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    Café Society
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    3,7
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    464 critiques spectateurs

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    Cine vu
    Cine vu

    126 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Beaujolais 2016

    Un bon cru, léger, fruité qui enivre avec délice. On retrouve le bon Allen celui qui nous amuse et nous fait rêver. Il est de retour au Pays et ça lui va bien l’Amérique des années 30.

    Le ton est juste, l’humour juif est manié avec tendresse et les communautés sont représentées à merveille.
    Encore jeune et pourtant présent dans nos salles depuis les années 60, environ 50 scénarios et réalisations, voir plus. Alors on a du bon et du mauvais. Il a parfois des muses, il est parfois inspiré mais parfois aussi égaré ou éparpillé.

    Mais ce jeune homme de 80 ans nous revient avec un joli moment de cinéma et c’est l’essentiel.

    On navigue entre Hollywood et New York, entre malfrat et stars de cinéma. Rose et Phil sont frère et soeur mais littéralement opposés, Phil est un agent reconnu à Hollywood et sa soeur tient une bijouterie miteuse à Manhattan.

    Elle décide de lui envoyer son jeune fils Bobby, jeune gars entre l’adolescence et l’âge adulte. Le voilà dans le monde des paillettes et du superficiel puis le gamin tombe amoureux de la secrétaire de son oncle Phil, La jolie Vonnie, alors tout se complique.

    C’est à NYC que l’on s’amuse le plus entre Rose et son mari et leurs éternelles disputes mais aussi le grand frère Ben et ses règlements de compte impayables.

    Chouette couple aussi du côté de la grande soeur, de son bienveillant mari et de leur voisin brutos. Bref c’est bel et bien là que la comédie prend toute sa dimension.

    Jesse Eisenberg est juste assez mal dégrossi pour jouer Bobby, Kristen Stewart et Steve Carell ne sont pas mauvais et la jolie Blake Lively fait l’affaire mais la vraie brochette et les meilleurs dialogues sont définitivement à Manhattan.

    Un film qui fait du bien, plein de de paillettes, d’humour noir, gris et en couleur.
    Laurent C.
    Laurent C.

    240 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Si Woody Allen cite explicitement Balzac, il n'en demeure pas moins que la nouvelle œuvre qu'il présente cette année à Cannes, a en plus qu'elle brille d'un cynisme douçâtre et d'une certaine frivolité. Bobby, c'est en quelque sorte le Rastignac d'Hollywood, l'insouciance et la fausse naïveté pour bagages. Il débarque dans l'entreprise cinématographique de son oncle, ce qui l'amène a tomber amoureux de l'amante de ce dernier. Quiproquos, coups de théâtre, et marivaudage règnent dans ce long-métrage, sur fond de jazz et de cartes postales américaines. Après s'être attaqué à Paris, Londres, ou Madrid, le réalisateur se plonge cette fois dans l'effervescence des années 30 à New York et à Hollywood. Le film est exaltant. La mise en scène est très propre, très nette, racontée comme un roman. Allen ne s'appesantit pas sur les détails. Il passe d'une scène à l'autre où le dialogue a plus d'importance que les effets d'image. Le réalisateur promène son spectateur, avec un plaisir évident, dans ses obsessions de toujours : la famille, l'amour impossible, l'argent, et la religion juive. Il se régale avec son spectateur, tout en faisant preuve d'une véritable maturité dans le propos. Allen a fini de parler de lui-même. Il concentre son regard sur une société bourgeoise qu'il connaît bien, et ne se prive pas d'en critiquer les travers et les excentricités. Finalement, derrière cette comédie humaine, se cachent beaucoup de cruauté et de solitude. Woody Allen parle-t-il de sa propre solitude ? On ne saura pas sinon que cette œuvre apparaît enfin comme le digne retour du Maître sur les grands écrans.
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Le plus prolifique des auteurs réalisateurs américains est de retour, comme tous les ans, avec son nouveau film. Woody Allen propose avec « Café Society » un condensé de tout ce qu’il aime filmer : New-York, les années folles, des histoires d’amour tragiques sur fond d’humour juif, le tout arrosé de musique jazzy. Bref, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on est en terrain connu avec ce film. D’ailleurs, il commence comme tous les films de Allen commencent ou presque : avec un générique de jazz, des noms en blancs et en ordre alphabétique (pour ne froisser personne, c’est encore le mieux), sur un fond noir et une voix off qui nous accompagnera tout au long du film. C’est sa signature, ce qui fait qu’on ne peut confondre ses films avec aucun autre, si certains pourraient y déceler un manque d’audace ou de créativité, j’y vois plutôt un gimmick, une patte, un clin d’œil à son public, qu’il sait fidèle. Oui, on aime Allen ou on ne l’aime pas, et même si parfois il nous déçoit un peu, quand on l’aime, on y revient toujours. Et quand on est Woody Allen aujourd’hui, on peut s’offrir qui on veut pur étoffer son casting : Kristen Stewart, Steve Carell, la très belle Blake Lively et surtout Jesse Eisenberg. Ce dernier était fait pour Woody Allen, avec son allure un peu gauche et son débit de parole hallucinant : il incarne Bobby comme il incarnait Mark Zuckerberg dans « The Social Network », et il se endosse le costume comme si Allen le lui avait taillé sur mesure. La bonne nouvelle, c’est que les seconds rôles ne sont pas en reste, ils sont bien incarnés, bien écrits, hauts en couleur et souvent drôles comme Corey Stoll (avec des cheveux je l’aurais à peine reconnu) en frère truand ou Jeannie Berlin en mère juive. Côté réalisation, Woody Allen n’est pas un débutant, il sait placer sa musique, faire des apartés qui tombent bien, placer des touches d’humour ça et là qui font mouche, jouer avec les sons aussi. J’ai beaucoup aimé la scène où à la plage ou le bruit de la mer couvre les paroles de Bobby, comme pour illustrer le trouble grandissant que ces paroles provoquent chez Vonnie, elle ne les entend plus parce qu’elles ne les écoutent plus vraiment, son esprit est ailleurs et le bruit des vague reprends le dessus, c’est un petit effet très bête mais c’est malin. Maintenant, là où je serais plus nuancée sur le scénario en lui-même. Alors c’est sur, je ne me suis pas du tout ennuyée, j’ai même trouvé quelques passages franchement amusants et réussis, je me suis attaché un peu au personnage de Bobby, qui se lance dans une vie qui ne lui ressemble pas pour tourner la page d’un cœur meurtri, et la fin (qui arrive bien brusquement) est arrivée très vite sans que je m’y attende, ce qui est bon signe quand même. Mais malgré tout, je me demande encore, au sortir de la salle, ce que Woody Allen a voulu dire, ou montrer, ou faire passer, avec « Café Society », et je ne suis pas sure d’avoir trouvé. Il y a une réflexion sur l’ego, une critique du snobisme et du monde du cinéma des studios, sur l’importance démesurée que l’on donne à la réussite sociale et à l’image au détriment des vrais sentiments et du vrai bonheur. Oui, il y a surement un peu de tout cela dans « Café Society » mais ce n’est ni très clair ni très lisible. En réalité, sous ses aspects de comédie un peu légère et un peu romantique, baignée de soleil californien et de jazz new-yorkais, j’ai l’impression d’avoir assisté à un film assez noir et pessimiste sur la nature humaine, la nature des sentiments que les hommes et les femmes peuvent lier. Dans « Café Society », il y a bien peu de sincérité entre des personnages, il y a beaucoup de faux semblants et de non-dits, de mensonges, de dissimulation, bref, de noirceur. Le seul personnage un peu droit c’est celui du beau-frère de Bobby : modeste, idéaliste, humaniste, pétri de belles convictions, il apparait comme un faible dans ce monde où l’apparence et les rapports de force dominent. C’est peut-être ça le message de Woody Allen quand « Café Society » : dans les années 30 comme aujourd’hui, la société fonctionne plus sur l’ « avoir » que sur l’ « être ».
    titi1960-
    titi1960-

    19 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Une très belle, lumière, un beau cadre, une réalisation aux petite oignons ...
    Mais que ce film est bavard, trop bavard, l'image se suffit le plus souvent a elle même.
    Une belle histoire d'amour, que personnellement je ne qualifierais pas de drame.
    Un bon moment de cinéma.
    poet75
    poet75

    261 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Après tant de films réalisés et portés à l'écran, il serait absurde d'attendre de Woody Allen quelque chose de totalement inédit. Mais tous les créateurs ne font-ils pas de même ? Qu'ils soient romanciers, peintres ou cinéastes, les artistes les plus grands ressassent inlassablement les mêmes thèmes et donnent en spectacle les mêmes personnages ? Il ne viendrait à l'idée de personne, je suppose, de déplorer la manie qu'avait Rembrandt de se peindre lui-même (il fit à peu près 80 autoportraits et pas un n'est anodin!). Woody Allen, lui aussi, en grand cinéaste qu'il est, triture sans fin les mêmes thèmes et malaxe sans se lasser la même pâte humaine. L'impression de déjà-vu qu'on peut ressentir en voyant ce nouveau film est réelle, on a le sentiment que les personnages qui s'y produisent sont issus de films antécédents, mais on n'en est pas moins irrésistiblement séduit car ce qui est vrai également, c'est que le talent de conteur et de metteur en scène du cinéaste new-yorkais non seulement ne faiblit pas mais qu'il s'approche de plus en plus d'une sorte d'idéal !
    Si le scénario de « Café Society » n'est pas d'une folle originalité, la mise en scène, elle, est si parfaite et les dialogues, eux, sont si savoureux qu'on n'en finit pas de se délecter. « La vie, affirme l'un des personnages du film, est une comédie écrite par un sadique ». Pour preuve, nous voici emporté avec Bobby (Jesse Eisenberg) jusqu'à l'Hollywood du début des années 30. Ayant quitté la demeure familiale de New-York, il y retrouve non sans peine son oncle Phil (Steve Carell), un producteur richissime qui se vante de fréquenter les plus grandes stars de l'époque. Bobby n'obtient qu'une place de coursier mais qu'importe puisqu'il fait la connaissance de Vonnie (Kristen Stewart), la ravissante secrétaire de l'oncle dont il tombe aussitôt éperdument amoureux. Tout n'est pas si simple cependant, on l'imagine, car la belle fréquente déjà un homme, marié certes et beaucoup plus âgé qu'elle, mais riche et qui pourrait bien quitter ses attaches pour elle. Quel choix fait-on dans ce cas-là ? Celui du jeune homme séduisant, mais pauvre et n'aspirant qu'à retourner à New-York, ou celui de l'homme mûr et marié, mais riche et fréquentant le grand monde d'Hollywood ?
    Woody Allen suggère assez habilement le peu de cas qu'il fait de ce monde-là, ce monde de frivolité que Bobby se décide en effet à quitter pour s'en retourner à New-York et y retrouver les siens, laissant derrière lui celle qu'il aime. La famille que Bobby réintègre n'a rien de très reluisant pourtant, c'est le moins qu'on puisse dire (on y compte même un membre de la pègre), ce qui n'empêche pas le garçon de réussir enfin et à se marier et à gagner largement de quoi vivre en dirigeant le night-club qui donne son titre au film. Fidèle à sa manière, sous des apparences de légèreté, c'est un monde déliquescent que dépeint Woody Allen, à quoi s'ajoutent ici les portraits d'une famille (celle de Bobby) qui collectionne les revers, au point que son chef, Marty, le patriarche, en vient à déplorer le « silence de Dieu » (ce à quoi son épouse rétorque que « pas de réponse, c'est encore une réponse ») ! Un monde cruel, marqué par la fuite du temps, et qui, s'il autorise des retrouvailles (celles de Bobby et Vonnie, par exemple), le fait sous les signes des regrets inutiles et de la mélancolie.
    Un scénario qui n'est pas d'une folle originalité, écrivais-je plus haut : c'est vrai et faux à la fois. Vrai si l'on ne prend en compte que le récit dans sa globalité. Faux si l'on s'attarde sur les détails, sur la multitude des bonnes idées qui réactivent sans cesse l'intérêt du spectateur. Woody Allen est un maître dans ce domaine : son film étincelle de petits détails qui relancent l'intrigue, de répliques savoureuses et de belles idées de mise en scène. Qualifier « Café Society » de film mineur, comme je l'ai lu dans certains commentaires, n'est pas du tout opportun. Les qualités d'un film ne se mesurent pas à l'aune d'une histoire (ou d'un « pitch », comme on dit aujourd'hui), mais bien davantage à l'aune de la finesse des dialogues, des idées de mise en scène et de la direction d'acteurs (sans compter la photographie, le son et plein d'autres éléments). De ce point de vue, « Café Society », comme bien d'autres œuvres de Woody Allen, est un film majeur, une parfaite réussite ! 9/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juin 2016
    Certes le chassé-croisé amoureux est convenu mais quand même, quel moment de grâce ! C'est tout doux. Tout est beau et la reconstitution superbe. Une parenthèse enchantée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mai 2016
    Très bons acteurs /image parfaite /comme toujours musique jazz topissime .... Mais je n ai pas adhère au scénario. Manquait le petit truc en plus qui a fait des 2 films précédents une petite merveille et un chef d œuvre.
    MediaShow
    MediaShow

    127 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2016
    N’étant pas le plus grand fan des comédies romantiques, je ressors de la salle de cinéma plus que satisfait ! Cafe Society ouvre magnifiquement le festival de Cannes 2016 en nous offrant une délicieuse comédie romantique, qui, malgré une histoire un peu légère, séduira les plus grands cinéphiles par son ambiance Jazzy entraînante, par sa divine mise en scène mais aussi par son casting d’une grande qualité ! Un grand cru que je recommande en VOST !

    Retrouvez ma critique entière sur mon site MediaShowbydk.com ou bien via le lien ci dessous :
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    A la recherche d’un job à New York, Bobby est incité par ses parents à rejoindre son oncle producteur de cinéma à Hollywood. Chaperonné par Vonnie, secrétaire et maîtresse du tonton, il fréquente « une jet set qui carbure à l’ego » lors de soirées organisées au bord des piscines de somptueuses villas. Et forcément il flashe sur la belle, sans savoir où il met les pieds… En pleine confusion des sentiments, elle est tiraillée entre deux hommes. Et lui entre deux villes, puisque aux futiles « parties » de Beverly Hill, il préfère les Clubs de jazz de Greenwich Village et leur environnement douteux...
    Le dernier Woody Allen nous ramène d’abord au triangle amoureux et à ses variations infinies. Avec quiproquos et valse-hésitation, coups de cœur et coups de théâtre... Il renvoie aussi à quelques récurrences. La bourgeoisie friquée, légère et fascinante. La psychologie moralisatrice des intellos juifs. Et toujours ces allers-retours entre enchantement et amertume, émoi et raison : « l’amour, c’est de l’émotion et les émotions ne sont pas rationnelles » ! Le tout swinguant aux standards de Count Basie et Coleman Hawkins habitués du vrai Café Sociéty à la fin des années trente…
    Malgré les archétypes et les marottes du réalisateur. Malgré l’agacement de revoir toujours un peu le même film depuis son tour des capitales européennes, il faut admettre que les bonnes vieilles recettes fonctionnent encore une fois. Car le dernier Woody Allen porte d’abord la marque de son génie. Avec une mise en scène virtuose – à l’image du superbe premier plan – avec des décors classieux, un rythme d’enfer, de l’humour toujours et de sacrés bons acteurs. Jesse Eisenberg parfait clone du réalisateur et Kristen Stewart en fausse ingénue à qui on pardonne tout. Le charme du maître de Mahattan opère toujours.
    Stephane D
    Stephane D

    35 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2016
    Est-il possible d'être impartial lorsqu'il s'agit de Mr Allen ? Difficilement dans mon cas mais ce film est une petite merveille, une parenthèse enchantée, un moment de pure volupté. Acteurs formidables, réalisation toute en retenue pour mieux servir le propos.
    Critique et chronique douce amer d'une époque dans laquelle Mr Woody Allen nous plonge avec délectation pour notre plus grand bonheur.
    Vincent T.
    Vincent T.

    23 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2016
    Woody Allen offre un film charmant et mélancolique sur fond de triangle amoureux dans les années 30 aux USA.

    Il reprend cette idée de passé fantasmé de "Midnight Paris" (film de 2012) pour filmer la côte Ouest, à l’image de Kristen Stewart : sensuelle, belle et superficiel et la côte Est des USA. L’angoisse du « sentiment amoureux » passé qui ne s’éteint jamais malgré le fait d’avoir recommencé une nouvelle vie est ici très bien traitée par quelques plans, des regards toujours bien filmés et des astuces de mise en scène.

    Des dialogues absurdes et philosophiques qui sont la marque de fabrique de Woody Allen sont bien présents, la reconstitution des clubs new-yorkais prestigieux (café society) est pas mal et les quelques scènes de jazz sont sublimes.

    Cruel et drôle, ce film dispose d’une bonne distribution avec Jesse Eisenberg, touchant et émouvant qui premier sort de son rôle un stéréotypé dans lequel il s’est enfermé depuis The Social Network et Steve Carell qui par son gabarit en impose dès le début sans oublier Blake Lively.

    Bref, les sujets sont redondants, mais la distribution amène beaucoup de fraîcheur dans ce cinéma déjà vu.

    PS : j’avais plus apprécié son précédent film avec Joaquim Joaquin Phoenix : l’homme irrationnel
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mai 2016
    Du Woody Allen : un début lent, une intrigue interessante et une fin ouverte!
    Les décors sont jolis quoiqu'un peu rétro, les acteurs passables
    cyclone200
    cyclone200

    17 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Acteurs impressionnants, scénario aux petits oignons, image et bande-son magnifiques. Café Society est un véritable chef-d'œuvre qui fera rêver bon nombre de passéistes.
    Michel C.
    Michel C.

    244 abonnés 1 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Du Woody Allen pur sucre....ambiance raffinée des années 30 - cinéma, swing, jazz, drinks. On croit entendre Woody Allen dans les paroles de Jesse Eisenberg, - en fait il est aussi le narrateur - timide, limite trébuchant avant son ascension en affaires. La rencontre avec la ravissante Kristen Stewart est romantique et l’idylle est bien construite ! De très belles images, et de sublimes morceaux de musique. On passe un moment de divertissement amusant car l'humour est aussi de la partie. Jeu de contrastes magnifiquement illustrés, notamment sur une scène finale qui arrive bien trop vite... Un régal !! **
    Steph N.
    Steph N.

    39 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Mon Woody Allen, comme je te retrouve, l'histoire, l'epoque, le jazz.... Et tout est très bien filmé... Tu résistes aux années, nous aussi, et on t'aime...
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