Note moyenne
3,5
19 titres de presse
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La Voix du Nord
Cette tragédie intime est filmée sans complaisance sentimentale par une actrice réalisatrice témoignant, par ses choix de mise en scène, d’une forte personnalité. Elle est épaulée à la caméra par le documentariste Wolfgang Thaler, ici convié à exprimer son sens aigu de la scénographie et à rester calé dans les rails du classicisme.
Bande à part
Un récit qui fait se conjuguer subtilement la biographie et le chaos du XXème siècle.
Femme Actuelle
A travers six épisodes évoquant ses discussions avec des proches, ce film passionnant et très documenté nous éclaire sur les dernières années de Zweig jusqu'à son suicide en 1942.
La Croix
La sensualité d’une image apte à faire ressentir la chaleur et la moiteur tropicales renforce l’impression d’accomplir ces derniers voyages avec Stefan Zweig, le découpage en scènes sans lien contribuant à la sensation d’étrangeté et d’errance.
Le Figaro
Le film évoque avec talent l'écrivain en exil.
Le Point
Fuir la guerre ne l'aura pas épargné : Stefan Zweig se suicide en 1942. Maria Schrader retrace ses années d'exil dans un film empreint d'authenticité.
Les Fiches du Cinéma
Une chronique biographique remarquablement construite, d'une profondeur historique et d'une sensibilité artistique exemplaires.
Libération
Sérieuse et documentée, l’évocation réfute tout artifice romanesque.
Ouest France
Un biopic passionnant.
Paris Match
Poignant.
Positif
Nous recommandons ce film intense et classique, résonnant d'actualité.
Télérama
Avec l'appui décisif d'un acteur étonnant, Josef Hader, le film décrit un sentiment subtil : le détachement. Une note mélancolique que reprend chaque séquence, dans une cohérence stylistique parfois monotone. Mais cette insistance permet de montrer comment ce détachement se charge, peu à peu, d'une force délétère, tragique.
Franceinfo Culture
La caméra ne lâche jamais son sujet, interprété tout en retenue par l’acteur autrichien Joseph Hader. Le charme des décors, des costumes et de l’époque habilement reconstituée se double d’un véritable sens de la composition de l’image.
L'Express
Les bavardages dans lesquels s'égare parfois cette confusion des sentiments sont compensés par la sobriété d'une mise en scène aux plans composés avec soin.
L'Obs
Le film est un peu long, et adopte un regard quasi documentaire : pourquoi cet homme de talent a-t-il décidé d'en finir ? On sort de là avec la conviction qu'il faut relire Zweig, plus que jamais.
Première
La réalisatrice explore le rôle des intellectuels dans la vie politique et questionne la légitimité de leur engagement, sujet passionnant et intemporel qu'elle semble avoir eu peur de tenir jusqu'au bout : (...) les digressions sur la vie amoureuse de l'auteur sont un peu moins captivantes.
Studio Ciné Live
Le film se perd parfois en bavardages, toutes les parties ne se valent pas, mais certains plans, longs et très composés (...) marquent durablement.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic qui choisit de développer la question de la responsabilité de l’intellectuel : idée intéressante mais qui reste traitée de façon un peu superficiellement romanesque.
Le Monde
Ce sont ses dernières années que relate ce film guindé, qui ne parvient pas à en faire un personnage et ne nous apprend rien que nous ne sachions.