Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
La joie de "Que Viva Eisenstein" n’est mitigée par rien, et c’est ce qui la rend, dans un sens, militante, comme si Greenaway voulait dire, à la manière de Wilde, « le cinéma est trop important pour être pris au sérieux ».
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Que viva Eisenstein !" est un des plus beaux films jamais consacrés au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Marianne
par Danièle Heymann
Car le trouble délicieux que provoque le film éxubérant de Greenaway provient qu'il oscille en permanence, malgré ou à cause de ses extravagances, entre le documentaire, nourri d'images d'archives, et la fiction, résolument délirante.
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Cette audace, cette démesure, cette folie dont fait preuve Peter Greenaway dans "Que viva Eisenstein ! " en font une oeuvre profondément humaine, émouvante et... superbe !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un hommage passionné et délirant au grand cinéaste, par un cinéaste unique, qui fait là un retour remarqué.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec un petit budget et une poignée d’acteurs, le disciple d’Eisenstein réussit un essai saillant, stylé, fort de ses symétries vertigineuses, somptueux décors et folles tirades à la clé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TF1 News
par Romain Le Vern
Que Viva Eisenstein ! ressemble moins à un biopic sur Eisenstein qu'à un autoportrait assez touchant de Peter Greenaway, fasciné par les corps masculins, l'érudition romantique, les pulsions sexuelles comme mortifères. C'est aussi le film le plus incarné du réalisateur de The Baby of Mâcon.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Sidy Sakho
Le Finlandais Emer Bäck en impose. Massif, donnant du mouvement à des plans majoritairement larges ou moyens, composés comme des tableaux, il redonne, avec son excellent comparse Luis Alberti, une nouvelle vitalité au cinéma de Greenaway.
Télérama
par Pierre Murat
C'est cette outrance que saisit Peter Greenaway, dans le style abracadabrant qui est le sien : rythme frénétique, écrans divisés, logorrhée sonore et visuelle. Avec, par moments, des mouvements de caméra magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marie Gueden
Sorte d’anti-manuel eisensteinien et d’anti-making-of fictionnel de "Que Viva Mexico !" dont il n’est absolument pas question, Greenaway s’attache moins à l’antichambre de la création qu’à sa chambre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Eithne O'Neill
"Que viva Eisenstein !" transmet l'effervescence culturelle de l'entre-deux guerres, où le cinéaste russe est le porte-parole de la modernité. Nul doute, aussi, de son créateur.
Première
par Damien Leblanc
Toujours à la limite du grotesque, ce singulier objet filmique avance l’idée que l’expérience hédoniste et homosexuelle vécue par le réalisateur du "Cuirassé Potemkine" a chamboulé son style artistique. Du cinéma libre et entêté comme on n’en voit plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
On peut trouver cela fatigant mais c'est incontestablement brillant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Outre ces retours biographiques très appuyés, "Que viva Eisenstein !" évoque rapidement le tournage en cours pour se concentrer sur le lien qui unit le cinéaste russe à son guide mexicain, Palomino Canedo, professeur en histoire comparée des religions auprès de qui il découvre l'amour et la sexualité - ce qui vaut une longue scène très explicite qui pourra légitimement heurter.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Les Greenaway se suivent et se ressemblent - hélas ! - de plus en plus. La victime de son nombrilisme esthético-sexuel complaisant est cette fois Eisenstein...
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On pourrait considérer ce travail de démolition de Greenaway comme une farce monty-pythonesque, à la rigueur, s'il ne posait pas en artiste d'avant-garde à chaque seconde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
Cul, cinéma et politique mêlés dans un film dont l'inventivité s'épuise au fur et à mesure qu'il se déroule. Dommage.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le film laisse deux fois pantois : parce qu’on se demande s’il fallait bien passer par Eisenstein pour dire la découverte d’Éros, et vice versa ; et parce que malgré le désir de leçon qui l’anime depuis déjà longtemps, Greenaway ne semble fabriquer ses cours que pour lui-même.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cinéaste soviétique est réduit à l'état de figure grotesque, coupé aussi bien du monde réel (...) que du cinéma.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un prétexte à un déferlement d'images délirantes et exhibitionnistes.
Culturopoing.com
La joie de "Que Viva Eisenstein" n’est mitigée par rien, et c’est ce qui la rend, dans un sens, militante, comme si Greenaway voulait dire, à la manière de Wilde, « le cinéma est trop important pour être pris au sérieux ».
L'Obs
"Que viva Eisenstein !" est un des plus beaux films jamais consacrés au cinéma.
Marianne
Car le trouble délicieux que provoque le film éxubérant de Greenaway provient qu'il oscille en permanence, malgré ou à cause de ses extravagances, entre le documentaire, nourri d'images d'archives, et la fiction, résolument délirante.
aVoir-aLire.com
Cette audace, cette démesure, cette folie dont fait preuve Peter Greenaway dans "Que viva Eisenstein ! " en font une oeuvre profondément humaine, émouvante et... superbe !
Le Dauphiné Libéré
Un hommage passionné et délirant au grand cinéaste, par un cinéaste unique, qui fait là un retour remarqué.
Le Journal du Dimanche
Avec un petit budget et une poignée d’acteurs, le disciple d’Eisenstein réussit un essai saillant, stylé, fort de ses symétries vertigineuses, somptueux décors et folles tirades à la clé.
TF1 News
Que Viva Eisenstein ! ressemble moins à un biopic sur Eisenstein qu'à un autoportrait assez touchant de Peter Greenaway, fasciné par les corps masculins, l'érudition romantique, les pulsions sexuelles comme mortifères. C'est aussi le film le plus incarné du réalisateur de The Baby of Mâcon.
Transfuge
Le Finlandais Emer Bäck en impose. Massif, donnant du mouvement à des plans majoritairement larges ou moyens, composés comme des tableaux, il redonne, avec son excellent comparse Luis Alberti, une nouvelle vitalité au cinéma de Greenaway.
Télérama
C'est cette outrance que saisit Peter Greenaway, dans le style abracadabrant qui est le sien : rythme frénétique, écrans divisés, logorrhée sonore et visuelle. Avec, par moments, des mouvements de caméra magnifiques.
Critikat.com
Sorte d’anti-manuel eisensteinien et d’anti-making-of fictionnel de "Que Viva Mexico !" dont il n’est absolument pas question, Greenaway s’attache moins à l’antichambre de la création qu’à sa chambre.
Positif
"Que viva Eisenstein !" transmet l'effervescence culturelle de l'entre-deux guerres, où le cinéaste russe est le porte-parole de la modernité. Nul doute, aussi, de son créateur.
Première
Toujours à la limite du grotesque, ce singulier objet filmique avance l’idée que l’expérience hédoniste et homosexuelle vécue par le réalisateur du "Cuirassé Potemkine" a chamboulé son style artistique. Du cinéma libre et entêté comme on n’en voit plus.
Sud Ouest
On peut trouver cela fatigant mais c'est incontestablement brillant.
La Croix
Outre ces retours biographiques très appuyés, "Que viva Eisenstein !" évoque rapidement le tournage en cours pour se concentrer sur le lien qui unit le cinéaste russe à son guide mexicain, Palomino Canedo, professeur en histoire comparée des religions auprès de qui il découvre l'amour et la sexualité - ce qui vaut une longue scène très explicite qui pourra légitimement heurter.
Les Fiches du Cinéma
Les Greenaway se suivent et se ressemblent - hélas ! - de plus en plus. La victime de son nombrilisme esthético-sexuel complaisant est cette fois Eisenstein...
Les Inrockuptibles
On pourrait considérer ce travail de démolition de Greenaway comme une farce monty-pythonesque, à la rigueur, s'il ne posait pas en artiste d'avant-garde à chaque seconde.
Studio Ciné Live
Cul, cinéma et politique mêlés dans un film dont l'inventivité s'épuise au fur et à mesure qu'il se déroule. Dommage.
Cahiers du Cinéma
Le film laisse deux fois pantois : parce qu’on se demande s’il fallait bien passer par Eisenstein pour dire la découverte d’Éros, et vice versa ; et parce que malgré le désir de leçon qui l’anime depuis déjà longtemps, Greenaway ne semble fabriquer ses cours que pour lui-même.
Le Monde
Le cinéaste soviétique est réduit à l'état de figure grotesque, coupé aussi bien du monde réel (...) que du cinéma.
Ouest France
Un prétexte à un déferlement d'images délirantes et exhibitionnistes.