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Les couleurs éclatantes, la lumière, les phrases musicales, toute la sophistication du réalisateur espagnol est au rendez-vous mais, cette fois, au service d'une histoire puissante et bouleversante.
À bien y penser, on se dit qu’on tient bel et bien là – au fil d’un récit écorché, romanesque – un best of Almodavar. Qui pourrait bien lui valoir, enfin, la Palme tant désirée.
Comment vivre sans ceux que l’on aime? C’est tout l’enjeu de ce film subtil, rare, intelligent et intense. La mise en scène d’Almodóvar, dépouillée de tout effet baroque, empoigne le spectateur dès le début pour ne plus le lâcher. (...) Un coup de coeur.
De cet alliage entre la banalité de la douleur et les formes fantastiques que peut lui donner le cinéma, Almodovar fait un beau film d’une tristesse très pure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce magnifique mélo en forme de portrait de femme sur deux époques, passionné parfois, bouleversant la plupart du temps, donne envie d'embrasser le grand Pedro en fin de projection pour la façon si fine qu'il a de raconter et de filmer les grandes émotions.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
S’il ne cède jamais au pathos, resserrant au maximum son intrigue (...), le réalisateur ibère réussit à nous cueillir à l’usure. Par son intelligence, sa pudeur, sa grâce (...) et sa faculté à faire exister nos peurs dans la rainure de celles de Julieta. Faut pas s’étonner si les larmes coulent à la fin.
Quand la chanson d'amour du générique final nous donne congé, nous nous jurons de revenir vite revoir "Julieta" et ce chef-d'oeuvre qui confirme Almodovar au rang des plus grands.
Comme Julieta, Pedro revient toujours – à son esthétique baroque, à ses obsessions thématiques (la mère, la perte, l’échec de l’amour) - mais jamais tout à fait le même. Ca mériterait bien une palme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pas de personnages excentriques ici, juste du temps qui a passé. Le style est épuré, tout y est simple, délicat et évident. Et ce sera un beau pied de nez pour ceux qui s'attendent à ce que Almodovar fasse sempiternellement du Almodovar.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Si le film touche autant, c'est sans doute parce que via la noria de flash-backs et leurs voix off, il revient sans cesse à l'essence du cinéma : l'alliance du mot et de l'image.
Avec sa conclusion abrupte et amère, qui suggère une transmission de la culpabilité, le film s’éloigne des réussites consensuelles du cinéaste comme "Parle avec elle" ou "Volver". Mais il fascine par cette alchimie entre la noirceur désenchantée du fond et l’éclat rédempteur de la forme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Jamais avant Julieta Almodovar n’avait rabattu sur ses personnages le piège du fatum avec une telle résolution. Du grand art, digne d’une tragédie grecque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Film sur la perte, Julieta s’empare avec une rare élégance du substrat de la passion amoureuse, de l’amour filial, de la tentation de la fusion, de la transmission, de la répétition, de la fatalité – Rossy de Palma, cheveux frisés et tablier de femme de ménage, se voyant confier le rôle d’une rugueuse Cassandre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Almodovar, tel qu’en lui-même, plus que jamais sensible aux femmes et à leurs mystères, aux liens qui unissent les êtres, aux amours passionnées, aux émotions, aux couleurs flamboyantes du mélodrame.
(Almodovar) déploie tous les sortilèges romanesques du grand cinéma classique pour dresser un riche et dense portrait de femme à travers l’une des situations de la féminité les plus passionnelles et violentes qui soient, celle des rapports mère-fille (...).
Non seulement on renoue avec jubilation et émotion avec son univers esthétique et psychologique, mais on retrouve avec plaisir son inénarrable actrice fétiche, Rossy De Palma, dans un rôle de composition domestique à la Alice Sapritch.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le récit écrit et lu par Julieta enferme le film, Almodóvar n’ose jamais en sortir. Aussi réussis que soient le déroulé minutieux de l’intrigue, la volonté de dresser un portrait du sentiment maternel, de la culpabilité et des non-dits qui rongent les liens familiaux, tout cela a des airs de rouages trop bien huilés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
C’est une déception. Qui confirme ce qu’on avait déjà éprouvé en découvrant tous ses derniers films : depuis "Volver" (2006) Pedro Almodovar peine à renouveler son discours, comme son univers.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Cahiers du Cinéma
"Julieta" est le film le plus sombre, le plus dur et en un sens le plus essentiel d’Almodóvar.
Critikat.com
Almodóvar signe son film le plus grave, le plus doux aussi.
Franceinfo Culture
Les couleurs éclatantes, la lumière, les phrases musicales, toute la sophistication du réalisateur espagnol est au rendez-vous mais, cette fois, au service d'une histoire puissante et bouleversante.
L'Obs
Alors, oui, c’est du grand art. Dont les beautés se révèlent comme à regret, à la seconde vision probablement plus encore qu’à la première.
La Voix du Nord
À bien y penser, on se dit qu’on tient bel et bien là – au fil d’un récit écorché, romanesque – un best of Almodavar. Qui pourrait bien lui valoir, enfin, la Palme tant désirée.
Le Journal du Dimanche
Comment vivre sans ceux que l’on aime? C’est tout l’enjeu de ce film subtil, rare, intelligent et intense. La mise en scène d’Almodóvar, dépouillée de tout effet baroque, empoigne le spectateur dès le début pour ne plus le lâcher. (...) Un coup de coeur.
Le Monde
De cet alliage entre la banalité de la douleur et les formes fantastiques que peut lui donner le cinéma, Almodovar fait un beau film d’une tristesse très pure.
Le Parisien
Ce magnifique mélo en forme de portrait de femme sur deux époques, passionné parfois, bouleversant la plupart du temps, donne envie d'embrasser le grand Pedro en fin de projection pour la façon si fine qu'il a de raconter et de filmer les grandes émotions.
Metro
S’il ne cède jamais au pathos, resserrant au maximum son intrigue (...), le réalisateur ibère réussit à nous cueillir à l’usure. Par son intelligence, sa pudeur, sa grâce (...) et sa faculté à faire exister nos peurs dans la rainure de celles de Julieta. Faut pas s’étonner si les larmes coulent à la fin.
Ouest France
Le vingtième film du réalisateur espagnol est une pure merveille.
Positif
Quand la chanson d'amour du générique final nous donne congé, nous nous jurons de revenir vite revoir "Julieta" et ce chef-d'oeuvre qui confirme Almodovar au rang des plus grands.
Première
Comme Julieta, Pedro revient toujours – à son esthétique baroque, à ses obsessions thématiques (la mère, la perte, l’échec de l’amour) - mais jamais tout à fait le même. Ca mériterait bien une palme.
Studio Ciné Live
Deux comédiennes sublimes dans un film troublant, parfois mal aimable et, à ce titre, passionnant.
Sud Ouest
Un beau film grave et retenu.
TF1 News
Pas de personnages excentriques ici, juste du temps qui a passé. Le style est épuré, tout y est simple, délicat et évident. Et ce sera un beau pied de nez pour ceux qui s'attendent à ce que Almodovar fasse sempiternellement du Almodovar.
Transfuge
Si le film touche autant, c'est sans doute parce que via la noria de flash-backs et leurs voix off, il revient sans cesse à l'essence du cinéma : l'alliance du mot et de l'image.
Télérama
Avec sa conclusion abrupte et amère, qui suggère une transmission de la culpabilité, le film s’éloigne des réussites consensuelles du cinéaste comme "Parle avec elle" ou "Volver". Mais il fascine par cette alchimie entre la noirceur désenchantée du fond et l’éclat rédempteur de la forme.
aVoir-aLire.com
Jamais avant Julieta Almodovar n’avait rabattu sur ses personnages le piège du fatum avec une telle résolution. Du grand art, digne d’une tragédie grecque.
Culturopoing.com
La maestria d'Almodovar tient justement à sa capacité à insuffler émotion et humanité à des structures narratives presque trop mécaniques.
L'Express
Un mélo beau et douloureux.
La Croix
Film sur la perte, Julieta s’empare avec une rare élégance du substrat de la passion amoureuse, de l’amour filial, de la tentation de la fusion, de la transmission, de la répétition, de la fatalité – Rossy de Palma, cheveux frisés et tablier de femme de ménage, se voyant confier le rôle d’une rugueuse Cassandre.
Le Dauphiné Libéré
Almodovar, tel qu’en lui-même, plus que jamais sensible aux femmes et à leurs mystères, aux liens qui unissent les êtres, aux amours passionnées, aux émotions, aux couleurs flamboyantes du mélodrame.
Les Inrockuptibles
(Almodovar) déploie tous les sortilèges romanesques du grand cinéma classique pour dresser un riche et dense portrait de femme à travers l’une des situations de la féminité les plus passionnelles et violentes qui soient, celle des rapports mère-fille (...).
Paris Match
Non seulement on renoue avec jubilation et émotion avec son univers esthétique et psychologique, mais on retrouve avec plaisir son inénarrable actrice fétiche, Rossy De Palma, dans un rôle de composition domestique à la Alice Sapritch.
Télé 2 semaines
"Julieta", le nouveau de Pedro Almodovar, propose une douloureuse et émouvante histoire de famille.
La Septième Obsession
Si l'ensemble est parfaitement maîtrisé, cet Almodovar morose reste quand même assez anodin.
Libération
Le récit écrit et lu par Julieta enferme le film, Almodóvar n’ose jamais en sortir. Aussi réussis que soient le déroulé minutieux de l’intrigue, la volonté de dresser un portrait du sentiment maternel, de la culpabilité et des non-dits qui rongent les liens familiaux, tout cela a des airs de rouages trop bien huilés.
Gala
C’est une déception. Qui confirme ce qu’on avait déjà éprouvé en découvrant tous ses derniers films : depuis "Volver" (2006) Pedro Almodovar peine à renouveler son discours, comme son univers.
L'Humanité
Le dernier film du réalisateur espagnol s’avère très narratif et manque cruellement de respiration.