Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cette offre d’alternative au cinéma balisé hollywoodien était inespérée. Le résultat dément tient du miracle. Tout simplement immanquable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Gore Verbinski ne s’en cache pas : avec "A Cure for life", il a souhaité faire frissonner et réfléchir sur la société de consommation. Il y parvient en envoyant un loup de Wall Street aux dents qui rayent le plancher à la recherche d’un confrère retiré dans une étrange clinique suisse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
En guise de traitement, le spectateur-buvard subit un protocole de crises hallucinatoires : visions suspendues qui accompagnent la lente descente dans ce château organique, l’idée-force « the sickness in everything » impulsant jusqu’aux mouvements de caméra ou à la gestuelle des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’épouvante qui suit un peu longuement les règles du genre, mais qui y ajoute l’ambition formelle d’un style.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dès les premières secondes, on est plongé dans une atmosphère à la fois malsaine et mélancolique, le récit distillant ses indices au comptegouttes pour entretenir le mystère.
Le Parisien
par Michel Valentin
Pour faire peur, on peut tout miser sur les images chocs, les effets spéciaux, les scènes violentes. Pas le style de Gore Verbinski, réalisateur des trois premiers "Pirates des Caraïbes", qui décide a contrario d'opter pour un rythme assez lent - parfois un peu trop -, une lente plongée vers les ténèbres, une atmosphère de plus en plus étouffante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
Traité comme un paria depuis l’échec critique et public de Lone Ranger, Naissance d'un héros, Gore Verbinski revient par la « petite porte » de l’horreur à budget (relativement) modeste via un conte d’épouvante atmosphérique où se télescopent traditions et modernité, ambitions narratives et réalité cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ouest France
par S. P.
Un grand film d'horreur gothique aux images impressionnantes, dont certains passages sont littéralement traumatisants.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Il est des cures de jouvence qui font froid dans le dos. Envoûtant et dérangeant.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Après avoir signé cinq blockbusters, Gore Verbinski réalise un thriller d’épouvante au classicisme élégant.
Télérama
par Cécile Mury
Derrière sa mise en scène spectaculaire, voire tape-à-l'oeil, le film cache un hommage affectueux au cinéma de Roger Corman, période Edgar Poe ("Le Masque de la mort rouge", "La Tombe de Ligeia", "Le Corbeau"...). Comme un énorme jeu de pistes pour amoureux du cinéma bis.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Un thriller horrifique jouissif et maladroit.
Voici
par La Rédaction
Un cauchemar clinique façon "Shutter Island", visuellement superbe.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film se saborde définitivement dans un dernier acte gothique et grand-guignolesque qui entérine sa logique d’inflation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Gore Verbinski ("Pirates des Caraïbes") sait faire un bel emballage, mais où est le film ? Emietté quelque part entre le générique et le mot "fin".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le cauchemar est plaisant mais longuet. 2 h 27, on risque la cure de sommeil. A Cure for Life a beau cacher son moteur de série B sous une carrosserie rutilante, la machine patine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il n’y a presque que de mauvaises raisons d’aller voir "A Cure for Life" : le plaisir malin d’assister à un accident majeur, la joie de rire à des répliques qui n’étaient pas censées amuser, l’excitation qui vient lorsque l’on voit l’inconscient affirmer son emprise sur la raison. Mais on peut au moins accorder à Gore Verbinski (...) une audace et une culture cinématographique hors du commun.
Le Point
par Philippe Guedj
Après "The Lone Ranger", le réalisateur Gore Verbinski revient avec un film d'épouvante radical et visuellement somptueux, mais au scénario sans queue ni tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le bien nommé Gore s’amuse de nos frayeurs d’enfant et filme sa cure aux petits soins, à grand renfort de plans sophistiqués dont la composition alimente le climat d’enfermement : reflets des cieux dans le bassin, noyade amniotique, royaume cerné d’ogres et légende du passé contaminant le présent. Le film, hélas, se dévitalise par sa durée : deux heures trente.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
Cette offre d’alternative au cinéma balisé hollywoodien était inespérée. Le résultat dément tient du miracle. Tout simplement immanquable.
20 Minutes
Gore Verbinski ne s’en cache pas : avec "A Cure for life", il a souhaité faire frissonner et réfléchir sur la société de consommation. Il y parvient en envoyant un loup de Wall Street aux dents qui rayent le plancher à la recherche d’un confrère retiré dans une étrange clinique suisse.
Culturopoing.com
En guise de traitement, le spectateur-buvard subit un protocole de crises hallucinatoires : visions suspendues qui accompagnent la lente descente dans ce château organique, l’idée-force « the sickness in everything » impulsant jusqu’aux mouvements de caméra ou à la gestuelle des acteurs.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’épouvante qui suit un peu longuement les règles du genre, mais qui y ajoute l’ambition formelle d’un style.
Le Journal du Dimanche
Dès les premières secondes, on est plongé dans une atmosphère à la fois malsaine et mélancolique, le récit distillant ses indices au comptegouttes pour entretenir le mystère.
Le Parisien
Pour faire peur, on peut tout miser sur les images chocs, les effets spéciaux, les scènes violentes. Pas le style de Gore Verbinski, réalisateur des trois premiers "Pirates des Caraïbes", qui décide a contrario d'opter pour un rythme assez lent - parfois un peu trop -, une lente plongée vers les ténèbres, une atmosphère de plus en plus étouffante.
Mad Movies
Traité comme un paria depuis l’échec critique et public de Lone Ranger, Naissance d'un héros, Gore Verbinski revient par la « petite porte » de l’horreur à budget (relativement) modeste via un conte d’épouvante atmosphérique où se télescopent traditions et modernité, ambitions narratives et réalité cinématographique.
Ouest France
Un grand film d'horreur gothique aux images impressionnantes, dont certains passages sont littéralement traumatisants.
Rolling Stone
Il est des cures de jouvence qui font froid dans le dos. Envoûtant et dérangeant.
Les Fiches du Cinéma
Après avoir signé cinq blockbusters, Gore Verbinski réalise un thriller d’épouvante au classicisme élégant.
Télérama
Derrière sa mise en scène spectaculaire, voire tape-à-l'oeil, le film cache un hommage affectueux au cinéma de Roger Corman, période Edgar Poe ("Le Masque de la mort rouge", "La Tombe de Ligeia", "Le Corbeau"...). Comme un énorme jeu de pistes pour amoureux du cinéma bis.
VSD
Un thriller horrifique jouissif et maladroit.
Voici
Un cauchemar clinique façon "Shutter Island", visuellement superbe.
Critikat.com
Le film se saborde définitivement dans un dernier acte gothique et grand-guignolesque qui entérine sa logique d’inflation.
L'Obs
Gore Verbinski ("Pirates des Caraïbes") sait faire un bel emballage, mais où est le film ? Emietté quelque part entre le générique et le mot "fin".
Le Figaro
Le cauchemar est plaisant mais longuet. 2 h 27, on risque la cure de sommeil. A Cure for Life a beau cacher son moteur de série B sous une carrosserie rutilante, la machine patine.
Le Monde
Il n’y a presque que de mauvaises raisons d’aller voir "A Cure for Life" : le plaisir malin d’assister à un accident majeur, la joie de rire à des répliques qui n’étaient pas censées amuser, l’excitation qui vient lorsque l’on voit l’inconscient affirmer son emprise sur la raison. Mais on peut au moins accorder à Gore Verbinski (...) une audace et une culture cinématographique hors du commun.
Le Point
Après "The Lone Ranger", le réalisateur Gore Verbinski revient avec un film d'épouvante radical et visuellement somptueux, mais au scénario sans queue ni tête.
Sud Ouest
Le bien nommé Gore s’amuse de nos frayeurs d’enfant et filme sa cure aux petits soins, à grand renfort de plans sophistiqués dont la composition alimente le climat d’enfermement : reflets des cieux dans le bassin, noyade amniotique, royaume cerné d’ogres et légende du passé contaminant le présent. Le film, hélas, se dévitalise par sa durée : deux heures trente.