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Il ne s’agit pas de négliger ce que "l’Avenir" doit à Mia Hansen-Løve, qui est considérable, mais enfin, de la première à la dernière image, le film, c’est Isabelle Huppert. Au point qu’on ne saurait dire qui, du personnage ou de la comédienne, habite l’autre. L’intelligence de la jeune réalisatrice est d’avoir rendu possible cette confusion, cette alchimie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un ours d’argent à Berlin, un prix de la presse à Valenciennes... Mia Hansen-Løve collectionne les lauriers. Son cinquième long métrage, plus encore que les précédents, est tout de contrastes. À la fois intellectuel et sensuel, sombre et lumineux, élégiaque et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
"(…) on croit d’abord voir un joli film de plus, sans plus, et in fine on est subjugué par une beauté sans apprêt, une complexité jamais rambarde et une richesse de sens qui nous élève.
Une famille explorée avec tact et délicatesse par une cinéaste sensible, combative et émancipée, qui sait mettre en valeur les qualités et les défauts de ses personnages, les rendre humains tout simplement, si proches de nous…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Et c’est tout l’art de Mia Hansen-Løve, parfaitement servie par une Isabelle Huppert malléable à souhait, que d’éviter les clichés pour observer au plus près, de façon aussi simple que pénétrante, ce qu’il y a de fort et de faible, de léger et de mélancolique, de doux et de cruel dans cette façon qu’a Nathalie de vivre cette nouvelle vie avec soi, en courant sans cesse comme pour prendre le temps au piège, avant de se poser, dans un superbe plan fixe final qui, tout de sérénité, dit enfin l’apaisement.
Un art de capter l’intimité de l’être, autour d’un personnage dont Isabelle Huppert, courant sans cesse comme pour prendre le temps au piège, fait sentir, sous une apparente maîtrise, les tremblements profonds.
"L'Avenir" n'a rien de cumulatif, de démonstratif, de pesant. Il avance subtilement, avec toute la fluidité de la vie, qquand bien même celle-ci charrie un tel flot d'amertume.
Isabelle Huppert, pour qui le rôle a été écrit sur mesure par Mia Hansen-Løve, est encore une fois épatante de justesse dans la peau de cette femme à la fois forte et un peu paumée, qui trouve des ressources dans la pensée et les livres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La réalisatrice (...) trouve le parfait équilibre entre le désarroi inévitable de son héroïne et sa force de caractère, et signe son film le plus fédérateur, limpide et émouvant à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Récompensée pour sa mise en scène à Berlin, la réalisatrice française Mia Hansen-Love signe son meilleur film à ce jour, avec une parfaite Isabelle Huppert.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le film accorde autant d'importance aux mots qu'au silence. (...) L'humour (bienvenu et nouveau), (...) s'invite aussi. Et puis il y a Isabelle Huppert, émouvante, qui ne cesse de trotter, dans la panique. Et qui chemine aussi, ouverte à tous les possibles, dans un présent qui semble infini.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Au-delà du portrait de -l’actrice, que n’ont pas forcément réussi tous les cinéastes ayant tourné avec Isabelle Huppert, c’est de l’assurance troublante de son jeu que se sert Mia Hansen-Løve pour raconter l’histoire de quelqu’un qui tient bon autant qu’il chancelle.
Portée par une caméra toujours en mouvement, Isabelle Huppert, lumineuse et drôle, réussit une nouvelle fois à se réinventer, entre gravité existentielle et légèreté juvénile, avec un charme irrésistible.
On aurait mauvais jeu de reprocher à "L’Avenir" les distinctions reçues, mais il aurait peut-être été salutaire que se fendille un peu plus sa surface si lisse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette œuvre tournée « à l’os », confinée dans un petit milieu social et culturel, ponctuée de dialogues à la tonalité pas toujours très juste, a souvent de quoi agacer. Sa cérébralité la rend hélas très extérieure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Femme Actuelle
L'avenir semble tout tracé pour ce film tout aussi subtil qu'accessible, d'une fluidité si bien maîtrisée.
L'Obs
Il ne s’agit pas de négliger ce que "l’Avenir" doit à Mia Hansen-Løve, qui est considérable, mais enfin, de la première à la dernière image, le film, c’est Isabelle Huppert. Au point qu’on ne saurait dire qui, du personnage ou de la comédienne, habite l’autre. L’intelligence de la jeune réalisatrice est d’avoir rendu possible cette confusion, cette alchimie.
La Voix du Nord
Un ours d’argent à Berlin, un prix de la presse à Valenciennes... Mia Hansen-Løve collectionne les lauriers. Son cinquième long métrage, plus encore que les précédents, est tout de contrastes. À la fois intellectuel et sensuel, sombre et lumineux, élégiaque et mélancolique.
Les Inrockuptibles
"(…) on croit d’abord voir un joli film de plus, sans plus, et in fine on est subjugué par une beauté sans apprêt, une complexité jamais rambarde et une richesse de sens qui nous élève.
20 Minutes
Une famille explorée avec tact et délicatesse par une cinéaste sensible, combative et émancipée, qui sait mettre en valeur les qualités et les défauts de ses personnages, les rendre humains tout simplement, si proches de nous…
Bande à part
Un drôle de grand film triste et optimiste.
Critikat.com
Mia Hansen-Løve trouve enfin une forme d’apaisement serein et lumineux dans ce très beau film (...).
La Septième Obsession
La grande question qui est peut-être au fond celle de tout le cinéma de Mia Hansen-Løve comment raccorder, dans un même plan, liberté et solitude ?
Le Dauphiné Libéré
Et c’est tout l’art de Mia Hansen-Løve, parfaitement servie par une Isabelle Huppert malléable à souhait, que d’éviter les clichés pour observer au plus près, de façon aussi simple que pénétrante, ce qu’il y a de fort et de faible, de léger et de mélancolique, de doux et de cruel dans cette façon qu’a Nathalie de vivre cette nouvelle vie avec soi, en courant sans cesse comme pour prendre le temps au piège, avant de se poser, dans un superbe plan fixe final qui, tout de sérénité, dit enfin l’apaisement.
Le Dauphiné Libéré
Un art de capter l’intimité de l’être, autour d’un personnage dont Isabelle Huppert, courant sans cesse comme pour prendre le temps au piège, fait sentir, sous une apparente maîtrise, les tremblements profonds.
Le Figaroscope
Une mise en scène légère, allusive, tout en atmosphères, mais qui ne manque pas d’ampleur.
Le Monde
"L'Avenir" n'a rien de cumulatif, de démonstratif, de pesant. Il avance subtilement, avec toute la fluidité de la vie, qquand bien même celle-ci charrie un tel flot d'amertume.
Le Parisien
Isabelle Huppert, pour qui le rôle a été écrit sur mesure par Mia Hansen-Løve, est encore une fois épatante de justesse dans la peau de cette femme à la fois forte et un peu paumée, qui trouve des ressources dans la pensée et les livres.
Les Fiches du Cinéma
Un drame intelligent, illuminé par une Isabelle Huppert plus juste que jamais.
Marianne
La rencontre est belle, d'une lucidité parfois cruelle nourie d'un humour bienfaisant.
Metro
La réalisatrice (...) trouve le parfait équilibre entre le désarroi inévitable de son héroïne et sa force de caractère, et signe son film le plus fédérateur, limpide et émouvant à ce jour.
Paris Match
Récompensée pour sa mise en scène à Berlin, la réalisatrice française Mia Hansen-Love signe son meilleur film à ce jour, avec une parfaite Isabelle Huppert.
Studio Ciné Live
La cinéaste n'a pas volé son prix de la mise en scène à Berlin.
Sud Ouest
"L'Avenir" est incertain mais joue avec prodige de cette incertitude, bien plus ancré dans le réel qu'il n'y paraît.
Télérama
Le film accorde autant d'importance aux mots qu'au silence. (...) L'humour (bienvenu et nouveau), (...) s'invite aussi. Et puis il y a Isabelle Huppert, émouvante, qui ne cesse de trotter, dans la panique. Et qui chemine aussi, ouverte à tous les possibles, dans un présent qui semble infini.
Cahiers du Cinéma
Au-delà du portrait de -l’actrice, que n’ont pas forcément réussi tous les cinéastes ayant tourné avec Isabelle Huppert, c’est de l’assurance troublante de son jeu que se sert Mia Hansen-Løve pour raconter l’histoire de quelqu’un qui tient bon autant qu’il chancelle.
Le Journal du Dimanche
Portée par une caméra toujours en mouvement, Isabelle Huppert, lumineuse et drôle, réussit une nouvelle fois à se réinventer, entre gravité existentielle et légèreté juvénile, avec un charme irrésistible.
Libération
On aurait mauvais jeu de reprocher à "L’Avenir" les distinctions reçues, mais il aurait peut-être été salutaire que se fendille un peu plus sa surface si lisse.
Positif
Cette seconde partie nettement plus habitée fait d'ailleurs s'interroger sur la nécessité de faire exister la première à part entière.
TF1 News
Un peu cérébral mais Huppert est extraordinaire, comme d'habitude.
L'Express
C'est un film sans risques qui plaira pour cette raison à ceux qui y voient la touche si française d'un cinéma de l'entre-soi.
La Croix
Cette œuvre tournée « à l’os », confinée dans un petit milieu social et culturel, ponctuée de dialogues à la tonalité pas toujours très juste, a souvent de quoi agacer. Sa cérébralité la rend hélas très extérieure.