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26 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Bref : filez voir "Un petit boulot" et son tueur à gags. C'est du très beau boulot.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La Rédaction
Perpétuellement sur le fil, le long-métrage réussit toujours à surprendre.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette farce noire, joyeusement immorale, oscille entre thriller et comédie sociale, avec des dialogues percutants.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
D’une main très sûre, Pascal Chaumeil (...) intègre le récit policier à un tableau social qui le nourrit et le met en lumière, et passe en un instant de l’effroi au rire, au point que les deux en viennent à se ressembler, à se confondre. Ils se cristallisent sur la personne du vieux copain de Jacques, joué à la perfection par Gustave Kervern.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
"Un petit boulot", c’est 50 nuances d’humour noir : entre réalisme et absurde, le résultat est un brin inégal. Mais on y croque de vraies tranches de rires grâce à un casting qui prend visiblement beaucoup de plaisir à « jouer les méchants ».
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sous sa casquette d’auteur-acteur, le Blanc 2016 se mitonne des dialogues aux petits oignons fleurant fort le confit d’Audiard et la compotée de Splendid. Une pincée de thriller, une louche de fable grinçante, une dose de cynisme. Sucré, salé, ébouillanté, servi glacé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
On retrouve la patte de Michel Blanc dans l'absurde feutré des situations et l'humour à froid des dialogues. Comme comédien, il est impeccable en mafieux décent de sous-préfecture. Son duo avec Duris est réussi.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce film posthume de Pascal Chaumeil est une comédie d’un joli noir, qui pousse gaiement dans leurs retranchements les insolubles contradictions nées de la disparition de l’industrie dans des régions entières du Vieux Monde.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une sorte de comédie noire portée par des dialogues savoureux et des comédiens impeccables.
Public
par Florence Roman
Après "L'Arnacoeur", le regretté Pascal Chaumeil récidive avec un scénario tout aussi original et la complicité de son acteur fétiche, Romain Duris, excellent en chômeur à la ramasse (...).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le talent de Michel Blanc, qui, en plus d'incarner l'un des personnages du film, en a écrit le scénario, est de naviguer à vue, allant de scène en scène avec un sens très aigu de l'ironie british à laquelle se mêlerait une sorte de bon sens à la française.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Humour noir, dialogues ciselés, rebondissements à gogo et cocasserie rythment cette comédie irrésistible et irrévérencieuse, menée tambour battant par le tandem Michel Blanc et Romain Duris.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Pas aussi enlevé que "L'Arnacoeur", mais très sympa.
Voici
par Lola Sciamma
Assez inégal dans son rythme et dans sa façon d'hésiter entre l'aspect social, la comédie et le suspense relatif, le film tire sa force de son atmosphère décalée d'humour noir, de quelques dialogues bien sentis, et de la galerie de personnages secondaires très réussis.
L'Express
par Christophe Carrière
Adapté d'un roman de Iain Levison, cette comédie noire reste globalement positive, malgré un dernier tiers décevant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Assez farcesque, cette adaptation d’un polar (de Iain Levison), situé aux États-Unis, a néanmoins le mérite d’avoir été habilement transposée dans la région des Chtis
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Louis Nadau
Le duo Michel Blanc/Romain Duris s’adonne à l’humour noir dans une satire sociale ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un savoureux mélange des genres, où la peinture sociale croise l’inspiration burlesque et l’humour à froid, le dernier film, un peu inabouti, de Pascal Chaumeil, décédé en cours de post-production.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Du rythme, de l’audace et des dialogues au cordeau: un cocktail revigorant et jouissif, entre Ken Loach et les frères Coen.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
L'ultime film du réalisateur de “L'Arnacœur” offre quelques vrais moments de comédie et un beau casting. Mais le scénario aurait mérité d'être plus étoffé et s'essouffle vite.
Positif
par Olivier de Bruyn
Même si cette comédie noire et amorale manque de rythme, elle a incontestablement le mérite d'imposer un "ton" atypique dans ce genre de productions hexagonales, trop souvent vouées aux facilités consensuelles.
Première
par Élodie Bardinet
Un petit boulot consciencieux, à défaut d'être totalement accompli.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un petit film sympa qui vaut surtout pour ses personnages, tous attachants.
Télérama
par Mathilde Blottière
Une ode potache à la solidarité face au capitalisme sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Sa complaisance dans un discours social flatteur bride fatalement Un petit boulot dans ses caractéristiques annoncées de "comédie noire" – soit les efficacités comique et corrosive, soigneusement mises en branle mais minées par ses arrière-pensées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une comédie macabre qui s'avance, non sans maladresse, sur les terres des frères Coen.
Le Parisien
Bref : filez voir "Un petit boulot" et son tueur à gags. C'est du très beau boulot.
CNews
Perpétuellement sur le fil, le long-métrage réussit toujours à surprendre.
Femme Actuelle
Cette farce noire, joyeusement immorale, oscille entre thriller et comédie sociale, avec des dialogues percutants.
L'Obs
D’une main très sûre, Pascal Chaumeil (...) intègre le récit policier à un tableau social qui le nourrit et le met en lumière, et passe en un instant de l’effroi au rire, au point que les deux en viennent à se ressembler, à se confondre. Ils se cristallisent sur la personne du vieux copain de Jacques, joué à la perfection par Gustave Kervern.
LCI
"Un petit boulot", c’est 50 nuances d’humour noir : entre réalisme et absurde, le résultat est un brin inégal. Mais on y croque de vraies tranches de rires grâce à un casting qui prend visiblement beaucoup de plaisir à « jouer les méchants ».
La Voix du Nord
Sous sa casquette d’auteur-acteur, le Blanc 2016 se mitonne des dialogues aux petits oignons fleurant fort le confit d’Audiard et la compotée de Splendid. Une pincée de thriller, une louche de fable grinçante, une dose de cynisme. Sucré, salé, ébouillanté, servi glacé.
Le Figaro
On retrouve la patte de Michel Blanc dans l'absurde feutré des situations et l'humour à froid des dialogues. Comme comédien, il est impeccable en mafieux décent de sous-préfecture. Son duo avec Duris est réussi.
Le Monde
Ce film posthume de Pascal Chaumeil est une comédie d’un joli noir, qui pousse gaiement dans leurs retranchements les insolubles contradictions nées de la disparition de l’industrie dans des régions entières du Vieux Monde.
Ouest France
Une sorte de comédie noire portée par des dialogues savoureux et des comédiens impeccables.
Public
Après "L'Arnacoeur", le regretté Pascal Chaumeil récidive avec un scénario tout aussi original et la complicité de son acteur fétiche, Romain Duris, excellent en chômeur à la ramasse (...).
Sud Ouest
Le talent de Michel Blanc, qui, en plus d'incarner l'un des personnages du film, en a écrit le scénario, est de naviguer à vue, allant de scène en scène avec un sens très aigu de l'ironie british à laquelle se mêlerait une sorte de bon sens à la française.
Télé 2 semaines
Humour noir, dialogues ciselés, rebondissements à gogo et cocasserie rythment cette comédie irrésistible et irrévérencieuse, menée tambour battant par le tandem Michel Blanc et Romain Duris.
Télé 7 Jours
Pas aussi enlevé que "L'Arnacoeur", mais très sympa.
Voici
Assez inégal dans son rythme et dans sa façon d'hésiter entre l'aspect social, la comédie et le suspense relatif, le film tire sa force de son atmosphère décalée d'humour noir, de quelques dialogues bien sentis, et de la galerie de personnages secondaires très réussis.
L'Express
Adapté d'un roman de Iain Levison, cette comédie noire reste globalement positive, malgré un dernier tiers décevant.
L'Humanité
Assez farcesque, cette adaptation d’un polar (de Iain Levison), situé aux États-Unis, a néanmoins le mérite d’avoir été habilement transposée dans la région des Chtis
La Croix
Le duo Michel Blanc/Romain Duris s’adonne à l’humour noir dans une satire sociale ambiguë.
Le Dauphiné Libéré
Dans un savoureux mélange des genres, où la peinture sociale croise l’inspiration burlesque et l’humour à froid, le dernier film, un peu inabouti, de Pascal Chaumeil, décédé en cours de post-production.
Le Journal du Dimanche
Du rythme, de l’audace et des dialogues au cordeau: un cocktail revigorant et jouissif, entre Ken Loach et les frères Coen.
Les Fiches du Cinéma
L'ultime film du réalisateur de “L'Arnacœur” offre quelques vrais moments de comédie et un beau casting. Mais le scénario aurait mérité d'être plus étoffé et s'essouffle vite.
Positif
Même si cette comédie noire et amorale manque de rythme, elle a incontestablement le mérite d'imposer un "ton" atypique dans ce genre de productions hexagonales, trop souvent vouées aux facilités consensuelles.
Première
Un petit boulot consciencieux, à défaut d'être totalement accompli.
Studio Ciné Live
Un petit film sympa qui vaut surtout pour ses personnages, tous attachants.
Télérama
Une ode potache à la solidarité face au capitalisme sauvage.
Critikat.com
Sa complaisance dans un discours social flatteur bride fatalement Un petit boulot dans ses caractéristiques annoncées de "comédie noire" – soit les efficacités comique et corrosive, soigneusement mises en branle mais minées par ses arrière-pensées.
Les Inrockuptibles
Une comédie macabre qui s'avance, non sans maladresse, sur les terres des frères Coen.