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    Paula
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    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Un bon film ou l'on peut voir combien dans les années 1900 il était difficile pour une jeune femme de vouloir faire accepter ses choix de vie et surtout reconnaître ses talents de peintre à voir
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    411 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2017
    Paula Becker, une artiste sans cœur ? Tout au long du biopic, la jeune femme paraît insensible et détachée. Le réalisateur fait d’elle un monstre d’égoïsme, uniquement intéressée par son ambition et sa réussite. Si l’on conçoit que l’artiste délaisse les autres au profit de son art, on l’imagine difficilement aussi imperméable aux sentiments humains. Les proches de Paula débordent de souffrance et d’amertume. Elle, ne dégage rien d’autre qu’une mécanique rageuse du pinceau.
    Thom' A
    Thom' A

    5 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2017
    Dommage : ce film révèle des moments poétiques et impressionistes intéressants,le jeu des acteurs est bon.Bravo à Carla Juri .Il manque une envergure ,ça peut être plat et mièvre parfois.

    Trop facilement on tombe dans le cliché du Paris bohème,comme les poncifs sur la France en général.Ça n'étonnera pas les connaisseurs de l'Allemagne ,ou ceux et celles qui y ont vécu : du typisch deutsch finalement : )
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Paula Modersohn-Becker a été la première femme artiste-peintre à se voir consacrer un musée du côté de Brême. spoiler: Morte prématurément, comme elle l'avait anticipé
    , sa vie fut un combat constant contre les quolibets et les moqueries dans l'Allemagne du début du XXe siècle. Le portrait de fiction que lui consacre Christian Schwochow fait tout pour s'éloigner du biopic traditionnel. L'artiste y est peinte comme un rebelle résolue, gaie malgré les épreuves, amoureuse d'un mari qui ne la satisfait pas. Il manque à Paula un soupçon de fluidité pour être le grand film que l'on espérait. Le film avance par touches impressionnistes mais l'on reste un peu à distance de cette femme insaisissable, en dépit du joli jeu d'actrice de Carla Juri.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Encore une fois la France a le beau rôle dans un film allemand! C'est un film plein de joie, de liberté, d'artistique évidemment et puis en voilà une femme qui en impose
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 avril 2018
    Non Jeff21 , Paula Becker n'est pas la première femme peintre...Dés le XVIème siècle il y eut des femmes peintre notamment aux Pay-bas et au XVIIIème Elisabeth Vigée-Lebrun fut une immenses portraitiste demandée par les aristocrates et les familles royales de toute l'Europe. Et Berthe Morisot fut au XIXème une impressionniste de tout premier plan. Ceci dit ce film est raté. Mal joué , mal mis en scènes, d'une platitude et d'un ennui à lâcher l'affaire bien avant la fin. A de rares exceptions près , dans les années 30 ou 70 , le cinéma allemand ne brille guère....
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Voilà un film dont le sujet est très intéressant mais dont la réalisation l'empêche d'atteindre des sommets : un peu trop académique et, surtout, trop "mollasonne", ce qui étonne de la part du réalisateur de l'excellent "De l'autre côté du mur". Cela étant, les personnages de "Paula" sont tels que l'on peut faire fi de ces réserves. Il y a d'abord la peintre Paula Modersohn-Becker, née en 1876, remarquablement interprétée par l'actrice suisse Carla Juri et dont Marie Darrieussecq a écrit la biographie il y a 2 ans : "Etre ici est une splendeur". Une femme vive et drôle, qui, dans le milieu très macho de la peinture, s'efforce de trouver sa voie en s'écartant de l'académisme qu'on lui enseigne. Concernant son attirance pour Paris et la vie artistique de la capitale française, le film a pris quelque licence par rapport à la vérité historique. En effet, ce n'est pas un séjour qu'elle y fit, abandonnant son mari à l'occasion, ce sont 3 séjours que Paula effectua à Paris, 3 séjours beaucoup plus courts que ce que laisse voir le film : le premier au début de 1901, le deuxième en 1903, après son mariage avec Otto Modersohn, le troisième en 1905, . Un personnage intéressant que cet Otto Modersohn : peintre également, il arrive à se montrer moins macho que ses collègues de Worpswede, la figure la plus caricaturale en la matière étant (dans le film, peut-être pas dans la réalité) Fritz Mackensen. le professeur de Paula lors de ses débuts dans la peinture.
    En permanence attiré par le destin des femmes de caractère et ayant envisagé dans sa jeunesse de faire de la peinture son métier, Christian Schwochow ne pouvait pas passer à côté de sa compatriote Paula Modershn-Becker, une femme qui vendit très peu de tableaux de son vivant mais qui, aujourd'hui, est la seule peintre à avoir, à Brême, un musée qui lui est entièrement consacré.
    Joseph B
    Joseph B

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Vous ne c'a pas comment ennuyer votre public, point d'inquiétude, avec Paula Christian Schwochow vous donne une leçon magistrale. Une réalisation plate et extrêmement scolaire, un personnage principal détestable et ridiculement orgueilleux . Nul doute que toute personne ne connaîtrais pas la peintre verre en elle une femme capricieuse, sans coeur et qui trop fainéante pour appendre les bases de la peinture se protégé dans son "ressenti".
    Et pour clore cette critique peu élogieuse je dirai que le biopic sur les peintre et les ecrivaints devrait cesse de resume leur histoire par le vie sentimentale (si celui ci n'a pas éte au centre de son art).
    jeff21
    jeff21

    64 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2017
    Il fallait vraiment rendre hommage à la première artiste femme de l'histoire de l'art. Hélas le film manque de profondeur et de rythme. il est difficile d'accrocher tant les interprétations sont sans réelles et touchantes émotions. Dommage.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 141 abonnés 5 121 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2019
    C’est un beau portrait un peu romancé cela dit.
    L’épanouissement de son art passe avant tout par la libération de sa personne: chercher à être elle-même.
    Le film insiste beaucoup sur sa féminité. Peut-être influencé par les nombreux nus féminins qu’elle peignait.
    Triste fin précoce pour cette artiste modeste dans son être.
    Joli film.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Avec Paula, le réalisateur allemand Christian Schwochow réussit un petit exploit : signer un film hyper-académique sur un personnage qui a fait souffler un vent de modernité effrontée sur son époque.

    Le film est photographié comme une publicité pour des yaourts bio (paysages enneigés, feuilles mortes et Paris de carton-pâte) et la mise en scène est d'une platitude abyssale, si je puis dire.

    Le film ne tire donc son intérêt que du charmant portrait qu'il dessine de la fabuleuse artiste peintre Paula Modersohn-Becker, décidément très à la mode en ce moment (cf le livre de Marie Darrieussecq, Etre ici est une splendeur, et l'exposition au Musée d'Art Moderne en 2016). La pétillante actrice Carla Juri prête ses traits avantageux à la jeune Paula.

    Le film a une autre qualité : il montre, fait assez rare, la véritable peinture de Paula se faire à l'écran, et d'une façon assez réaliste et convaincante. Le talent, la vocation, cet irrésistible élan qui pousse à peindre et à peindre encore est assez subtilement montré.

    Entre ses qualités attachantes et quelques défauts (les décors sonnent parfois faux, certains personnages secondaires sont ridiculement traités), je ne sais pas trop si je dois vous conseiller Paula. Pour ma part, c'est l'intérêt pour les personnages qui a attisé mon plaisir : le film propose notamment un portrait édifiant de Rilke.

    A vous de voir.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2017
    Paula Modersohn-Becker annonce dans ses œuvres de début de siècle le grand mouvement de peinture expressionniste allemand, qui, lui-même, avec les cubistes parisiens, ouvrira l'art, la littérature à la modernité. C'est tout l'enseignement de ce film "Paula" qui raconte en substance l'histoire même de l'acte de création. Car cette Paula est déterminée à réussir, non seulement dans la peinture, certaine de son talent, mais aussi dans sa vie de femme. La photographie rajoute à ce projet de création des paysages très bucoliques, notamment dans la première partie, lumineux comme des peintures, et romantiques à souhait. La jeune Paula, autant fiévreuse qu'enfantine, est déterminée à faire de sa vie une œuvre. Elle se résigne au mariage avec un peintre qui lui permettra toute son existence de s'adonner à son art. L'idée du film est tout à fait passionnante. La mise en scène par contre, d'un classicisme consternant, est ratée. La première partie du film, qui est sans doute la meilleure, se déroule en Allemagne. Le réalisateur semble à l'aise dans ces décors poétiques, même si les personnages se perdent dans des mimiques souvent caricaturales, nimbées par une musique pompeuse. La seconde partie, à Paris, tombe cette fois dans le stéréotype total de la belle époque. On y croise une Camille Claudel ridicule et ivre, un Rodin absent, et toute une palette de personnages insignifiants et peu vraisemblables. Il faut toutefois rester patient car le meilleur vient au générique final, permettant avec délice de voir ou de revoir les œuvres magnifiques de la grande peintre.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2017
    En 1900, Paula Becker a vingt-quatre ans. C’est une jeune femme émancipée qui veut consacrer sa vie à sa passion, la peinture, et veut briser le carcan dans lequel les femmes sont encore enfermées. Dans la colonne d’artistes de Worpswede, près de Brême, elle rencontre un jeune veuf, peintre comme elle. Elle l’épouse. Mais elle rêve de partir à Paris y élargir sa palette.

    Je ne connaissais pas l’œuvre de Paula Modersohn-Becker jusqu’à l’exposition que lui a consacrée l’an dernier le Musée d’art moderne de la ville de Paris. J’ai patiemment fait la queue pour y accéder et ai découvert des nus, des autoportraits, des paysages caractérisés par un refus aussi radical de l’esthétisme que du vérisme. Cette exposition m’a donné envie de lire le livre qu’a consacrée à la peintre Marie Darrieussecq (qui prend encore la poussière sur ma P.A.L.), de voir le documentaire qui en a été tiré et enfin ce film sorti en Allemagne l’an passé.

    Le biopic de Christian Schwochow n’échappe pas hélas à l’académisme contre lequel Paula s’est rebellée sa vie durant. Il suit paresseusement l’histoire de sa vie de son arrivée à Worpswede en 1900 jusqu’à sa mort sept ans plus tard.

    Le film hésite entre deux partis. Faute de moyens, ce n’est pas une immense fresque historique qui brosse la Belle époque, entre Worpswede et Paris – dont on réalise quelle attraction elle exerçait sur les milieux artistiques allemands. Ce n’est pas non plus un drame intimiste construit autour des tourments de Paula, mariée à un homme incapable de lui faire l’amour et cherchant à Paris un père pour l’enfant qu’elle rêve d’avoir.
    L’actrice Carla Juri ne m’a pas convaincu. C’est elle pourtant qui a été retenue pour jouer dans « Blade Runner 2049 » aux côtés de Harrisson Ford et de Ryan Gosling.
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2019
    Proche d’une certaine forme d’académisme, le film de Christian Schwochow cherche systématiquement la belle image pour retranscrire l’époque du début du 20ème siècle. C’est sans doute dommage car cela ne traduit pas vraiment l’aspect totalement révolutionnaire de cette femme qui a osé rompre les habitudes conventionnelles de son époque, aussi bien sur le plan personnel que sur le plan pictural. Heureusement, les acteurs sont formidables et permettent de passer outre l’aspect très classique de l’ensemble. Pour nous, spectateurs français qui ignoraient jusqu’alors l’existence de cette artiste allemande peu connue chez nous, le métrage permet de mieux appréhender le personnage, ainsi que son œuvre qui est largement montrée. On peut ainsi rapprocher le film de Séraphine, même si le métrage de Martin Provost était plus original dans sa forme. Le réalisateur allemand parvient tout de même à créer une certaine émotion et le final, assez dramatique, emporte vraiment l’adhésion. Bref, si le film ne constitue pas un biopic exceptionnel, il a au moins le mérite de nous faire découvrir une artiste en avance sur son temps, ainsi qu’une femme de caractère.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    282 abonnés 3 105 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2018
    Pffff la barbe !! Ce biopic me tentait beaucoup car je ne connaissais pas cette peintre allemande et j'avais très envie de la découvrir mais franchement le film est trop pénible pour accrocher qui que ce soit !! Voir cette femme lutter pour ses idées, pour son envie de liberté aurait pu être passionnant mais la réalisation fout tout en l'air !! C'est trop lent, trop académique et j'ai vite décroché !! Vraiment dommage !
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