Note moyenne
3,5
19 titres de presse
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La Voix du Nord
Olivier Gourmet, toujours parfait, toujours à l’affût quand il s’agit d’aborder des rivages nouveaux. Face à lui, Georgia Scalliet, droite dans les bottes d’un magnifique personnage sacrificiel.
20 Minutes
Pour son premier rôle au cinéma, Georgia Scalliet, pensionnaire de la Comédie-Française depuis 2009, dévore l’écran à grosses bouchées (...). L’actrice peut se rassurer : la puissance de sa prestation est l’un des points forts d’un film sensible.
Femme Actuelle
Une histoire d’amour passionnelle, sensuelle et lente, lourde en regards et en silence, magnifiquement interprétée par Georgia Scalliet, la révélation du film.
L'Express
Tout est surprenant dans ce film, qui se déroule en 1918, avant la fin de la guerre, à commencer par son intrigue. (...) Et c'est finalement de sexualité dont traite ce beau poème champêtre.
Le Dauphiné Libéré
Un beau film, tout de sensibilité et de justesse, et une révélation : Georgia Scalliet.
Le Parisien
"L'Odeur de la mandarine", qui évoque à la fois le nom du cheval, Mandarine, et une métaphore d'accouplement, est une réussite de mise en scène et d'interprétation.
Ouest France
Le scénario (...) évite les facilités d'écriture. Et ménage ici et là des rebondissements habiles qui aiguisent notre attention.
Première
Ce récit subtil sur le deuil et le désir décrit comment la maîtrise des sentiments et le retour du corps dans un univers corseté et désincarné amènent à une progressive renaissance.
Studio Ciné Live
Un portrait inédit d'une figure féminine incandescente et novatrice.
Télé 7 Jours
Imaginé par le réalisateur Gilles Legrand, le scénario original s'inscrit dans une veine romanesque et littéraire très séduisante. (...) Le récit de cette double rédemption recèle une infinie justesse et une sensibilité rare.
Télérama
Chaque scène, en intérieur, ou dans une nature teintée de féerie, séduit par sa qualité d'écriture et sa tension sensuelle, magnifiée par la photo d'Yves Angelo.
La Croix
La première partie du film est une réussite, la seconde hélas moins. Le personnage de cette femme libre, à la fois incapable de faire son deuil d’un être cher et en quête de sensualité, porte d’intéressants paradoxes.
Le Journal du Dimanche
Si le mélo historique sombre un peu dans la mièvrerie romantique, on se régale du jeu de l’amour joyeusement libertin auquel se livrent le débonnaire Olivier Gourmet et la belle Georgia Scalliet, (...) dont le talent, tout en audace et en impertinence, explose sur grand écran.
Le Monde
Frustrante parfois, en dépit de l'intensité remarquable du jeu de Georgia Scalliet, la retenue du film a cependant du sens : elle dit le traumatisme d'une guerre vécue de loin, qui dure et fait souffrir les cœurs de s'éprendre encore quand les corps sont éteints.
Les Fiches du Cinéma
Péchant par excès d'académisme, le film de Gilles Legrand est néanmoins porté par des comédiens attachants.
Positif
Drôle de film donc ; quelque chose comme un scénario de Buñuel tourné par... Gilles Legrand.
aVoir-aLire.com
Le mélange de ton, dans cette oeuvre où le corps exalte le désir et qui tend in fine vers plus de gravité, déroute.
Franceinfo Culture
Gilles Legrand a réalisé un film romantique, gorgé de métaphores et de nature, aux dépens, peut-être, de ses personnages.
Les Inrockuptibles
Un soldat mutilé, une jolie infirmière... Du romanesque en costumes qui sent un peu le grenier.