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    Les Confessions
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    23 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 185 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2017
    Il règne dans Les confessions une atmosphère à la Agatha Cristie avec un prêtre qui refuse malgré les pressions de révéler ce qui lui a été confié. Le film est ambitieux opposant au cynisme du capitalisme la sérénité de la religion. Mais il est également très confus dans son discours et son déroulement ne montrant en définitive rien qu'on ne connaisse déjà. Son hypothétique crédibilité est de toute manière détruite dès lors que la plupart des acteurs sont doublés en italien avec un casting international où l'on retrouve notamment Marie-Josée Croze, Connie Nielsen, Daniel Auteuil et Lambert Wilson. Les dominant tous, Toni Servillo impose ses silences et son impassibilité. Ceci dit, on l'a vu bien meilleur auparavant.
    Daniel C.
    Daniel C.

    133 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2017
    Voici un film, dont l'intrigue est captivante. A l'heure où les scandales politiques surgissent, "Les confessions" dénonce le pouvoir exorbitant des économistes. L'impuissance des politiques soumis aux décisions d'un groupe de puissants est manifeste. Le G8 et le FMI s'entendent pour gouverner le monde. En toute impunité, ils sont prêts à précariser toujours plus les plus faibles, à précipiter dans le chaos un pays pauvre pour assoir le pouvoir de la richesse. "Si l'on est prêt à payer une somme démesurée pour acheter un tableau de maître non répertorié, a-t-on encore une idée de ce que représente l'argent ? A-t-elle encore une valeur représentable ou bien a-t-on quitté la logique ordinaire de ce monde ? Telle est l'une des interrogations que le directeur du FMI va livrer au prêtre dans sa confession. L'homme d'église est insaisissable, il a renoncé à toute possession, il incarne l'humanité. Il a justement été invité par le directeur du FMI, comme s'il s'agissait d'introduire un élément étranger, qui vienne menacer de gripper le système. La construction de ce récit me semble solide et son déroulement décapant. La logique du secret voit s'affronter deux courants : l'un au service du pouvoir, l'autre protégeant l'intime. "Les confessions" est un film captivant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 330 abonnés 3 328 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 janvier 2017
    Les ministres de l’Économie du G8 se réunissent en Allemagne pour y adopter un plan secret. Trois personnalités extérieures ont été également conviées : une auteure à succès, un une rock star… et un prêtre.

    « Les Confessions » est un film cosmopolite qui, par le fait même de son sujet, réunit un casting hétéroclite d’acteurs de toutes les origines qui singent les traits de caractère censés être associés à leur pays : quelques Italiens (Tonio Servillio dans le rôle d’un prêtre bien bavard pour être tenu par le voeu de silence, Pierfrancesco Favino dans celui du ministre italien de l’Économie ), quelques Français (Daniel Auteuil dans le rôle du directeur du FMI, Stéphane Freiss dans celui du ministre français), quelques Allemands (Moritz Bleibtreu dans le rôle du chef de la sécurité, Richard Sammel dans celui du ministre allemand), une Canadienne (Marie-Josée Croze trop émotive pour interpréter une ministre crédible)…

    Le ton pourrait être burlesque comme la comédie italienne et le cinéma de Roberto Andò nous y ont habitués. Le réalisateur avait signé début 2014 « Viva la Libertà », une comédie racontant le remplacement d’un homme politique, frappé de burn out, par son frère jumeau.

    Il ne l’est pas. « Les Confessions » est une tragédie qui pèse des tonnes. Un film policier qui n’en est pas un. Car il y a bien un mort et une énigme. Mais Roberto Andò s’en désintéresse bien vite.

    Son seul souci est de dénoncer l’égoïsme et la duplicité des puissants qui, coupés du reste du monde, prennent des décisions sans légitimité démocratique. Il oublie en chemin l’histoire qu’il raconte, laissant les questions que pose l’intrigue sans réponse.

    Pour le dire brutalement : je n’y ai pas compris grand-chose…. mais ne suis pas certain qu’il y avait grand-chose à comprendre.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    53 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2018
    le film commence bien et au fur et à mesure, ça devient de plus en plus bavard, de plus en plus didactique et de plus en plus lent. Le suspense est éventé et ça se termine par une nouvelle version peu crédible de la théorie du complot. Le sympathique côté subversif est un peu gommé par les maladresses et les discours moralistes du moine. Dommage.
    Anne M.
    Anne M.

    64 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2017
    D’emblée, une très beau casting, et une mention pour l’excellent Toni Servillo.

    L’action se déroule essentiellement dans un hôtel de luxe au bord de la mer Baltique. La réalisation est discrète et classique, centrée sur le luxe de l’hôtel et les manigances et discussions des différents personnages.

    Au cours d’un sommet du G8, des ministres des finances se réunissent autour du directeur du FMI, pour décider d’un accord qui mettra une partie du monde en péril. Les économistes sont entourés de gardes et de certains invités particuliers (une auteure pour enfants, un moine italien).

    Après s’être confessé, le directeur du FMI est retrouvé mort.

    Scellée par des secrets, l’histoire bénéficie de très bons dialogues, parfois abstraits et sibyllins, mais souvent riches de signification. Toni Servillo, d’abord peu loquace, du fait de ses voeux de silence, va peu à peu prendre la parole.

    La place du religieux est je trouve remarquable, quasi révolutionnaire par rapport à l’ordre établi et c’est là que réside tout l’intérêt du film, à mes yeux. J’ai adoré les 10 dernières minutes.

    Pour davantage d'articles, mon blog : larroseurarrose.com
    cylon86
    cylon86

    2 302 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2017
    Dans un grand hôtel en bord de mer se déroule une réunion au sommet du G8. L’objectif de cette réunion ? Apporter une solution à la crise économique d’une façon plutôt radicale. Cette solution, on ne la saura jamais, détenue par les personnages. Car Roberto Andó laisse planer le mystère sur tout son film. En effet, invité à ce sommet se trouve Salus, un moine chartreux, surpris d’être là. Mais sa présence n’est pas un hasard, le français Pascal Roché, directeur du FMI l’a invité afin de pouvoir se confesser. Et le lendemain de sa confession, Roché est retrouvé mort dans ce qui est vraisemblablement (mais pas forcément) un suicide. Cette mort vient troubler les plans de certains dirigeants alors que d’autres semblent afficher des remords à appliquer leur plan économique. Leur foi en cette solution semble vaciller à la présence de Salus qui ne dit pas grand chose mais n’en pense pas moins...

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    ffred
    ffred

    1 541 abonnés 3 982 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2017
    Séance de rattrapage pour ce film sorti en début d’année. Voilà un thriller politique extrêmement bien ficelé. Un scénario minutieux (où se côtoient, entre autres, pouvoir, politique, secrets, philosophie et religion), savant mélange d’Agatha Christie, d’Hitchcock et de House of cards, pour une mise en scène froide, mais solide et élégante. Le rythme est lent, l’ambiance lourde, c’est intriguant d’entrée et mystérieux jusqu’au bout. L’étincelante distribution internationale joue aussi pour beaucoup dans la réussite de ces Confessions. Toni Servillo est comme toujours impérial. Il est bien entouré par les français Daniel Auteuil, Stéphane Freiss, Marie-Josée Croze et Lambert Wilson, son compatriote Pierfrancesco Favino, la danoise Connie Nielsen, l’allemand Moritz Bleibtreu ou encore le belge Johan Heldenbergh. Un film étrange, plastiquement très beau, qui fait réfléchir sur le monde d’aujourd’hui et son avenir plutôt morose. Une belle surprise.
    velocio
    velocio

    1 204 abonnés 3 049 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2017
    Après s’être intéressé à la politique italienne dans "Viva la liberta", son 5ème long métrage de fiction, Roberto Ando monte cette fois ci un cran plus haut, au niveau de la politique planétaire : dans "Les confessions", il nous invite en Allemagne, à une réunion très particulière où l’on retrouve des dirigeants du G8, le directeur du FMI et trois personnalités dont le champ d’action se situe en dehors de la politique. Comme "Viva la liberta", "Les confessions est un film politique" qui se situe à mi-chemin entre le réalisme et une approche symbolique. Aux représentants des puissants de ce monde, il oppose la morale d’un modeste moine adepte du silence sans pour autant faire de la religion le remède absolu contre les injustices de notre époque. Quand bien même l’approche scénaristique de Roberto Ando et Angelo Pasquini peut parfois dérouter, la mise en scène, le montage et le jeu des comédiens permettent au film de retenir sans aucun problème l’attention des spectateurs.
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 février 2017
    A mon humble avis ce film n'a pas bénéficié de la promotion qu'il aurait mérité.
    Le sujet est original, le casting prestigieux, la mise en scène impeccable, pas un instant de ce film où l'on s'ennuie, le moine interprété par Toni Servillo est plus vrai que nature. Nous sommes aux antipodes de la bluette sans intérêt de LA LA LAND qui a elle été porté par une critique dithyrambique. A ne pas rater
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2017
    Quelques invraisemblances et la fin est quelque peu mystique. Ce film sous une trame d'intrigue policière est un pamphlet sur le contrôle du monde par les financiers aux detriments des politiques au service des démocraties. Ce film dénonce le pouvoir exacerbé de l'argent qui au lieu d'être au service de l'enrichissement des nations et au service d'un petit nombres qui répond à des objectifs obscurs. Cela pose la question de la conscience et du fait d'assumer la production exacerbée de pauvreté au nom de l'enrichissement de nantis qui de plus en plus riches perdent la notion même de valeur de l'argent et des choses. Le fait religieux dans ce film tente de nous rattacher à l'essentiel de la vie et à la notion de partage. Le film est sans aucun doute orienté mais à le mérite d'amener à se poser des questions.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    Dans Les confessions, Roberto Andò réunit en conclave un large casting international pour figurer un G8 peut-être pas aussi fictionnel qu’espéré. En faisant d’un moine Chartreux, incarné par Toni Servillo, le principal suspect d’un possible meurtre du directeur du FMI, le cinéaste italien et son coscénariste Angelo Pasquini entretiennent soigneusement le mystère d’une étrange affaire. Entre symbolisme et vérisme, ce faux thriller politico-économique en quasi huis clos déroule un scénario dont la rigueur et la précision rivalisent avec celles de la mise en scène. Plus de détails sur notre blog ciné :
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2017
    Voilà un excellent film qui met, encore une fois, face à face le Pouvoir de l'Argent et celui de l'Esprit.

    On y traite donc du libre arbitre et finalement cette quête que chacun doit - devrait plus ou moins envisager dans ce court passage sur Terre.

    Le pouvoir absolu (le Seul évidemment) de l'ARGENT ou bien tendre vers plus de réflexion - de philosophie - d'empathie et peut-être de Cœur . . .

    Étrange thriller de Roberto Ando dont le scénario est aujourd'hui d'une importance cruciale pour NOUS - nos Dirigeants - nos Politiques & évidemment les grands patrons qui ne cessent de tirer toutes les ficelles.
    Face à ces derniers, est-ce qu'un moine en bure blanche arrivera à rappeler à ces membres du FMI, ce que veux vraiment dire Bon Sens - l'Équité ?

    Distribution & Acteurs nickels sur une réalisation stylée voire classieuse.

    Tony Sévillo encore Superbe 😉
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 octobre 2017
    Le film Les confessions me faisait espérer un bon petit thriller plutôt sympa mais au final, le thriller se perd un peu trop rapidement dans les méandres du scénario pour finalement ne laisser place qu’à la critique du monde politique actuel. Le film se perd et il finit par perdre le spectateur qui se retrouve avec plus de questions que de réponses.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    179 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Ca commence vraiment de façon très mystérieuse. Les comédiens sont excellents. Ce suspense en huis clos aurait pu donner un excellent film. Malheureusement, au fur et à mesure, ça devient de plus en plus bavard, de plus en plus didactique et de plus en plus lent. Le suspense est éventé et ça se termine par une nouvelle version peu crédible de la théorie du complot. Le sympathique côté subversif est un peu gommé par les maladresses et les discours moralistes du moine. Dommage.
    jeff21
    jeff21

    56 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2017
    Film intellectuel cherchant à disséquer les règles du secret de la confession , dans un hôtel, véritable huis clos où évoluent des membres du système économique mondial dont le directeur est retrouvé mort après s'être confessé. Un peu lourd et long tout de même malgré un casting impressionnant.
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