Les mille et une nuits - Le Désolé : Critique presse
Les mille et une nuits - Le Désolé
Note moyenne
4,3
16 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Première
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
par Arnaud Hée
Gomes bouscule dans les grandes largeurs les habitudes de spectateurs (dont ceux qui ont pu aimer "Tabou"), les déplaçant sans cesse à travers des formes et des registres, entre les volumes et à l’intérieur d’eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par William Lurson
"Le Désolé" culmine dans ce qui est peut-être l'un des plus beaux épisodes du projet : celui de l'immeuble de Santa Antonio dos Cavaleiros, de ses habitants, et de son bon génie, le chien Dixie... (...) Se trouve résumée là presque toute l'essence du projet des "Mille et une nuits", un récit qui ouvre sur tous, qui les englobe tous, réalité documentaire et fables, indémêlées.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Avec ce deuxième volume à la fois hétérogène et compact, sombreusement pessimiste et radieusement humain, Gomes plonge au coeur de la dimension cauchemardesque de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans cette cité austère, l'insolite, le mystère, la poésie, le romanesque s'insinuent : ses occupants sont dignes d'être les personnages d'un film, les héros de dix ou cent fictions.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Gomes s’empare d’une mythologie pour en créer une nouvelle, furieusement contemporaine, prouvant encore une fois quel grand cinéaste il est devenu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Suite baroque du récit baroquissime de Miguel Gomes.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Humour, émotion, trouvailles poétiques, miracles cinématographiques : le bonheur, ici, est dans la déroute d’un monde illisible et détraqué, devenu injuste mais pas infécond ni forcément hostile.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Une juste distribution, voilà peut-être le mot d’ordre, comme la seule et unique logique de ces "Mille et Une Nuits" : appliquer à l’échelle de ses personnages ce beau principe démocratique, qui semble faire défaut partout ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Foutraque, inégal et éminemment stimulant, ce premier volume annonce une trilogie pleine de souffle, en réponse à une économie exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Eric Vernay
Boulimie narrative, toujours, cette fois en trois temps, (...) le tout clos en beauté par les aboiements de Dixie. Vecteur d’amour dans une tour de banlieue, l’animal permet à Gomes d’appliquer son goût du merveilleux et du baroque à la morose matière documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
A l'anémie de la crise, Les Mille et Une Nuits oppose un animisme malicieux et bienfaisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
(...)moins fantaisiste que le premier, mais pas moins intéressant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Le Désolé" fait montre des mêmes qualités que "l'Inquiet", et de quelques faiblesses (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
C'est parfois déroutant, de temps à autre un brin ennuyeux. Mais l'audace finit par triompher. Du moins dans les deux premiers volets, les meilleurs de cette trilogie.
Cahiers du Cinéma
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
Gomes bouscule dans les grandes largeurs les habitudes de spectateurs (dont ceux qui ont pu aimer "Tabou"), les déplaçant sans cesse à travers des formes et des registres, entre les volumes et à l’intérieur d’eux-mêmes.
Culturopoing.com
"Le Désolé" culmine dans ce qui est peut-être l'un des plus beaux épisodes du projet : celui de l'immeuble de Santa Antonio dos Cavaleiros, de ses habitants, et de son bon génie, le chien Dixie... (...) Se trouve résumée là presque toute l'essence du projet des "Mille et une nuits", un récit qui ouvre sur tous, qui les englobe tous, réalité documentaire et fables, indémêlées.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce deuxième volume à la fois hétérogène et compact, sombreusement pessimiste et radieusement humain, Gomes plonge au coeur de la dimension cauchemardesque de son sujet.
Les Inrockuptibles
Dans cette cité austère, l'insolite, le mystère, la poésie, le romanesque s'insinuent : ses occupants sont dignes d'être les personnages d'un film, les héros de dix ou cent fictions.
Positif
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
aVoir-aLire.com
Gomes s’empare d’une mythologie pour en créer une nouvelle, furieusement contemporaine, prouvant encore une fois quel grand cinéaste il est devenu.
Le Dauphiné Libéré
Suite baroque du récit baroquissime de Miguel Gomes.
Le Journal du Dimanche
Humour, émotion, trouvailles poétiques, miracles cinématographiques : le bonheur, ici, est dans la déroute d’un monde illisible et détraqué, devenu injuste mais pas infécond ni forcément hostile.
Le Monde
Une juste distribution, voilà peut-être le mot d’ordre, comme la seule et unique logique de ces "Mille et Une Nuits" : appliquer à l’échelle de ses personnages ce beau principe démocratique, qui semble faire défaut partout ailleurs.
Les Fiches du Cinéma
Foutraque, inégal et éminemment stimulant, ce premier volume annonce une trilogie pleine de souffle, en réponse à une économie exsangue.
Première
Boulimie narrative, toujours, cette fois en trois temps, (...) le tout clos en beauté par les aboiements de Dixie. Vecteur d’amour dans une tour de banlieue, l’animal permet à Gomes d’appliquer son goût du merveilleux et du baroque à la morose matière documentaire.
Télérama
A l'anémie de la crise, Les Mille et Une Nuits oppose un animisme malicieux et bienfaisant.
aVoir-aLire.com
(...)moins fantaisiste que le premier, mais pas moins intéressant.
L'Obs
"Le Désolé" fait montre des mêmes qualités que "l'Inquiet", et de quelques faiblesses (...).
Studio Ciné Live
C'est parfois déroutant, de temps à autre un brin ennuyeux. Mais l'audace finit par triompher. Du moins dans les deux premiers volets, les meilleurs de cette trilogie.