Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Entre vérité et fiction, le drame propose une grille de lecture captivante de cette brouille passée à la postérité. Le film dégage également une réflexion intéressante sur ce qu’exige la création artistique. Enfin, si parfois les acteurs peinent à s’effacer pour incarner totalement leurs imposants personnages, ceux-ci distillent une belle alchimie à l’écran.
Elle
par Edouard Dutour
Comment a-t-on pu ignorer si longtemps l’amitié qui unissait depuis l’enfance Paul Cézanne et Émile Zola, deux monuments de la culture française ? Séance de rattrapage dans les salles mercredi avec "Cézanne et moi", signé Danièle Thompson. Pour servir cette histoire bouleversante, la réalisatrice a choisi Gallienne et Canet, deux Guillaume ultra conquérants.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Une belle réflexion sur le statut d'artiste, portée par deux Guillaume en costumes, au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le film aurait pu sombrer dans le didactisme ou la leçon d'histoire, mais Thompson filme l'amitié qui se brise par touches impressionnistes.
Télé 2 semaines
par Maryvonne Ollivry
C’est peut-être très didactique et descriptif, mais le récit de presque deux heures, ponctué de flash-back dynamiques, reste fluide. L’ensemble est classique, soigné du point de vue des décors et de l’image.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Danièle Thompson ne cherche pas à réaliser un film sur l’art, mais sur les rapports humains qui motivent deux êtres d’exception.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Marilyne Letertre
Si la mise en scène et la narration restent assez classiques, le duo d’acteurs, très investi, et l’intérêt même de cette amitié méconnue captivent. Pédagogique et raffiné, à défaut d’être original.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Éric Mandel
Malgré un recours aux flash-back trop systématique et une facture classique, un film réussi.
Positif
par Fabien Baumann
Gallienne compose un artiste touchant dans un film ronflant. C'est finalement assez raccord.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Au coeur de ce tourbillon se dessine le portrait d'un peintre inaccompli, que Gallienne compose de manière inégale : parfois impressionnant et parfois trop exubérant, l'acteur du Français, plus présent que Canet à l'écran, finit par faire de l'ombre au tableau.
Voici
par Lola Sciamma
Danièle Thompson tente le film d'époque qui fleure bon l'absinthe et filme ce lien indéfectible entre deux artistes comme une véritable histoire d'amour.
aVoir-aLire.com
par Claudne Levanneur
Une incursion étayée et intéressante dans la vie de deux artistes majeurs du XIXème siècle, malheureusement freinée dans sa magnificence par une réalisation inégale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Cette critique est un peu ennuyeuse. Comme le film. Qui n'est pas mauvais non plus. Il est, comme souvent chez Danièle Thompson, trop repassé, trop sage, avec des boutons bien cousus et de l'herbe bien verte.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L’indigestion guette. Sur le papier, "Cézanne et moi" paraît très éloigné des comédies bourgeoises concoctées ordinairement par Danièle Thompson, mais à l’écran, ça y ressemble pourtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Amoureuse de son sujet, Danièle Thompson n’échappe pas aux chausse-trappes du film historique : reconstitution trop apprêtée et souci consciencieux de tout relater, sans ligne directrice suffisamment forte pour charpenter l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ici contés, de 1852 à 1899, leurs destins, leurs affres, et ceux de leurs proches pris en mains par des acteurs d’ordinaire plus justes. Sans doute souffrent-ils de déambuler dans des images d’Épinal, des reconstitutions dignes de téléfilms vermoulus (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Couleurs, paysages, costumes, accessoires, casting : tout est léché, rien ne manque. Sauf une vraie vision.
Le Figaro
par Eric Biétry-Rivierre
Avec Gallienne et Canet, Cézanne et Zola montent donc sur le ring pour un affrontement devant la postérité. Las: ce match au sommet fait d'images d'Épinal s'épuise aussi vite qu'un calisson s'avale. On ne voit que les vedettes derrière leur maquillage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Eric Biétry-Rivierr
La reconstitution est intéressante, mais le film moins. Là où le bât blesse, c’est l’interprétation. Passe encore pour un Zola/Canet très effacé (on se demande comment la colère du J’accuse a pu naître). Mais Gallienne est mal vieilli, son accent aixois approximatif, son dandysme naturel guère gommé. La rusticité de l’ermite du chemin des Lauves ne lui sied pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Noémie Luciani
Voilà un beau projet, et une histoire mal connue et superbe, à laquelle on aurait aimé pouvoir se donner sans réserve pendant les presque deux heures que dure "Cézanne et moi". Qu’est-ce qui nous en éloigne donc ? Peut-être le montage impressionniste, dont les allers-retours entre les époques brouillent les correspondances plus qu’ils n’en génèrent, coupent les fils plus souvent qu’ils les nouent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Sans être indignes, réalisation et scénario manquent de l'acuité d'un point de vue réellement personnel.
Libération
par Judicaël Lavrador
Le film devient, à force, une espèce d’adaptation de scènes vues en peintures ou dans les documents d’archives que la réalisatrice reconnaît d’ailleurs avoir massivement consulté. Cette part décorative et l’hystérisation de la figure du génie qui est son corollaire (...) nourrissent ainsi une impression lancinante de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Gallienne et Canet inspirés dans un film déséquilibré.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
On croise les doigts pour Cézanne et moi, qui aura toutes ses chances aux prochains Césars s’il est nommé dans les catégories « meilleure fausse barbe », « meilleur faux accent du Sud », et peut-être surtout « meilleure introduction subtile à un grand artiste », pour une de ces petites phrases qui ponctuent si souvent le film, au choix : « Tu as dit bonjour à Manet ? », « Et tu en penses quoi, Pissarro ? » ou « Hé, salut Morisot ! »
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Bref "Cézanne et Moi" raconte une histoire siliconée. Ce n'est pas du cinéma, c'est du tuning. Dès lors une question se pose : Danièle Thompson n'aurait-elle pas misé sur les Oscars — son film figure dans la première sélection française ? Outre-Atlantique, c'est peut-être une toile. Chez nous, c'est une croûte.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Zola est joué par un Guillaume Canet aussi expressif qu'un caillou dans un torrent provençal, Cézanne par un Guillaume Gallienne grimé en Jean-Claude Brialy dans "Le Genou de Claire", mais en moins drôle. (...) On se retrouve avec une croûte, même pas digne de figurer sur le couvercle en tôle d'un boîte de biscuits.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'amitié peut-elle résister à une telle différence de sorts quand on a tout partagé ? L'art est-il au-dessus des vanités ? L'art est-il plus grand que ceux qui le pratiquent ? Ce sont peut-être des questions que Danièle Thompson s'est posées quand elle a eu le projet de "Cézanne et moi". Mais elles se sont fondues à la pâte générale, pigmentée à mort mais inerte.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
Il y a dix minutes pas mal dans "Cézanne et moi" (...). Mais dès que Guillaume Canet (très mal à l'aise) et Guillaume Gallienne (en surchauffe) sont à l'écran, c'est la cata. (...) Et la réalisation, décorative, donne moins l'impression de regarder un film que de feuilleter la brochure d'un antiquaire hors de prix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Entre vérité et fiction, le drame propose une grille de lecture captivante de cette brouille passée à la postérité. Le film dégage également une réflexion intéressante sur ce qu’exige la création artistique. Enfin, si parfois les acteurs peinent à s’effacer pour incarner totalement leurs imposants personnages, ceux-ci distillent une belle alchimie à l’écran.
Elle
Comment a-t-on pu ignorer si longtemps l’amitié qui unissait depuis l’enfance Paul Cézanne et Émile Zola, deux monuments de la culture française ? Séance de rattrapage dans les salles mercredi avec "Cézanne et moi", signé Danièle Thompson. Pour servir cette histoire bouleversante, la réalisatrice a choisi Gallienne et Canet, deux Guillaume ultra conquérants.
Femme Actuelle
Une belle réflexion sur le statut d'artiste, portée par deux Guillaume en costumes, au diapason.
Ouest France
Le film aurait pu sombrer dans le didactisme ou la leçon d'histoire, mais Thompson filme l'amitié qui se brise par touches impressionnistes.
Télé 2 semaines
C’est peut-être très didactique et descriptif, mais le récit de presque deux heures, ponctué de flash-back dynamiques, reste fluide. L’ensemble est classique, soigné du point de vue des décors et de l’image.
Franceinfo Culture
Danièle Thompson ne cherche pas à réaliser un film sur l’art, mais sur les rapports humains qui motivent deux êtres d’exception.
LCI
Si la mise en scène et la narration restent assez classiques, le duo d’acteurs, très investi, et l’intérêt même de cette amitié méconnue captivent. Pédagogique et raffiné, à défaut d’être original.
Le Journal du Dimanche
Malgré un recours aux flash-back trop systématique et une facture classique, un film réussi.
Positif
Gallienne compose un artiste touchant dans un film ronflant. C'est finalement assez raccord.
Première
Au coeur de ce tourbillon se dessine le portrait d'un peintre inaccompli, que Gallienne compose de manière inégale : parfois impressionnant et parfois trop exubérant, l'acteur du Français, plus présent que Canet à l'écran, finit par faire de l'ombre au tableau.
Voici
Danièle Thompson tente le film d'époque qui fleure bon l'absinthe et filme ce lien indéfectible entre deux artistes comme une véritable histoire d'amour.
aVoir-aLire.com
Une incursion étayée et intéressante dans la vie de deux artistes majeurs du XIXème siècle, malheureusement freinée dans sa magnificence par une réalisation inégale.
L'Express
Cette critique est un peu ennuyeuse. Comme le film. Qui n'est pas mauvais non plus. Il est, comme souvent chez Danièle Thompson, trop repassé, trop sage, avec des boutons bien cousus et de l'herbe bien verte.
L'Obs
L’indigestion guette. Sur le papier, "Cézanne et moi" paraît très éloigné des comédies bourgeoises concoctées ordinairement par Danièle Thompson, mais à l’écran, ça y ressemble pourtant.
La Croix
Amoureuse de son sujet, Danièle Thompson n’échappe pas aux chausse-trappes du film historique : reconstitution trop apprêtée et souci consciencieux de tout relater, sans ligne directrice suffisamment forte pour charpenter l’ensemble.
La Voix du Nord
Ici contés, de 1852 à 1899, leurs destins, leurs affres, et ceux de leurs proches pris en mains par des acteurs d’ordinaire plus justes. Sans doute souffrent-ils de déambuler dans des images d’Épinal, des reconstitutions dignes de téléfilms vermoulus (...).
Le Dauphiné Libéré
Couleurs, paysages, costumes, accessoires, casting : tout est léché, rien ne manque. Sauf une vraie vision.
Le Figaro
Avec Gallienne et Canet, Cézanne et Zola montent donc sur le ring pour un affrontement devant la postérité. Las: ce match au sommet fait d'images d'Épinal s'épuise aussi vite qu'un calisson s'avale. On ne voit que les vedettes derrière leur maquillage.
Le Figaroscope
La reconstitution est intéressante, mais le film moins. Là où le bât blesse, c’est l’interprétation. Passe encore pour un Zola/Canet très effacé (on se demande comment la colère du J’accuse a pu naître). Mais Gallienne est mal vieilli, son accent aixois approximatif, son dandysme naturel guère gommé. La rusticité de l’ermite du chemin des Lauves ne lui sied pas.
Le Monde
Voilà un beau projet, et une histoire mal connue et superbe, à laquelle on aurait aimé pouvoir se donner sans réserve pendant les presque deux heures que dure "Cézanne et moi". Qu’est-ce qui nous en éloigne donc ? Peut-être le montage impressionniste, dont les allers-retours entre les époques brouillent les correspondances plus qu’ils n’en génèrent, coupent les fils plus souvent qu’ils les nouent.
Les Fiches du Cinéma
Sans être indignes, réalisation et scénario manquent de l'acuité d'un point de vue réellement personnel.
Libération
Le film devient, à force, une espèce d’adaptation de scènes vues en peintures ou dans les documents d’archives que la réalisatrice reconnaît d’ailleurs avoir massivement consulté. Cette part décorative et l’hystérisation de la figure du génie qui est son corollaire (...) nourrissent ainsi une impression lancinante de déjà-vu.
Studio Ciné Live
Gallienne et Canet inspirés dans un film déséquilibré.
Cahiers du Cinéma
On croise les doigts pour Cézanne et moi, qui aura toutes ses chances aux prochains Césars s’il est nommé dans les catégories « meilleure fausse barbe », « meilleur faux accent du Sud », et peut-être surtout « meilleure introduction subtile à un grand artiste », pour une de ces petites phrases qui ponctuent si souvent le film, au choix : « Tu as dit bonjour à Manet ? », « Et tu en penses quoi, Pissarro ? » ou « Hé, salut Morisot ! »
Le Parisien
Bref "Cézanne et Moi" raconte une histoire siliconée. Ce n'est pas du cinéma, c'est du tuning. Dès lors une question se pose : Danièle Thompson n'aurait-elle pas misé sur les Oscars — son film figure dans la première sélection française ? Outre-Atlantique, c'est peut-être une toile. Chez nous, c'est une croûte.
Les Inrockuptibles
Zola est joué par un Guillaume Canet aussi expressif qu'un caillou dans un torrent provençal, Cézanne par un Guillaume Gallienne grimé en Jean-Claude Brialy dans "Le Genou de Claire", mais en moins drôle. (...) On se retrouve avec une croûte, même pas digne de figurer sur le couvercle en tôle d'un boîte de biscuits.
Sud Ouest
L'amitié peut-elle résister à une telle différence de sorts quand on a tout partagé ? L'art est-il au-dessus des vanités ? L'art est-il plus grand que ceux qui le pratiquent ? Ce sont peut-être des questions que Danièle Thompson s'est posées quand elle a eu le projet de "Cézanne et moi". Mais elles se sont fondues à la pâte générale, pigmentée à mort mais inerte.
Télérama
Il y a dix minutes pas mal dans "Cézanne et moi" (...). Mais dès que Guillaume Canet (très mal à l'aise) et Guillaume Gallienne (en surchauffe) sont à l'écran, c'est la cata. (...) Et la réalisation, décorative, donne moins l'impression de regarder un film que de feuilleter la brochure d'un antiquaire hors de prix.