Emily Dickinson, A Quiet Passion : Critique presse
Emily Dickinson, A Quiet Passion
Note moyenne
3,4
22 titres de presse
Femme Actuelle
Le Dauphiné Libéré
Bande à part
Culturopoing.com
Elle
L'Humanité
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Transfuge
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Franceinfo Culture
La Septième Obsession
Première
Rolling Stone
Critikat.com
L'Obs
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un drame sublime, austère et plein d'esprit.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le portrait d’un immense poète par un des plus grands cinéastes anglais : deux “distant voices” faites pour se rencontrer, et qu’il vaut la peine d’écouter.
Bande à part
par Isabelle Danel
On suit avec passion ce destin unique, cette biographie dont la chronologie et la place dans son époque font naître les circonvolutions de son âme en des envolées étonnantes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Non seulement le réalisateur parvient à retranscrire de manière fidèle et sensible la vie d’Emily Dickinson, mais il déjoue toutes les idées reçues sur la création poétique en donnant à voir un film facétieux, d’une vitalité étonnante, dont la fin pathétique s'impose à la fois comme un contraste éprouvant et une riche clé de lecture.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Dans cette belle reconstitution, le réalisateur anglais rend un hommage passionnant et délicat à cette femme d'exception.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
Terence Davies alimente sans faillir la dramaturgie de roman familial qui s’étend sur trente-sept ans de la vie d’Emily Dickinson.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Au chapitre des nouveautés, l’on notera ce spectaculaire travelling avant suivi d’un sidérant effet morphing sur le visage des personnages principaux ainsi précipités de la jeunesse à l’âge mûr. Ainsi qu’une radicale et originale façon d’évoquer la guerre de Sécession. Sensations, émotions.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Terence Davies évoque la poétesse américaine, incarnée par l'actrice Cynthia Nixon, dans un portrait vif et délicat.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cinéaste Terence Davies propose un récit sensible et bouleversant de la vie de la poétesse américaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
D’une liberté de ton revigorante, cette biographie filmée, parfois trop soignée, permet de découvrir la vie et l’œuvre de celle qui fut peut-être la plus grande poétesse américaine.
Transfuge
par Elise Lépine
Sensible, structuré, porté par le jeu noble et subtil de Cynthia Nixon, "Emily Dickinson : A quiet passion" célèbre les tourments et la beauté d’une âme libre.
Télérama
par Pierre Murat
On ne saurait rêver d'un plan plus chaleureux et plus terrible puisque s'y côtoient la tendresse que l'héroïne éprouve pour les siens, dont elle ne se débarrassera jamais, et l'enfermement qui, déjà, la menace...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
A Quiet Passion réussit l’exploit non négligeable d’étonner avec une mise en scène audacieuse et une ambiance malicieuse qui multiplie les scènes pittoresques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Derrière ses beaux décors et ses beaux costumes, le film a pour lui de ne pas chercher à plaire (plus que dans la séduction, il est dans la compassion) et de n’épargner ni son personnage ni son spectateur dans sa recherche de vérité.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Respectant une temporalité du passé, détachée de la frénésie contemporaine, reconstituant les intérieurs et les toilettes sobres de l’Amérique puritaine, tout en l’illuminant d’une lumière dorée, avec une formidable actrice, "Emily Dickinson, A Quiet Passion" extériorise les secrets d’une intériorité foisonnante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Il faut rendre ainsi grâce à Terence Davies d’insuffler dans son œuvre suffisamment d’allant romanesque et un goût pour le classicisme, qui n’empêche en rien sa Quiet Passion de distiller un humour particulièrement approprié, prenant le contrepied attendu d’une telle proposition.
Première
par Éric Vernay
Pas très rock’n’roll, le destin d’Emily Dickinson ? Assurément. Le film est pourtant vif, drôle et enjoué. Du moins dans sa première partie, la plus lumineuse. (...) Mais cette église sans Dieu va se transformer en un véritable caveau dans une deuxième partie plus sombre (et un peu répétitive).
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Le nouveau film de Terence Davies s’illustre par un mélange de sobriété, celle d’une société dévote du XIXe siècle, et de fougue – celle d’une femme qui préféra l’écriture au mariage.
Critikat.com
par Juliette Goffart
Cette fresque biographique sur la poétesse américaine a beau être éclairée comme un Turner, elle n'échappe guère à la monotonie et à bien des clichés sur les sacrifices au nom de l'art et de la liberté. Restent quelques éclats mélancoliques et fulgurants sur le passage du temps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il est gênant de voir des comédiens surenchérir dans la déglutition forcée et les yeux exorbités pour exprimer la douleur intime et la flamme réprimée de l’artiste. Une fausse pudeur qui vire à la caricature et assourdit la voix de la poétesse. Une miniature poussiéreuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un portrait austère de la poétesse américaine, ardente féministe en avance sur son temps, rongée par la frustration et l’aigreur. Et un huis clos théâtral, éclairé à la bougie et avec un réel sens du cadre, mais trop bavard et ennuyeux pour qu’on éprouve de l’empathie.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Dans cette fiction domestique, tout est en place et il faut reconnaître à Davies le soin apporté aux intérieurs et aux décors, qui n’est pas dénué de délicatesse. Mais ces efforts sont plombés par une voix off et des dialogues pompeux, comme si toute fiction autour de la littérature avait pour obligation de donner dans l’enluminure poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Femme Actuelle
Un drame sublime, austère et plein d'esprit.
Le Dauphiné Libéré
Le portrait d’un immense poète par un des plus grands cinéastes anglais : deux “distant voices” faites pour se rencontrer, et qu’il vaut la peine d’écouter.
Bande à part
On suit avec passion ce destin unique, cette biographie dont la chronologie et la place dans son époque font naître les circonvolutions de son âme en des envolées étonnantes.
Culturopoing.com
Non seulement le réalisateur parvient à retranscrire de manière fidèle et sensible la vie d’Emily Dickinson, mais il déjoue toutes les idées reçues sur la création poétique en donnant à voir un film facétieux, d’une vitalité étonnante, dont la fin pathétique s'impose à la fois comme un contraste éprouvant et une riche clé de lecture.
Elle
Dans cette belle reconstitution, le réalisateur anglais rend un hommage passionnant et délicat à cette femme d'exception.
L'Humanité
Terence Davies alimente sans faillir la dramaturgie de roman familial qui s’étend sur trente-sept ans de la vie d’Emily Dickinson.
La Voix du Nord
Au chapitre des nouveautés, l’on notera ce spectaculaire travelling avant suivi d’un sidérant effet morphing sur le visage des personnages principaux ainsi précipités de la jeunesse à l’âge mûr. Ainsi qu’une radicale et originale façon d’évoquer la guerre de Sécession. Sensations, émotions.
Le Figaro
Terence Davies évoque la poétesse américaine, incarnée par l'actrice Cynthia Nixon, dans un portrait vif et délicat.
Le Monde
Le cinéaste Terence Davies propose un récit sensible et bouleversant de la vie de la poétesse américaine.
Les Fiches du Cinéma
D’une liberté de ton revigorante, cette biographie filmée, parfois trop soignée, permet de découvrir la vie et l’œuvre de celle qui fut peut-être la plus grande poétesse américaine.
Transfuge
Sensible, structuré, porté par le jeu noble et subtil de Cynthia Nixon, "Emily Dickinson : A quiet passion" célèbre les tourments et la beauté d’une âme libre.
Télérama
On ne saurait rêver d'un plan plus chaleureux et plus terrible puisque s'y côtoient la tendresse que l'héroïne éprouve pour les siens, dont elle ne se débarrassera jamais, et l'enfermement qui, déjà, la menace...
aVoir-aLire.com
A Quiet Passion réussit l’exploit non négligeable d’étonner avec une mise en scène audacieuse et une ambiance malicieuse qui multiplie les scènes pittoresques.
Cahiers du Cinéma
Derrière ses beaux décors et ses beaux costumes, le film a pour lui de ne pas chercher à plaire (plus que dans la séduction, il est dans la compassion) et de n’épargner ni son personnage ni son spectateur dans sa recherche de vérité.
Franceinfo Culture
Respectant une temporalité du passé, détachée de la frénésie contemporaine, reconstituant les intérieurs et les toilettes sobres de l’Amérique puritaine, tout en l’illuminant d’une lumière dorée, avec une formidable actrice, "Emily Dickinson, A Quiet Passion" extériorise les secrets d’une intériorité foisonnante.
La Septième Obsession
Il faut rendre ainsi grâce à Terence Davies d’insuffler dans son œuvre suffisamment d’allant romanesque et un goût pour le classicisme, qui n’empêche en rien sa Quiet Passion de distiller un humour particulièrement approprié, prenant le contrepied attendu d’une telle proposition.
Première
Pas très rock’n’roll, le destin d’Emily Dickinson ? Assurément. Le film est pourtant vif, drôle et enjoué. Du moins dans sa première partie, la plus lumineuse. (...) Mais cette église sans Dieu va se transformer en un véritable caveau dans une deuxième partie plus sombre (et un peu répétitive).
Rolling Stone
Le nouveau film de Terence Davies s’illustre par un mélange de sobriété, celle d’une société dévote du XIXe siècle, et de fougue – celle d’une femme qui préféra l’écriture au mariage.
Critikat.com
Cette fresque biographique sur la poétesse américaine a beau être éclairée comme un Turner, elle n'échappe guère à la monotonie et à bien des clichés sur les sacrifices au nom de l'art et de la liberté. Restent quelques éclats mélancoliques et fulgurants sur le passage du temps.
L'Obs
Il est gênant de voir des comédiens surenchérir dans la déglutition forcée et les yeux exorbités pour exprimer la douleur intime et la flamme réprimée de l’artiste. Une fausse pudeur qui vire à la caricature et assourdit la voix de la poétesse. Une miniature poussiéreuse.
Le Journal du Dimanche
Un portrait austère de la poétesse américaine, ardente féministe en avance sur son temps, rongée par la frustration et l’aigreur. Et un huis clos théâtral, éclairé à la bougie et avec un réel sens du cadre, mais trop bavard et ennuyeux pour qu’on éprouve de l’empathie.
Les Inrockuptibles
Dans cette fiction domestique, tout est en place et il faut reconnaître à Davies le soin apporté aux intérieurs et aux décors, qui n’est pas dénué de délicatesse. Mais ces efforts sont plombés par une voix off et des dialogues pompeux, comme si toute fiction autour de la littérature avait pour obligation de donner dans l’enluminure poétique.