Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Transfuge
par Maud Antigna
Si le bilboquet a remplacé le vélo, nul ne pourra s'empêcher de songer à un "Shining" version belge.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
"Préjudice" épate par sa forme autant que par son fond, suscitant un malaise que l’on avait rarement ressenti de façon aussi trouble et menaçante au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Un film intense et maîtrisé, une jolie peinture de l'horreur ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par La Rédaction
Malfaisant et angoissant à souhait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Noémie Luciani
(Des) dialogues remarquablement ciselés (...), (une) mise en scène minutieuse et (une) interprétation formidable de Nathalie Baye et Thomas Blanchard.
Metro
par Mehdi Omaïs
Au-delà de ses seconds rôles quelque peu sacrifiés, ce premier film étrange et plutôt maîtrisé, à qui le cinéaste Antoine Cuypers donne des allures de "Festen", puise sa force dans le face-à-face entre Nathalie Baye et le jeune Thomas Blanchard, tous deux impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
Cuypers est sous influence (Kubrick, Fincher), mais son audace narrative et formelle excuse tous ces emprunts et témoigne d’une envie de cinéma plutôt salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un premier film qui fait monter la tension et la découverte de l'intriguant Thomas Blanchard.
L'Express
par Eric Libiot
"Préjudice" est un huis clos bien tenu par le réalisateur Antoine Cuypers, mais qui peine parfois à trouver de quoi progresser.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film dérangeant, à l’atmosphère tendue, qui, grâce notamment à l’interprétation, évite les clichés du traditionnel conflit de famille.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Ce premier long métrage, placé sous l'égide de références écrasantes (“Festen”, “Melancholia”…), déploie des thèmes complexes sans parvenir à toujours les maîtriser.
Télérama
par Jacques Morice
Dans ce foyer de névroses complémentaires, le cinéaste brouille les pistes, confond innocents et coupables, gentils et méchants. Au risque, parfois, de s'enferrer dans une dialectique un peu vaine, ainsi que dans un certain formalisme. Le film y échappe grâce à son atmosphère, au bord de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Un psychodrame familial tour à tour maladroit et fulgurant, y compris visuellement.
Positif
par Philippe Rouyer
Il faut passer par toutes les étapes obligées d'un chemin de croix qui n'a rien d'un dîner de gala.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Dans ce quasi huis-clos, Antoine Cuypers montre son talent à créer une tension à couper au couteau. Mais une fois les non-dits posés, "Préjudice" perd de ce mystère qui faisait sa force, pour devenir la chronique plus banale d'une famille en crise.
Critikat.com
par Benoît Smith
"Préjudice" aligne pour marquer l’ambiance les techniques les plus démonstratives de manière totalement brouillonne, se gorgeant de cris et de chuchotements, sans se soucier de dessiner quelque point de vue de cinéaste autre qu’un pourvoyeur de noirceur à peu de frais qui aurait mal digéré les films de Haneke.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
Si le bilboquet a remplacé le vélo, nul ne pourra s'empêcher de songer à un "Shining" version belge.
aVoir-aLire.com
"Préjudice" épate par sa forme autant que par son fond, suscitant un malaise que l’on avait rarement ressenti de façon aussi trouble et menaçante au cinéma.
Franceinfo Culture
Un film intense et maîtrisé, une jolie peinture de l'horreur ordinaire.
L'Obs
Malfaisant et angoissant à souhait.
Le Monde
(Des) dialogues remarquablement ciselés (...), (une) mise en scène minutieuse et (une) interprétation formidable de Nathalie Baye et Thomas Blanchard.
Metro
Au-delà de ses seconds rôles quelque peu sacrifiés, ce premier film étrange et plutôt maîtrisé, à qui le cinéaste Antoine Cuypers donne des allures de "Festen", puise sa force dans le face-à-face entre Nathalie Baye et le jeune Thomas Blanchard, tous deux impeccables.
Première
Cuypers est sous influence (Kubrick, Fincher), mais son audace narrative et formelle excuse tous ces emprunts et témoigne d’une envie de cinéma plutôt salutaire.
Voici
Un premier film qui fait monter la tension et la découverte de l'intriguant Thomas Blanchard.
L'Express
"Préjudice" est un huis clos bien tenu par le réalisateur Antoine Cuypers, mais qui peine parfois à trouver de quoi progresser.
Le Dauphiné Libéré
Un film dérangeant, à l’atmosphère tendue, qui, grâce notamment à l’interprétation, évite les clichés du traditionnel conflit de famille.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage, placé sous l'égide de références écrasantes (“Festen”, “Melancholia”…), déploie des thèmes complexes sans parvenir à toujours les maîtriser.
Télérama
Dans ce foyer de névroses complémentaires, le cinéaste brouille les pistes, confond innocents et coupables, gentils et méchants. Au risque, parfois, de s'enferrer dans une dialectique un peu vaine, ainsi que dans un certain formalisme. Le film y échappe grâce à son atmosphère, au bord de la réalité.
VSD
Un psychodrame familial tour à tour maladroit et fulgurant, y compris visuellement.
Positif
Il faut passer par toutes les étapes obligées d'un chemin de croix qui n'a rien d'un dîner de gala.
Studio Ciné Live
Dans ce quasi huis-clos, Antoine Cuypers montre son talent à créer une tension à couper au couteau. Mais une fois les non-dits posés, "Préjudice" perd de ce mystère qui faisait sa force, pour devenir la chronique plus banale d'une famille en crise.
Critikat.com
"Préjudice" aligne pour marquer l’ambiance les techniques les plus démonstratives de manière totalement brouillonne, se gorgeant de cris et de chuchotements, sans se soucier de dessiner quelque point de vue de cinéaste autre qu’un pourvoyeur de noirceur à peu de frais qui aurait mal digéré les films de Haneke.