Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
La réalisation, limpide, qui capte les conversations (en un beau 16 mm) dans des décors sylvestres, rappelle le rapport intense qu’entretenaient Jean-Marie Straub et Danièle Huillet avec la nature et les auteurs qu’ils adaptaient.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Luc Chessel
Si le film expose ainsi sans cesse son propre dispositif, et avec lui ceux de l’écriture, de la dictée et de la traduction, il ne le fait pas en tant que pur film-dispositif : mais plutôt pour bien lier entre elles, au sein du biopic rêvé ou virtuel de cet écrivain qui ne fait plus que parler, les trois histoires qu’il nous raconte avant tout pour le plaisir évident de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Pour tous les amateurs de l'inventivité des rapports entre les mots et les images.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La mise en avant de la parole est la force de l’œuvre mais aussi sa limite : truffé de références littéraires et philosophiques, le film souffre d’une certaine lourdeur. Mais sa richesse narrative et l’élégance de sa mise en scène séduisent.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il se dégage de ces adaptations drolatiques en espagnol (et autres langues) un climat d’inquiétante étrangeté rappelant l’œuvre de Raoul Ruiz, âme sœur de Borges.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un hommage au septième art et à sa capacité à générer de l’étrange. Un rien théorique mais toujours surprenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par J-A.M.
Cette adaptation de trois nouvelles de Jorge Luis Borges vise à explorer, sous un angle parfois théorique, la mise en image de la langue sous diverses formes. Si des passages restent un peu scolaires, l’engagement et la réussite globale du projet sont indéniables.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Objet étrange, ce film ambitieux et complexe combine beautés et incongruités en un mélange inégal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Fréquemment inspiré, notamment lorsqu’il observe la nature, parfois drapé dans une certaine raideur d’énonciation, Maxime Martinot signe un essai filmique libre et intrigant, d’une rare ambition intellectuelle.
Bande à part
La réalisation, limpide, qui capte les conversations (en un beau 16 mm) dans des décors sylvestres, rappelle le rapport intense qu’entretenaient Jean-Marie Straub et Danièle Huillet avec la nature et les auteurs qu’ils adaptaient.
Libération
Si le film expose ainsi sans cesse son propre dispositif, et avec lui ceux de l’écriture, de la dictée et de la traduction, il ne le fait pas en tant que pur film-dispositif : mais plutôt pour bien lier entre elles, au sein du biopic rêvé ou virtuel de cet écrivain qui ne fait plus que parler, les trois histoires qu’il nous raconte avant tout pour le plaisir évident de la fiction.
Positif
Pour tous les amateurs de l'inventivité des rapports entre les mots et les images.
Cahiers du Cinéma
La mise en avant de la parole est la force de l’œuvre mais aussi sa limite : truffé de références littéraires et philosophiques, le film souffre d’une certaine lourdeur. Mais sa richesse narrative et l’élégance de sa mise en scène séduisent.
L'Humanité
Il se dégage de ces adaptations drolatiques en espagnol (et autres langues) un climat d’inquiétante étrangeté rappelant l’œuvre de Raoul Ruiz, âme sœur de Borges.
L'Obs
Un hommage au septième art et à sa capacité à générer de l’étrange. Un rien théorique mais toujours surprenant.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation de trois nouvelles de Jorge Luis Borges vise à explorer, sous un angle parfois théorique, la mise en image de la langue sous diverses formes. Si des passages restent un peu scolaires, l’engagement et la réussite globale du projet sont indéniables.
aVoir-aLire.com
Objet étrange, ce film ambitieux et complexe combine beautés et incongruités en un mélange inégal.
Le Monde
Fréquemment inspiré, notamment lorsqu’il observe la nature, parfois drapé dans une certaine raideur d’énonciation, Maxime Martinot signe un essai filmique libre et intrigant, d’une rare ambition intellectuelle.