Note moyenne
3,5
28 titres de presse
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Bande à part
Joachim Lafosse filme, avec délicatesse et pragmatisme, la rupture amoureuse et l’éclatement d’une cellule familiale dans L’Économie du couple, découvert lors de la dernière Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. Vif et saisissant.
Positif
Le couple et ses déchirures : le sujet n'a évidemment rien de nouveau, mais Joachim Lafosse, en évitant à chaque instant les clichés et le psychologisme, le réinvente sous nos yeux. Et signe un grand film intime qui, au détour de chaque plan, vibre d'une intensité exceptionnelle
20 Minutes
Cette chronique marque profondément par sa justesse.
Elle
Fiction réalisée avec une maestria d'ethnologue, le film du cinéaste belge décrit un phénomène en développement dans nos sociétés occidentales fragilisées par la crise (...).
Femme Actuelle
Joachim Lalosse filme avec beaucoup de justesse et d'élégance les derniers soubresauts d'une séparation programmée sublimée par deux comédiens magnifiques.
L'Express
C'est souvent brillant, notamment grâce aux deux interprètes (...).
L'Humanité
Subtil et remarquablement interprété par Bérénice Béjo et Cédric Kahn.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui, tout en mettant à nu le mystérieux ferment de dissolution qui transforme des êtres qui se sont aimés en ennemis irréconciliables, ajoute l’aspect économique, moins souvent montré mais non le moins violent, de la séparation.
Le Figaro
Joachim Lafosse filme la fin d'un amour avec lucidité et beaucoup de précision.
Le Journal du Dimanche
Tout en retenue, Bérénice Bejo, forte et fragile, et Cédric Kahn, viril et immature, sont d'une justesse saisissante.
Le Parisien
Bérénice Bejo et Cédric Kahn ne s'économisent pas dans cette « Economie du couple ». Le film possède cette force déchirante des combats qui s'abîment dans leurs derniers feux. Il laissera sa marque.
Le Point
La caméra, presque infiltrée, s'immisce au plus près des personnages, de leurs angoisses et des si rares moments de trêve. Juste et poignant.
Ouest France
Bérénice Béjo et Cédric Kahn livrent une impressionnante performance, d'une sensibilité rare.
Première
(...) les deux acteurs sont formidables de justesse et le climax déchirant au son de "Bella" de Maître Gilms laisse sur le carreau.
Studio Ciné Live
(Une) interprétation éblouissante de retenue des deux acteurs principaux.
Télérama
Constamment fluide, aérienne, la mise en scène se fige brutalement lors des moments où le réalisateur semble compter, un à un, les coups qu'échangent ses personnages.
Voici
Après le décevant "Les Chevaliers blancs", le réalisateur retrouve sa veine intimiste et incisive de "A perdre la raison", sans mélo ni romantisme.
aVoir-aLire.com
Joachim Lafosse se lance dans une comédie plus comptable que romantique, animée avec virtuosité par une famille de comédiens épatants.
CinemaTeaser
Un huis-clos tenu de main de maître.
Franceinfo Culture
Le film brille par l'intelligence d’un scénario original. S’il s’agit d’un huis clos, Lafosse échappe au théâtre filmé grâce à une caméra sobrement mobile, des dialogues bien écrits et vivants, avec une interprétation de tous au diapason.
L'Obs
Cédric Kahn se montre très à son avantage, descendant et remontant en virtuose une gamme plus étendue que celle parcourue par un scénario médiocrement inventif, qui s'en remet presque exclusivement aux mots, pas assez au cinéma.
La Croix
Pourquoi s’imposer plus d’une heure et demie de conflit conjugal ? À quoi sert de voir cet épuisant bras de fer entre un mari et une femme ? C’est la vraie et seule limite de ce film. À chacun d’y répondre à sa guise, d’y puiser (ou non) une nourriture personnelle. Pour le reste, "L’Économie du couple" s’avère d’une justesse exemplaire.
Les Fiches du Cinéma
Aborder la séparation par le prisme de la lutte des classes, c'est l'angle astucieux que choisit Joachim Lafosse dans cette nouvelle étude de l'emprise ordinaire. Par trop de sentimentalisme, le film perd en puissance.
Les Inrockuptibles
Une guerre des sexes au tempo impeccable.
Le Monde
Si l’on sent bien que Joachim Lafosse focalise son propos sur la question de l’argent pour en faire le symptôme d’une cause moins aisément assignable, on ne peut s’empêcher de regretter que cette cause ne puisse autrement s’approcher que sous la forme d’un règlement comptable.
Libération
Avec sa proximité théâtrale pour seul dispositif de mise en scène, ce huis-clos étouffant confine le spectateur au plus près des querelles acrimonieuses (et interminables) de ses personnages, le condamnant à se repaître d’un voyeurisme conjugal un peu vain.
Cahiers du Cinéma
"L’Économie du couple" est une chronique incroyablement monotone et insincère, où l’enjeu ne dépasse guère celui de compter les points, et de renvoyer chacun à ses bassesses. Joli programme.
Critikat.com
Il faudra attendre la toute fin de "L’Économie du couple" pour entériner hélas la terrible dérive du cinéma de Lafosse et réaliser que son film ne consiste en fait qu’en une petite procédure administrative de plus.