Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une vente d’armes qui tourne mal, des trafiquants ennemis tentant de survivre à cette transaction désastreuse et une poignée d’acteurs joyeusement délirants, tels sont les ingrédients de "Free Fire", le nouveau thriller de Ben Wheatley, une pure décharge d’adrénaline ponctuée de rires macabres.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Maxime Lerolle
Un film d’action expérimental autant que jouissif, qui relève le défi de mettre en scène une fusillade de plus d’une heure.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par La Rédaction
Une série B pleine d'humour et d'adrénaline, dont on ressort... shooté.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bien que la filmographie de Ben Wheatley ne soit pas un modèle de constance, le cinéaste anglais a le mérite de ne jamais se répéter et de proposer des expériences singulières, parfois étranges et souvent jusqu’au-boutistes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Au final, difficile de ne pas tomber sous le charme de cette mauvaise troupe assoiffée de violence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce flingage général en bonne et due forme est d’un nihilisme jovial, mais sur la longueur un peu appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C'est un peu répétitif, surtout vers la fin, mais l'humour noir fait tout passer. Et le film prouve avec panache qu'un con avec un pistolet est plus dangereux qu'un con sans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cinéaste britannique orchestre un virtuose concerto pour acteurs et armes à feu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
L'intérêt de "Free Fire" ne réside pourtant pas dans ses cascades, mais dans ses dialogues et l'absurdité des situations. Pendant qu'ils se dézinguent, les gangsters fument ou devisent. "Je déteste ce p... de boulot free-lance", râle l'un, tandis qu'un autre se plaint de ce que "la poussière réveille [ses] allergies". "Je ne suis pas mort, je récupère", lâche un blessé. Un festival d'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
D’un postulat minimaliste, le génial Ben Wheatley brode une intrigue rocambolesque en forme d’humble exercice de style virtuose. Anecdotique en apparence, mais réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un huis-clos aux accents Tarantiniens rafraîchissant mais qui finit par lasser entre pétarades incessantes et dialogues peu subtils.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ben Wheatley, capable de donner de l'ampleur au jeu de massacre, le ramène souvent, comme par modestie, à sa dimension mineure, ludique et provocante. Un humour de dessin animé fuse sur ce champ de tir, autorisant tous les gags, sophistiqués ou sanguinolents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un flot de violence en guise de série B au style seventies. Le concept est creux, faussement culte, mais souvent jouissif et toujours récréatif. Il restaure l’esprit des polars volubiles des années 90 dont Tarantino était le maestro.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Comme souvent, Ben Wheatley gâche un peu la fête avec son surmoi de bricoleur filmique autosatisfait. C'est d'autant plus regrettable que pour ce qui est de la mise en scène pure de son jeu de tir, il montre quelques idées d'une inspiration sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui emprunte la structure d’un jeu vidéo, avec la distance d’une ironie qui transforme le tir nourri en exercice de style et qui offre, à coup sûr, un plaisir ludique, moins moral que régressif.
Le Figaro
par La Rédaction
Fan de Quentin Tarantino et de Sam Peckinpah, Ben Wheatley s'amuse à orchestrer une partie ensanglantée. On rit beaucoup et on s'ennuie un peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur britannique en a pourtant sous la semelle, on regrette l’audace et la fulgurance de ses premiers longs métrages ("Kill List", "Touristes"). Cette fois, son bain de sang est d’un ennui mortel.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cet imperturbable programme de zombification avancée ne parvient même pas à faire basculer ce potache jeu de massacre vers un imaginaire gothique ou expressionniste. Bon, on s’arrête là avec cette petite arnaque crapuleuse parce qu’on va finir aussi énervé que ses personnages.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
(...) la paresse du film nous rappelle vite que la légitimité du statut d'auteur peut aussi se jauger à l'aune de la médiocrité d'un réalisateur.
20 Minutes
Une vente d’armes qui tourne mal, des trafiquants ennemis tentant de survivre à cette transaction désastreuse et une poignée d’acteurs joyeusement délirants, tels sont les ingrédients de "Free Fire", le nouveau thriller de Ben Wheatley, une pure décharge d’adrénaline ponctuée de rires macabres.
L'Humanité
Un film d’action expérimental autant que jouissif, qui relève le défi de mettre en scène une fusillade de plus d’une heure.
Voici
Une série B pleine d'humour et d'adrénaline, dont on ressort... shooté.
CinemaTeaser
Bien que la filmographie de Ben Wheatley ne soit pas un modèle de constance, le cinéaste anglais a le mérite de ne jamais se répéter et de proposer des expériences singulières, parfois étranges et souvent jusqu’au-boutistes.
Ecran Large
Au final, difficile de ne pas tomber sous le charme de cette mauvaise troupe assoiffée de violence.
Franceinfo Culture
Ce flingage général en bonne et due forme est d’un nihilisme jovial, mais sur la longueur un peu appuyé.
L'Obs
C'est un peu répétitif, surtout vers la fin, mais l'humour noir fait tout passer. Et le film prouve avec panache qu'un con avec un pistolet est plus dangereux qu'un con sans.
Le Monde
Le cinéaste britannique orchestre un virtuose concerto pour acteurs et armes à feu.
Le Parisien
L'intérêt de "Free Fire" ne réside pourtant pas dans ses cascades, mais dans ses dialogues et l'absurdité des situations. Pendant qu'ils se dézinguent, les gangsters fument ou devisent. "Je déteste ce p... de boulot free-lance", râle l'un, tandis qu'un autre se plaint de ce que "la poussière réveille [ses] allergies". "Je ne suis pas mort, je récupère", lâche un blessé. Un festival d'humour noir.
Les Fiches du Cinéma
D’un postulat minimaliste, le génial Ben Wheatley brode une intrigue rocambolesque en forme d’humble exercice de style virtuose. Anecdotique en apparence, mais réjouissant.
Rolling Stone
Un huis-clos aux accents Tarantiniens rafraîchissant mais qui finit par lasser entre pétarades incessantes et dialogues peu subtils.
Télérama
Ben Wheatley, capable de donner de l'ampleur au jeu de massacre, le ramène souvent, comme par modestie, à sa dimension mineure, ludique et provocante. Un humour de dessin animé fuse sur ce champ de tir, autorisant tous les gags, sophistiqués ou sanguinolents.
aVoir-aLire.com
Un flot de violence en guise de série B au style seventies. Le concept est creux, faussement culte, mais souvent jouissif et toujours récréatif. Il restaure l’esprit des polars volubiles des années 90 dont Tarantino était le maestro.
Critikat.com
Comme souvent, Ben Wheatley gâche un peu la fête avec son surmoi de bricoleur filmique autosatisfait. C'est d'autant plus regrettable que pour ce qui est de la mise en scène pure de son jeu de tir, il montre quelques idées d'une inspiration sympathique.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui emprunte la structure d’un jeu vidéo, avec la distance d’une ironie qui transforme le tir nourri en exercice de style et qui offre, à coup sûr, un plaisir ludique, moins moral que régressif.
Le Figaro
Fan de Quentin Tarantino et de Sam Peckinpah, Ben Wheatley s'amuse à orchestrer une partie ensanglantée. On rit beaucoup et on s'ennuie un peu.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur britannique en a pourtant sous la semelle, on regrette l’audace et la fulgurance de ses premiers longs métrages ("Kill List", "Touristes"). Cette fois, son bain de sang est d’un ennui mortel.
Cahiers du Cinéma
Cet imperturbable programme de zombification avancée ne parvient même pas à faire basculer ce potache jeu de massacre vers un imaginaire gothique ou expressionniste. Bon, on s’arrête là avec cette petite arnaque crapuleuse parce qu’on va finir aussi énervé que ses personnages.
Positif
(...) la paresse du film nous rappelle vite que la légitimité du statut d'auteur peut aussi se jauger à l'aune de la médiocrité d'un réalisateur.