Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une fable joyeuse portée par Meryl Streep irrésistible, et assortie d'une morale ambiguë sur la part d'imposture tapie dans tout spectacle.
Elle
par Florence Tredez
Dans cette formidable comédie, où l’on rit autant que l’on pleure, il (Hugh Grant) est très convaincant dans la peau du mari de cette cantatrice richissime qui chantait faux jusqu’au Carnegie Hall, et dont l’histoire vraie a déjà inspiré « Marguerite », de Xavier Giannoli.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Une comédie élégante et sensible, portée par des comédiens magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Stephen Frears soigne au millimètre sa reconstitution, tant historique que sociale, dans de magnifiques décors et des costumes splendides. Son humour plein d’acuité fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Marguerite de Xavier Giannoli, le cinéaste britannique Stephen Frears consacre à son tour un beau film à la chanteuse lyrique inconsciente de sa totale absence de talent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’histoire de “Marguerite” rendue à sa véritable protagoniste et qui, commencée comme une comédie irrésistible, bascule progressivement dans l’émotion, superbement portée par une Meryl Streep qui sait tout faire, même chanter faux !
Le Monde
par Noémie Luciani
Cette Florence est loin d’avoir autant de coffre que Marguerite, mais elle inspire à Frears une fresque sentimentale bien tenue et agrémentée à bon escient d’élans comiques donnant à Simon Helberg, dans le rôle du pianiste, l’occasion d’éclipser et Meryl Streep et Hugh Grant – ce qui n’est pas peu dire.
Le Parisien
par Alain Grasset
Le film, qui alterne les scènes comiques et tragiques, doit beaucoup à l'interprétation parfaite de Meryl Streep, avec ce personnage à la fois exubérant et souffrant (car malade de la syphilis), et un Hugh Grant au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Peu novateur, le film de Frears est toutefois une bouffée d'air pur, porté par un duo d'acteurs empreint de charme et de talent.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste anglais brosse un portrait puissant, allant du mensonge intime et social à la vérité la plus profonde.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Une comédie chic sur le ridicule bourgeois.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Quelques mois après Marguerite de Xavier Giannoli, Stephen Frears repasse une couche sur la figure de Florence Foster Jenkins. Alors, Frears ou Giannoli, qui gagne ? Le premier, haut la main.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On aurait préféré que Frears ne rajoute pas du kitsch au kitsch naturel du sujet, mais il se tire relativement bien de l’exercice, grâce au concours des acteurs principaux, Meryl Streep (Florence) et Hugh Grant (son mari), qui rendent la farce émouvante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Voilà qui convient bien à Meryl Streep, laquelle règne sans partage sur ce film irréprochable, mais dépourvu de cette passion qui, précisément, fondait Mrs Jenkins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Meryl Streep, flamboyante, fait son numéro sous le regard éberlué de l’excellent Hugh Grant, entre tendresse et humour à froid.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le sujet du film est la croyance en quelqu'un quand bien même personne, à part ce quelqu'un, ne se fait d'illusions (...) et c'est ce pur geste d'amour, envers et contre tout, d'un paon vers une oie, qui nous émeut tant.
Metro
par Marilyne Letertre
La première qualité de "Florence Foster Jenkins", c’est lui : le revenant Hugh Grant. Depuis "Quatre Mariages et un enterrement" ou "Notting Hill", l’acteur n’avait pas été aussi drôle et attendrissant que dans la peau de St Clair (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Frédéric Foubert
Cinéaste de l'arnaque et de l'imposture, Frears cherche portant moins ici l'âpreté que la bienveillance feel-good, au risque de la mièvrerie.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le film moyen par excellence.
Télérama
par Samuel Douhaire
Hugh Grant, jamais vu aussi bon, apporte son irrésistible don comique, puis une émotion bouleversante à cet être médiocre, soudain admirable. On peut aller voir le film rien que pour lui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicolas Maille
(...) l’ensemble est bien trop paresseusement accordé pour rendre complètement justice à cette Castafiore qui aurait mérité d’être dépeinte en mode majeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Thierry Cheze
A l'image de Meryl Streep, une sobriété bienvenue domine. Mais il manque ce regard piquant auquel nous a habitués le metteur en scène de "The Queen" pour offrir un peu d'aspérités à un film trop scolaire pour emporter le morceau.
Ouest France
Une fable joyeuse portée par Meryl Streep irrésistible, et assortie d'une morale ambiguë sur la part d'imposture tapie dans tout spectacle.
Elle
Dans cette formidable comédie, où l’on rit autant que l’on pleure, il (Hugh Grant) est très convaincant dans la peau du mari de cette cantatrice richissime qui chantait faux jusqu’au Carnegie Hall, et dont l’histoire vraie a déjà inspiré « Marguerite », de Xavier Giannoli.
Femme Actuelle
Une comédie élégante et sensible, portée par des comédiens magnifiques.
Franceinfo Culture
Stephen Frears soigne au millimètre sa reconstitution, tant historique que sociale, dans de magnifiques décors et des costumes splendides. Son humour plein d’acuité fait merveille.
La Croix
Après Marguerite de Xavier Giannoli, le cinéaste britannique Stephen Frears consacre à son tour un beau film à la chanteuse lyrique inconsciente de sa totale absence de talent.
Le Dauphiné Libéré
L’histoire de “Marguerite” rendue à sa véritable protagoniste et qui, commencée comme une comédie irrésistible, bascule progressivement dans l’émotion, superbement portée par une Meryl Streep qui sait tout faire, même chanter faux !
Le Monde
Cette Florence est loin d’avoir autant de coffre que Marguerite, mais elle inspire à Frears une fresque sentimentale bien tenue et agrémentée à bon escient d’élans comiques donnant à Simon Helberg, dans le rôle du pianiste, l’occasion d’éclipser et Meryl Streep et Hugh Grant – ce qui n’est pas peu dire.
Le Parisien
Le film, qui alterne les scènes comiques et tragiques, doit beaucoup à l'interprétation parfaite de Meryl Streep, avec ce personnage à la fois exubérant et souffrant (car malade de la syphilis), et un Hugh Grant au diapason.
Les Fiches du Cinéma
Peu novateur, le film de Frears est toutefois une bouffée d'air pur, porté par un duo d'acteurs empreint de charme et de talent.
Sud Ouest
Le cinéaste anglais brosse un portrait puissant, allant du mensonge intime et social à la vérité la plus profonde.
Voici
Une comédie chic sur le ridicule bourgeois.
Cahiers du Cinéma
Quelques mois après Marguerite de Xavier Giannoli, Stephen Frears repasse une couche sur la figure de Florence Foster Jenkins. Alors, Frears ou Giannoli, qui gagne ? Le premier, haut la main.
L'Humanité
On aurait préféré que Frears ne rajoute pas du kitsch au kitsch naturel du sujet, mais il se tire relativement bien de l’exercice, grâce au concours des acteurs principaux, Meryl Streep (Florence) et Hugh Grant (son mari), qui rendent la farce émouvante.
L'Obs
Voilà qui convient bien à Meryl Streep, laquelle règne sans partage sur ce film irréprochable, mais dépourvu de cette passion qui, précisément, fondait Mrs Jenkins.
Le Journal du Dimanche
Meryl Streep, flamboyante, fait son numéro sous le regard éberlué de l’excellent Hugh Grant, entre tendresse et humour à froid.
Les Inrockuptibles
Le sujet du film est la croyance en quelqu'un quand bien même personne, à part ce quelqu'un, ne se fait d'illusions (...) et c'est ce pur geste d'amour, envers et contre tout, d'un paon vers une oie, qui nous émeut tant.
Metro
La première qualité de "Florence Foster Jenkins", c’est lui : le revenant Hugh Grant. Depuis "Quatre Mariages et un enterrement" ou "Notting Hill", l’acteur n’avait pas été aussi drôle et attendrissant que dans la peau de St Clair (...).
Première
Cinéaste de l'arnaque et de l'imposture, Frears cherche portant moins ici l'âpreté que la bienveillance feel-good, au risque de la mièvrerie.
Studio Ciné Live
Le film moyen par excellence.
Télérama
Hugh Grant, jamais vu aussi bon, apporte son irrésistible don comique, puis une émotion bouleversante à cet être médiocre, soudain admirable. On peut aller voir le film rien que pour lui.
Critikat.com
(...) l’ensemble est bien trop paresseusement accordé pour rendre complètement justice à cette Castafiore qui aurait mérité d’être dépeinte en mode majeur.
L'Express
A l'image de Meryl Streep, une sobriété bienvenue domine. Mais il manque ce regard piquant auquel nous a habitués le metteur en scène de "The Queen" pour offrir un peu d'aspérités à un film trop scolaire pour emporter le morceau.