s’y comporte avec aisance, et prend son personnage de petit truand à bras-le-corps. C’est grâce à lui que le film rafle la mise, en dépit d’une accumulation de péripéties dommageable pour la dernière partie, aussi confuse que tout ce qui précédait semblait limpide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
La confusion narrative du film est largement compensée par la densité humaine charriée par la belle mobilité de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Plongée au cœur de la mafia bulgare, ce récit s'attache au parcours d'un homme pris au piège que sa conscience rattrape. Plus convaincant dans la description sociale que dans les séquences d'action.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Kalev se révèle l'impeccable narrateur de la brutalité du quotidien de ces femmes. Mais l'écriture des personnages se révèle trop archétypale pour tutoyer la fièvre du cinéma social des frères Dardenne.
Télérama
par Jacques Morice
Le voyage n'est pas rose, mais filmé par Kamen Kalev, il est captivant. (...) Le scénario flotte un peu, mais ce travers est compensé par le lien qui s'instaure peu à peu entre Samy et Elka.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Tête baissée" convainc à peine, la faute surtout à un scénario sur lequel pèse la double nationalité franco-bulgare du film (…). Dommage, mais le regard de Kalev est acéré, il prend le temps de donner à voir, et il faut lui faire confiance pour la suite.
La Septième Obsession
par Louise Riousse
Tête baissée consacre bien malgré lui, (…) la disparation définitive de l’intimité.
Les Inrockuptibles
par Vincent Otria
A vrai dire, on est beaucoup moins convaincu par le scénario du film, à la fois abracadabrantesque et stéréotypé.
Positif
par Eithne O'Neill
Malgré les bonnes intentions (...), l'ensemble manque de structure et d'émotion vraie.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Échouant dans son approche du genre comme dans son réalisme plus tranché, "Tête baissée" prend l’eau de toutes parts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un polar glauque et poisseux, qui a du mal à tenir les divers fils de son intrigue et qui se perd en route.
L'Express
Le scénario bénéficie d'une documentation très approfondie et du savoir-faire du scénariste Emmanuel Courcol (complice de Philippe Lioret sur Welcome, notamment). A mi-chemin entre l'enquête et le thriller, c'est gris, dur, anxiogène. En un mot, réaliste.
Première
Avec l’histoire de ce malfrat français contraint par la police d’infiltrer la mafia du proxénétisme en Bulgarie, Kamen Kalev fait preuve d’un réalisme impressionnant – travail de documentation et acteurs non professionnels à l’appui.
aVoir-aLire.com
Filmé au scalpel, "Tête baissée" prend des allures de tragédie grecque dans un final d’une noirceur totale, prouvant une fois de plus que l’inexorable fatum est en marche et que rien ne pourra l’arrêter, au risque d’abîmer autant les spectateurs que les âmes des protagonistes embourbées dans des marécages ténébreux et austères.
L'Obs
Le monde décrit est terrifiant. Melvil Poupaud s’y comporte avec aisance, et prend son personnage de petit truand à bras-le-corps. C’est grâce à lui que le film rafle la mise, en dépit d’une accumulation de péripéties dommageable pour la dernière partie, aussi confuse que tout ce qui précédait semblait limpide.
Le Monde
La confusion narrative du film est largement compensée par la densité humaine charriée par la belle mobilité de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Plongée au cœur de la mafia bulgare, ce récit s'attache au parcours d'un homme pris au piège que sa conscience rattrape. Plus convaincant dans la description sociale que dans les séquences d'action.
Studio Ciné Live
Kalev se révèle l'impeccable narrateur de la brutalité du quotidien de ces femmes. Mais l'écriture des personnages se révèle trop archétypale pour tutoyer la fièvre du cinéma social des frères Dardenne.
Télérama
Le voyage n'est pas rose, mais filmé par Kamen Kalev, il est captivant. (...) Le scénario flotte un peu, mais ce travers est compensé par le lien qui s'instaure peu à peu entre Samy et Elka.
Cahiers du Cinéma
"Tête baissée" convainc à peine, la faute surtout à un scénario sur lequel pèse la double nationalité franco-bulgare du film (…). Dommage, mais le regard de Kalev est acéré, il prend le temps de donner à voir, et il faut lui faire confiance pour la suite.
La Septième Obsession
Tête baissée consacre bien malgré lui, (…) la disparation définitive de l’intimité.
Les Inrockuptibles
A vrai dire, on est beaucoup moins convaincu par le scénario du film, à la fois abracadabrantesque et stéréotypé.
Positif
Malgré les bonnes intentions (...), l'ensemble manque de structure et d'émotion vraie.
Critikat.com
Échouant dans son approche du genre comme dans son réalisme plus tranché, "Tête baissée" prend l’eau de toutes parts.
Le Dauphiné Libéré
Un polar glauque et poisseux, qui a du mal à tenir les divers fils de son intrigue et qui se perd en route.