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24 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Passionnant et juste, militant, "Free State of Jones" fait souffler un vent de civisme et de tolérance. Matthew McConaughey est remarquable dans la peau du leader humaniste et charismatique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Etienne Sorin
Gary Ross a le métier et le coffre pour donner du souffle à sa fresque épique. La Française Juliette Welfling, monteuse attitrée de Jacques Audiard, ne démérite pas pour faire tenir la petite histoire et la grande.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est magnifiquement porté par Matthew McConaughey, mais aussi Mahershala Ali ou Gugu Mbatha-Raw.
Positif
par Pierre Eisenreich
Nous saluons une fois de plus l'interprétation exceptionnelle de Matthew McConaughey, si nuancée dans la droiture du parcours du Newt Knight où l'humilité du temps vient supplanter son héroïsme par ses choix successifs pour la survie et le vivre ensemble d'une nation à faire renaître.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Au-delà de la référence à la géopolitique contemporaine (...), l'esprit de ce conte rebelle poursuit singulièrement celui de la saga "Hunger Games", dont le même Gary Ross, qui affirme une étonnante cohérence, a réalisé le premier et meilleur épisode.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
Une fresque plus audacieuse qu’il n’y paraît, oscillant avec habileté entre l’œuvre pédagogique, la fresque épique, et la dénonciation radicale de l’esclavage, celle que l’on retrouvait dans le "12 Years a Slave" de Steve McQueen, le voyeurisme en moins, la pertinence en plus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
On retiendra quelques passages fiévreux, et bien sûr le regard embrasé de McConaughey, empli de cette indignation qui préside aux luttes que l’on sait perdues d’avance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
"Free State of Jones" demeure un objet de cinéma intéressant, pétri de contradictions mais foisonnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Deux beaux sujets qui auraient dû faire deux films, et non un seul : l’ensemble est long, trop long, malgré l’intensité de l’interprétation de Matthew McConaughey. Dommage : il y a là un film formidable, si le réalisateur consentait à couper quarante-cinq minutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Si sur le papier l’histoire est passionnante, et ses thématiques hyper actuelles, sa transposition à l’écran est frustrante. La reconstitution est splendide, Matthew McConaughey est habité de bout en bout comme souvent. Dommage que le scénario, trop scolaire, et la réalisation, trop sage, peinent à donner de l’épaisseur, du nerf, à l’ensemble.
La Croix
par Marie Soyeux
En abordant l’esclavage pendant la guerre de Sécession, Free State of Jones gratte les plaies de l’histoire américaine… avec, hélas, tous les travers dont le cinéma américain est capable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Renaud Baronian
"Free State of Jones" souffre néanmoins de trop de longueurs. A voir tout de même pour la performance, une fois de plus bluffante, de Matthew McConaughey, impressionnant en meneur hirsute et jusqu'auboutiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Et, malgré de nombreuses morts tragiques et quelques moments émouvants, il finit pas délivrer une leçon d'histoire didactique, bien loin d'un drame passionné.
Voici
par La Rédaction
Un biopic classique vu sous un angle héroïque.
GQ
par Toma Clarac
Passé la première partie du film, on ne sait plus si l'acteur s'épuise de lui-même à force d'en faire trop, ou si c'est le poids du film qui l'écrase parce qu'il n'a personne d'autre sur qui s'appuyer.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Christophe Carrière
Le film enchaîne sagement les séquences, alternance d'action et de discours, sans que jamais l'émotion ou un quelconque souffle épique ne pointe le bout de son nez. Cela dit, il y a Matthew McConaughey, comme toujours parfait.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les rebondissements de cette rébellion politique sont relatés avec une fougue épique dans la première partie. Mais en voulant décrire avec trop d’exhaustivité les injustices subies par les Noirs dans le Sud, la deuxième partie ressemble à un livre d’histoire illustré.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une vaste fresque montrant le difficile passage à la liberté et à l’égalité des noirs dans les États du Sud, mais qui se perd en route dans de trop longs développements.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La violence, à la limite de la complaisance, montre la volonté de réalisme du cinéaste Gary Ross ("Hunger Games"). Le regard halluciné, Matthew McConaughey signe une composition enfiévrée, succédant à Mel Gibson époque "The Patriot" (2000) dans le rôle du renégat appliquant la loi du talion.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Matthew McConaughey est de presque tous les plans, et la perfection inébranlable de son personnage couvre le film d’une pellicule de bien-pensance qui en fait un objet presque sans saveur.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Un sujet passionnant sur le papier mais traité de manière poussive et scolaire par Gary Ross. Un film décevant et peu nécessaire.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un déserteur sudiste devient un héros de la cause afro-américaine (...). Un film plus épineux qu'il n'y paraît ; imparfait, à bien des égards, mais doté du peu d'ambiguité politique dont le "genre" a bien besoin.
Paris Match
par Yannick Vely
Malgré la conviction des acteurs, Matthew McConaughey en tête, et l'importance du sujet, "Free State of Jones" manque d'incarnation pour dépasser la simple illustration.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce beau combat est étonnamment mal servi par une reconstitution maladroite. Tantôt trop pédagogique, tantôt confus, le film déploie une ampleur digne d'une fresque historique pour mieux se perdre en route, hélas... Quelques moments réussis subsistent, qui fonctionnent surtout sur le registre symbolique : résistance et sacrifice au nom d'un idéal. Mais le sentiment de gâchis domine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Passionnant et juste, militant, "Free State of Jones" fait souffler un vent de civisme et de tolérance. Matthew McConaughey est remarquable dans la peau du leader humaniste et charismatique.
Le Figaro
Gary Ross a le métier et le coffre pour donner du souffle à sa fresque épique. La Française Juliette Welfling, monteuse attitrée de Jacques Audiard, ne démérite pas pour faire tenir la petite histoire et la grande.
Ouest France
C'est magnifiquement porté par Matthew McConaughey, mais aussi Mahershala Ali ou Gugu Mbatha-Raw.
Positif
Nous saluons une fois de plus l'interprétation exceptionnelle de Matthew McConaughey, si nuancée dans la droiture du parcours du Newt Knight où l'humilité du temps vient supplanter son héroïsme par ses choix successifs pour la survie et le vivre ensemble d'une nation à faire renaître.
Première
Au-delà de la référence à la géopolitique contemporaine (...), l'esprit de ce conte rebelle poursuit singulièrement celui de la saga "Hunger Games", dont le même Gary Ross, qui affirme une étonnante cohérence, a réalisé le premier et meilleur épisode.
aVoir-aLire.com
Une fresque plus audacieuse qu’il n’y paraît, oscillant avec habileté entre l’œuvre pédagogique, la fresque épique, et la dénonciation radicale de l’esclavage, celle que l’on retrouvait dans le "12 Years a Slave" de Steve McQueen, le voyeurisme en moins, la pertinence en plus.
Critikat.com
On retiendra quelques passages fiévreux, et bien sûr le regard embrasé de McConaughey, empli de cette indignation qui préside aux luttes que l’on sait perdues d’avance.
Ecran Large
"Free State of Jones" demeure un objet de cinéma intéressant, pétri de contradictions mais foisonnant.
L'Obs
Deux beaux sujets qui auraient dû faire deux films, et non un seul : l’ensemble est long, trop long, malgré l’intensité de l’interprétation de Matthew McConaughey. Dommage : il y a là un film formidable, si le réalisateur consentait à couper quarante-cinq minutes.
LCI
Si sur le papier l’histoire est passionnante, et ses thématiques hyper actuelles, sa transposition à l’écran est frustrante. La reconstitution est splendide, Matthew McConaughey est habité de bout en bout comme souvent. Dommage que le scénario, trop scolaire, et la réalisation, trop sage, peinent à donner de l’épaisseur, du nerf, à l’ensemble.
La Croix
En abordant l’esclavage pendant la guerre de Sécession, Free State of Jones gratte les plaies de l’histoire américaine… avec, hélas, tous les travers dont le cinéma américain est capable.
Le Parisien
"Free State of Jones" souffre néanmoins de trop de longueurs. A voir tout de même pour la performance, une fois de plus bluffante, de Matthew McConaughey, impressionnant en meneur hirsute et jusqu'auboutiste.
Studio Ciné Live
Et, malgré de nombreuses morts tragiques et quelques moments émouvants, il finit pas délivrer une leçon d'histoire didactique, bien loin d'un drame passionné.
Voici
Un biopic classique vu sous un angle héroïque.
GQ
Passé la première partie du film, on ne sait plus si l'acteur s'épuise de lui-même à force d'en faire trop, ou si c'est le poids du film qui l'écrase parce qu'il n'a personne d'autre sur qui s'appuyer.
L'Express
Le film enchaîne sagement les séquences, alternance d'action et de discours, sans que jamais l'émotion ou un quelconque souffle épique ne pointe le bout de son nez. Cela dit, il y a Matthew McConaughey, comme toujours parfait.
L'Humanité
Les rebondissements de cette rébellion politique sont relatés avec une fougue épique dans la première partie. Mais en voulant décrire avec trop d’exhaustivité les injustices subies par les Noirs dans le Sud, la deuxième partie ressemble à un livre d’histoire illustré.
Le Dauphiné Libéré
Une vaste fresque montrant le difficile passage à la liberté et à l’égalité des noirs dans les États du Sud, mais qui se perd en route dans de trop longs développements.
Le Journal du Dimanche
La violence, à la limite de la complaisance, montre la volonté de réalisme du cinéaste Gary Ross ("Hunger Games"). Le regard halluciné, Matthew McConaughey signe une composition enfiévrée, succédant à Mel Gibson époque "The Patriot" (2000) dans le rôle du renégat appliquant la loi du talion.
Le Monde
Matthew McConaughey est de presque tous les plans, et la perfection inébranlable de son personnage couvre le film d’une pellicule de bien-pensance qui en fait un objet presque sans saveur.
Les Fiches du Cinéma
Un sujet passionnant sur le papier mais traité de manière poussive et scolaire par Gary Ross. Un film décevant et peu nécessaire.
Les Inrockuptibles
Un déserteur sudiste devient un héros de la cause afro-américaine (...). Un film plus épineux qu'il n'y paraît ; imparfait, à bien des égards, mais doté du peu d'ambiguité politique dont le "genre" a bien besoin.
Paris Match
Malgré la conviction des acteurs, Matthew McConaughey en tête, et l'importance du sujet, "Free State of Jones" manque d'incarnation pour dépasser la simple illustration.
Télérama
Ce beau combat est étonnamment mal servi par une reconstitution maladroite. Tantôt trop pédagogique, tantôt confus, le film déploie une ampleur digne d'une fresque historique pour mieux se perdre en route, hélas... Quelques moments réussis subsistent, qui fonctionnent surtout sur le registre symbolique : résistance et sacrifice au nom d'un idéal. Mais le sentiment de gâchis domine.