Avis : Kingsman : Le Cercle d'or - Page 2

Pour une suite, on pouvait s'attendre comme bien souvent dans les suites, à une déception (sans doute du à des attentes plus élevées que pour le 1er opus qui était totalement nouveau pour le public). Et bien pour le coup, ce second opus vaut le détour et devrait plaire à tous ceux qui ont apprécié le 1er. Il se veut un peu plus loufoque que dans le 1er (qui en donné quand même pas mal sur le coté décalé) mais cela permets tout en ayant un film au scénario généralement plus sérieux de débrancher notre cerveau à l'entrée de la salle et de le voir en pur divertissement. Après on ne pas nier que coté scénario, cela peut faire penser à certains autres films. Mais le ton donné dés le départ le différencie de ce que l'on a pu voir dans le genre de film nous proposant des histoires plus ou moins avec le même point de départ. Sans vouloir spoiler on retiendra surtout la scène dans l'église qui est majestueuse! Et puis bien évidemment les punch lines qui sont du pur diamant brut! On ne s'ennuis pas du début à la fin et on ressort l'esprit vidé, et avec un certains plaisir coupable^^.

Après le superbe et inattendu « Kingsman : Services Secrets » sorti il y a deux ans, voici enfin sa suite, tout autant géniale mais un poil moins bien que son prédécesseur : c'est normal, l'effet de surprise est à présent dissipé. On retrouve donc nos agents préférés menés par Eggsy, face à une nouvelle organisation criminelle dirigée par Poppy alias Julianne Moore. J'avais un peu peur qu'elle ne fasse pas le poids dans ce rôle de « méchante », finalement c'est tout l'inverse : névrosée sur les bords, bloquée dans les années 50, d'allure souriante mais réellement sadique. Les « Statesman » font leur entrée dans ce nouvel opus, cousins des Kingsman en Amérique. Leur alliance fonctionne assez bien et celui qui se démarque le plus, c'est « Whisky » interprété par Pedro Pascal. Avec son arme fétiche de lasso, il nous fait vivre de belles scènes d'actions comme on les aime.
Le rythme est efficace, on reprend les ingrédients du premier pour les transposer dans une nouvelle histoire, tout en ayant une continuité évidente entre les deux films. Les scènes d'actions sont toujours aussi fun, introduisant de nouveaux gadget à gogo qui nous émerveillent. Certains diront que c'est assez copié du premier, mais si l'univers du premier nous a autant plu, il me paraît évident de le garder pour sa suite. N'oublions pas la fameuse touche d'humour, toujours aussi « british », ainsi que le retour très attendu du grand « Harry », une réinsertion amenée avec efficacité.
Matthew Vaughn a vraiment bien fait de réaliser lui-même ce deuxième Kingsman, nous apportant ce que l'on attendait : du fun, de l'action, du déjanté, du suspens, de l'émotion bref, une suite honorable que l'on regarde avec un sourire béat.

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Le premier "Kingsman" m'avait vraiment agréablement surpris mais ce deuxième volet ne m'a en revanche pas du tout convaincu. Si le précédent "Kingsman" était une parodie assumée et décomplexée des films d'espionnage et d'action, le second laisse tomber ce parti-pris pour proposer "un vrai film d'action". Le film tente de rester aussi fun et drôle que le précédent mais tout essayant de proposer un véritable film d'action.
Kingsman passe de ce fait d'une comédie fun et originale à un film d'action lambda et convenu. Le scénario est prévisible et bourré d'incohérences et de facilité. Le premier avait l'excuse d'être une parodie mais ce n'est même plus le cas ici. Le retour de Colin Farell annoncé dès la première bande annonce, les motivations de l'agent Whisky et de la méchante Poppy Adams sont autant d'éléments totalement ridicules qui font sortir du film. Je ne suis pas du genre à m'attarder sur les incohérences d'un film mais il n'y a un minimum à respecter !
De plus le film aurait du s'abstenir d’essayer de traiter avec sérieux le sujet de la drogue et le tacle sur Trump était gratuit et sans intérêt. Même le traitement réservé aux personnages est décevant. Beaucoup des nouveaux personnages sont sous exploités et font surtout de la figuration tandis que les anciens personnages connaissent des évolutions inintéressantes (l'histoire d'amour d'Eggsy était très évitable).
Même au niveau de la mise en scène, Matthew Vaughn est très loin de ce qu'il avait proposé sur le premier "Kingsman". On se rappelle tous de la scène de la fantastique l'église mais je n'ai pas retrouvé ce genre de fulgurance. Le film a même perdu son côté esthétique de bande dessinée en adoptant un visuel beaucoup plus lisse et moins sanglant que le premier. En outre, le défaut principal du film est sa durée, je l'ai trouvé vraiment beaucoup trop long pour ce qu'il raconte.
Je ne m'attendais vraiment pas à être aussi déçu par le film, d'autant plus que j'ai pu constater que les retours étaient globalement positifs. Personnellement, j'ai perçu "Kingsman : le cercle d'or" comme un raté, un film lourd, pas subtil et pas très divertissant. Là ou le précédent film jouait avec les clichés, celui ci en est victime et peine à renouveler ces propres codes. Ce film n'est pas une purge, il y a quelques scènes bien foutues et certaines blagues marchent bien mais c'est pour moi trop peu sur 2H20 surtout comparé au premier "Kingsman".

Il y a deux ans j'avais adoré le premier Kingsman.
Cette suite s'avère excellente et aussi bonne.
Tous les ingrédients sont là avec de nouvelles personnes et de nouvelles situations.
Voici à excellent divertissement haut de gamme, rondement bien mené, brillant et très sympa.

"À l'image du premier épisode qui avait été une énorme claque, Kingsman : Le Cercle d'or est un excellent film. Le seul défaut que je lui ai trouvé, c'est la présence de quelques facilités scénaristiques... À part ça, l'intrigue est réellement captivante, il y a de bons rebondissements, un bon développement de l'univers, un très bon casting, de bons décors (je suis vraiment fan du repaire de la méchante), de bonnes scènes d'action et de bons effets spéciaux. Enfin, le long-métrage est très bien rythmé et les personnages principaux sont très bien développés. Une vraie réussite."

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Encore plus frimeurs et moins d'humour, 2h20 de supplice. J'ai failli partir à l'entracte, le problème je n'était pas seul et partir en milieu de séance quand on accompagne une personne à mobilité réduite ce n'est pas possible. Ceux qui ont aimé le premier vont êtres déçus du deuxième. Un cher spoiler: navet
qui va plaire aux spoiler: cerveaux limités
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Agréable, toujours aussi loufoque et déjanté. Un film d'action et d'espionnage où on ne s'ennuie pas malgré un air de déjà vu et un petit goût de réchauffé.

2 ans après la sortie du premier opus, les Kingsman reviennent plus en forme que jamais. Toujours derrière la caméra, Matthew Vaughn nous livre à nouveau un film grand spectacle, divertissant et jouissif à souhait mais la magie en moins. En effet, Kingsman : Le Cercle d'or souffre du syndrome "Gardiens de la Galaxie 2" c'est à dire un film fort sympathique mais qui ne nous surprend aucunement car tout a été déjà vu dans le premier film. Après attention, la formule marche toujours aussi bien et c'est divertissant à souhait. La mise en scène est toujours aussi rythmée, les scènes d'action toujours aussi jouissives et la b.o marche super bien. J'ai adoré la prestation d'Elton John qui fait preuve de beaucoup d’autodérision et le combat final est assez magistral. Après, on regrettera une méchante moins charismatique que dans le premier film et il manque clairement une scène aussi épique, jouissive et anthologique que celle de l'église. Hormis ça, le film reste un divertissement de grande qualité et une suite fort appréciable. Si vous avez aimé le 1, vous aimerez forcément ce deuxième opus. J'espère qu'un troisième opus film verra le jour.

Un excellent film d'espionnage. Un humour corusif.De très bonnes scènes d'action. Un bon caméo de sir Elton John.

Un film d’espionnage fun et déjanté, avec des scènes de combat bien filmées ! Le genre de film qui ne se prend jamais au sérieux, qui offre de nombreuses scènes qui penchent entre l’action et le burlesque. Julianne Moore est excellente dans le rôle de la méchante, et Elton John nous offres des scènes hilarantes. J’ai passé un très bon moment !

Trois ans après le génial premier opus, revoici Eggsy l'agent britannique le plus cool du cinéma pour une seconde aventure toujours réalisée par Matthew Vaughn. Disons-le d'entrée, cette suite est moins réussie que l'originale, l'effet de surprise étant passé et le reste n'étant qu'une vaste resucée, autant au niveau des séquences d'action que du scénario où un(e) mégalomane veut dominer le monde grâce à un gadget high-tech, ici un antidote à des drogues dures que la moitié de la planète a consommé. Assumant pleinement son côté bordélique et surréaliste (car tiré d'un comics, rappelons-le), cette séquelle n'a hélas plus rien d'irrévérencieux. Là où Eggsy emmerdait son monde dans le premier film, il est ici très assagi et fidèle à sa copine, la princesse suédoise qui aimait se faire sodomiser étant elle aussi ici très prude. Même chose pour le ton du film : très gore et explosif, il n'en demeure pas moins semblable à un pétard mouillé qui reprend tous les ingrédients ou presque du précédent et les sert en pâture au spectateur. Pourtant, on reste ravi de voir un spectacle aussi décomplexé où l'on peut se bastonner sans casser ses lunettes ni avoir un grain de poussière sur le costard, où ressusciter les morts devient chose aisée et où Elton John est un karatéka aguerri. Toujours aussi fun, débile et sans concession, l'exemple typique de la suite efficace qui reste dans les clous.

Matthew VAUGHN est au commande de ce deuxième volet de la saga "Kingsman" et c'est une réussite. On y retrouve un trio de choc composé de Galahad, Eggsy et Merlin, à savoir Colin FIRTH toujours aussi impeccable dans son rôle. Taron EGERTON en pilier du film et enfin Mark STRONG qui brille aussi dans cette suite. Mais la véritable nouveauté du film est bien la rencontre avec l'alter ego américain de Kingsman ; Statesman. Dirigée par Jeff BRIGDES et épaulé de Channing TATUM, Pedro PASCAL et Halle BERRY. Autre nouveauté au casting pour porter le rôle de l'antagoniste, Julianne MOORE. L'actrice brille en méchante mégalo dans ce rôle taillé pour elle. Encore meilleur que le précédent, "Kingsman : Le Cercle d'or" est un bijou en terme de réalisation. Ses scènes d'introduction et de conclusion sont hallucinantes avec des plans-séquences maîtrisés à la perfection, accompagnés d'un cadrage et de mouvements de caméra à s'y perdre. En bref, c'est une véritable réussite.

Après l'excellent Kingsman, c'est avec une joie non dissimulée que j'appris que M.Vaughn rempilait pour une suite. Contrairement à Kick Ass 2, ce second opus serait donc piloté par ce réalisateur et c'était un gage de qualité en soi. Le retour de Strong et même de Firth étaient des raisons supplémentaires de se réjouir. L'annonce de J.Moore était aussi une nouvelle motivante. Parlons du film en lui-même maintenant. Encore plus barré que le premier, et avec encore moins de scénario, ce second opus est une suite réussie sans aucun doute. Les 2h30 de film passe sans sourciller Malgré l'action sur-présente, on en s'ennuie pas. L'humour est une partie intégrante du processus et tient bien le film. Entre les scènes d'Elton Jonh et le Président des USA (brillamment incarné par Bruce Greenwood) , on a quand même droit à quelques bon moments. Le scénario, bien qu'assez vide, ne fait pas tâche.

L'humour et l'action, rythmé avec une bande sonore qui fait mouche, se marient bien et nous livre un film, visuellement impeccable et prenante. Le casting est investi et ça se sent. On voit surtout un réalisateur qui s'amuse comme un petit fou. Mine de rien, ça nous donne envie de nous amuser aussi. Je serais tenté de dire que le premier opus est meilleur, mais les deux films se valent. La grosse différence tient que je préfère le méchant du 1er (pas au niveau de son plan diabolique, hein mais pour le personnage en lui-même). De plus, le 2 ne nous offre pas une scène aussi mémorable que le premier dans l'Eglise (un pur moment de jouissance). Le personnage que je retiendrai le plus de ce deuxième film est tout de même le Président ricain, juste parfait. La capacité de Vaughn à sacrifier ses personnages est aussi à noter comme quelque chose de positif bien frustrant. Néanmoins, le fait que les deux films soient aussi bien liés est rassurant.

Rassurant, notamment si on espère une trilogie pour Kinsgman, que l'on aimera, non pour la profondeur du scénario mais pour les moments et répliques plus cultes les uns que les autres.

Autant le premier volet m'avait séduite...autant le deuxième atteint les sommets du ridicule.Des scènes invraisemblables, bruyantes, et "grossières".Des personnages pathétiques qui ne sauveront ni le monde ni ce film! 2h20 de perdu.

Toujours aussi frénétique et débridé, ce KINGSMAN continue dans la lancée de son premier épisode. Matthew Vaughn dévergonde le genre du film d'espionnage et le pervertit ingénieusement. Il s'agit d'avoir la classe comme James Bond et d'en mettre plein la face à ceux qui ne veulent pas s'adapter au monde moderne, pop et méchamment dingue ! Et le jeune britannique Taron Egerton / Eggsy est sans hésitation la parfaite combinaison de (disons) Roger Moore et Eminem. Le retour de Colin Firth est jubilatoire. Julianne Moore s'éclate autant que Samuel L.Jackson dans la peau de son rôle de méchante bien frappée ... et il est difficile de prévoir avec exactitude qu'elle sera l'issue finale de toutes ces aventures qui nous emmènent aux quatre coins du monde, avec tant de pertes et fracas. On regrette cependant ne pas en voir davantage ni en apprendre un peu plus sur les Statesman.