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"Mademoiselle", conte ludique, parfois dérangeant mais d’une beauté à couper le souffle est un délice aussi sexy qu’intelligent. On se régale de bout en bout devant le travail totalement abouti d’un très grand metteur en scène.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Outre les diaprures somptueuses des décors qui nous ont véritablement envoûtés, on remarquera l’interprétation de Kim Min-hee dans le rôle de lady Hideko, celle de Ha Jung-woo, et celle, tant elle nous a semblé convaincante, de Kim Tae-ri, qui fait ses débuts à l’écran dans le rôle de la servante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Un film d’une rare élégance formelle, dans des images qui unissent non sans humour le porno chic et l’art de l’estampe japonaise, et qui institue l’illusion et le voyeurisme comme plaisir constitutif du cinéma lui-même.
Cru mais raffiné, cruel mais jubilatoire, tragique mais saupoudré de subtiles pincées d'humour, ce grand beau long et imprévisible film mérite une récompense.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Mademoiselle pourrait n’être que ça : une romance lesbienne brûlant de désir, de plaisir, de folie. Mais c’est un thriller saphique et sadique, aussi exquis qu’un cadavre, jouant de noirceur, de cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dans "Mademoiselle", le décorum se craquelle peu à peu pour révéler les procédés d’une violence plus sociale qu’il y paraît. Le cinéma de Park Chan-wook ne manque décidément ni d’audace, ni de cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le cinéaste coréen excelle dans ce va-et-vient entre la délicatesse et le décadent, entre le cru et l’esthétisation, sachant se faire délicieusement trivial en confrontant « l’idée » à sa représentation, poétisant le vulgaire et injectant la vulgarité dans le poétique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Aussi sulfureux que vénéneux, ce thriller coréen conjugue une mise en scène d'une rare beauté à un scénario diabolique sur le désir et la manipulation.
La mise en scène en scène chirurgicale, les cadrages et la photographie magnifiques ou les mouvements de caméra magistraux sont encore bien là. Rarement scène de sexe n’aura été si raffinée.
Quelque part entre "La vie d’Adèle" et "Le Dernier Empereur" ou "L’Empire des sens" et "Usual Suspect", "Mademoiselle" le nouveau film du coréen Park Chan Wook, est un objet érotique à l'esthétique léchée doublé d’un thriller à rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Farce romanesque à tomber de beauté, malgré son dénouement trop programmatique, "Mademoiselle" s’amuse des rapports de pouvoir (...) et fantasme la réconciliation entre la Corée et le Japon par l’entremise d’une love story lesbienne. Hautement recommandable, donc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cette maison de poupées peuplée d'imposteurs est un décor idéal pour Park Chan-wook, virtuose dans l'art de faire tomber les masques et de retourner le récit comme un gant. Il a le bon goût de ne pas jouer à la poupée avec ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Comme dans son précédent film, un autre thriller, "Stoker" (2012), le cinéaste cultive l’ambiguïté des relations entre les protagonistes, tient le public en haleine et, ici en particulier, le transforme plus souvent qu’à son tour en voyeur. Sans pour autant oublier de le faire sourire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
On peut aimer un film tout spécialement pour sa destination, c’est-à-dire la note sur laquelle il nous laisse : ici, un tintement très évocateur, résumant à lui seul le délicat équilibre de somptueuse cérémonie et de trivialité goguenarde qui caractérise l’ensemble.
Servi par une merveilleuse photographie, ce film (...) cache doublement son jeu : non seulement il est d'un érotisme inflammable lorsque la relation entre les deux femmes tourne à l'éducation sensuelle d'Hideko, mais il installe en douce la mécanique du thriller historique "Du bout des doigts", signé de la romancière britannique Sarah Waters, dont il s'inspire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cru mais raffiné, cruel mais jubilatoire, tragique mais saupoudré de subtiles pincées d'humour, ce grand beau long et imprévisible film mérite une récompense.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dès les premiers plans, qui alternent la pluie et le beau temps dans des images somptueuses, tout est clair : on sait qu'il s'agira d'un thriller rutilant, fortement teinté de mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le cinéaste prend un malin plaisir à nous balader dans un conte en trois actes qui se contredisent et s'enrichissent, où chaque personnage, tout à tour manipulateur et manipulé, avance vers sa vérité.
L'artisanat de Park Chan-wook atteint un degré inédit de sophistication visuelle et technique (...) et les filouteries narratives et esthétiques du cinéaste se sont muées en quelques choses d'enfin plus léger et facétieux. (...) Mademoiselle est cousu de fil blanc, et s'offre au spectateur comme un objet en premier lieu ludique et amusant, un film d'escroc et de faux-semblants parcouru d'érotisme.
Mademoiselle se révèle un jeu de pistes fascinant, où manipulateurs et manipulés finissent par se confondre. Park Chan-wook joue avec les techniques du cinéma pour mieux perdre le spectateur dans une esthétique volontairement agressive. Mais se perd lui-même, hélas, parfois dans un récit de 145 minutes bien trop longues pour éviter quelques bégaiements.
Park Chan Wook revient au thriller mélodramatique avec son emphase habituelle. Mais sa formule, certes dotée d’une réalisation virtuose, n’a pas changé : c’est bien là tout le problème.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le dynamisme du film aurait gagné à un peu de dépouillement, jouant ses meilleures cartes au lieu de passer son temps à en faire un château m’as-tu-vu.
Ce nouvel opus, axé sur la cupidité, confirme qu’il n’y a plus grand-chose de neuf à attendre de ce cinéaste sud-coréen adepte de série rose saphique pour pervers pépères. Son style botoxé, ses longs tunnels de dialogues explicatifs, son érotisme de pacotille valent leur pesant de cacahuètes.
L’ingéniosité du récit, qui jongle avec les effets de surprise permis par une triple duperie entre arnaqueurs éprouvés, doit d’ailleurs beaucoup au roman, auquel il n’apporte finalement pas grand-chose à part quelques rengaines «park chan-wookiennes» et un fétichisme formel terminal, dont on peine décidément à percevoir l’objet - et le sens.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
"Mademoiselle", conte ludique, parfois dérangeant mais d’une beauté à couper le souffle est un délice aussi sexy qu’intelligent. On se régale de bout en bout devant le travail totalement abouti d’un très grand metteur en scène.
CinemaTeaser
"Mademoiselle" convoque tout Park Chan-Wook en un seul film ivre de cinéma. Si majestueux, si précis, si beau qu'il en deviendrait presque intimidant.
L'Humanité
Outre les diaprures somptueuses des décors qui nous ont véritablement envoûtés, on remarquera l’interprétation de Kim Min-hee dans le rôle de lady Hideko, celle de Ha Jung-woo, et celle, tant elle nous a semblé convaincante, de Kim Tae-ri, qui fait ses débuts à l’écran dans le rôle de la servante.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’une rare élégance formelle, dans des images qui unissent non sans humour le porno chic et l’art de l’estampe japonaise, et qui institue l’illusion et le voyeurisme comme plaisir constitutif du cinéma lui-même.
Paris Match
Cru mais raffiné, cruel mais jubilatoire, tragique mais saupoudré de subtiles pincées d'humour, ce grand beau long et imprévisible film mérite une récompense.
Positif
Tout n’est que mise en scène et le grand ordonnateur suprême et magnifique n’est pas le Comte mais Park Chan-wook.
Transfuge
Un génial conte gothique féministe.
Bande à part
Mademoiselle pourrait n’être que ça : une romance lesbienne brûlant de désir, de plaisir, de folie. Mais c’est un thriller saphique et sadique, aussi exquis qu’un cadavre, jouant de noirceur, de cruauté.
Critikat.com
Dans "Mademoiselle", le décorum se craquelle peu à peu pour révéler les procédés d’une violence plus sociale qu’il y paraît. Le cinéma de Park Chan-wook ne manque décidément ni d’audace, ni de cohérence.
Culturopoing.com
Le cinéaste coréen excelle dans ce va-et-vient entre la délicatesse et le décadent, entre le cru et l’esthétisation, sachant se faire délicieusement trivial en confrontant « l’idée » à sa représentation, poétisant le vulgaire et injectant la vulgarité dans le poétique.
Femme Actuelle
Aussi sulfureux que vénéneux, ce thriller coréen conjugue une mise en scène d'une rare beauté à un scénario diabolique sur le désir et la manipulation.
Franceinfo Culture
La mise en scène en scène chirurgicale, les cadrages et la photographie magnifiques ou les mouvements de caméra magistraux sont encore bien là. Rarement scène de sexe n’aura été si raffinée.
GQ
Quelque part entre "La vie d’Adèle" et "Le Dernier Empereur" ou "L’Empire des sens" et "Usual Suspect", "Mademoiselle" le nouveau film du coréen Park Chan Wook, est un objet érotique à l'esthétique léchée doublé d’un thriller à rebondissements.
Gala
(...) un film sensuel, intriguant et hautement esthétique.
L'Express
C'est du romanesque assumé qui n'oublie pas d'agiter la toile historique et les rapports de classes entre maîtres et esclaves.
L'Obs
Farce romanesque à tomber de beauté, malgré son dénouement trop programmatique, "Mademoiselle" s’amuse des rapports de pouvoir (...) et fantasme la réconciliation entre la Corée et le Japon par l’entremise d’une love story lesbienne. Hautement recommandable, donc.
LCI
Avec "Mademoiselle", en salles ce mardi, Park Chan-wook signe l’un de ses meilleurs films depuis le brillant "Old Boy", Grand prix à Cannes en 2004.
Le Figaro
Cette maison de poupées peuplée d'imposteurs est un décor idéal pour Park Chan-wook, virtuose dans l'art de faire tomber les masques et de retourner le récit comme un gant. Il a le bon goût de ne pas jouer à la poupée avec ses personnages.
Le Figaroscope
Comme dans son précédent film, un autre thriller, "Stoker" (2012), le cinéaste cultive l’ambiguïté des relations entre les protagonistes, tient le public en haleine et, ici en particulier, le transforme plus souvent qu’à son tour en voyeur. Sans pour autant oublier de le faire sourire.
Le Journal du Dimanche
On accepte volontiers de se perdre dans ce film troublant, malin et envoûtant.
Le Monde
On peut aimer un film tout spécialement pour sa destination, c’est-à-dire la note sur laquelle il nous laisse : ici, un tintement très évocateur, résumant à lui seul le délicat équilibre de somptueuse cérémonie et de trivialité goguenarde qui caractérise l’ensemble.
Le Parisien
Servi par une merveilleuse photographie, ce film (...) cache doublement son jeu : non seulement il est d'un érotisme inflammable lorsque la relation entre les deux femmes tourne à l'éducation sensuelle d'Hideko, mais il installe en douce la mécanique du thriller historique "Du bout des doigts", signé de la romancière britannique Sarah Waters, dont il s'inspire.
Mad Movies
Le diable est dans les détails et Park Chan-wook ne l'a jamais autant fait comprendre.
Paris Match
Cru mais raffiné, cruel mais jubilatoire, tragique mais saupoudré de subtiles pincées d'humour, ce grand beau long et imprévisible film mérite une récompense.
Première
Dès les premiers plans, qui alternent la pluie et le beau temps dans des images somptueuses, tout est clair : on sait qu'il s'agira d'un thriller rutilant, fortement teinté de mélodrame.
Télérama
Le cinéaste prend un malin plaisir à nous balader dans un conte en trois actes qui se contredisent et s'enrichissent, où chaque personnage, tout à tour manipulateur et manipulé, avance vers sa vérité.
Voici
Un jeu de dupes élégant et tortureux.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une mise en scène soignée à l’extrême et une atmosphère surannée plutôt séduisante, la structure narrative sent le déjà-vu.
Les Inrockuptibles
L'artisanat de Park Chan-wook atteint un degré inédit de sophistication visuelle et technique (...) et les filouteries narratives et esthétiques du cinéaste se sont muées en quelques choses d'enfin plus léger et facétieux. (...) Mademoiselle est cousu de fil blanc, et s'offre au spectateur comme un objet en premier lieu ludique et amusant, un film d'escroc et de faux-semblants parcouru d'érotisme.
Ouest France
Les images sont sublimes (...) mais pourquoi Park Chan-Wook a t-il fait si long ?
Studio Ciné Live
Mademoiselle se révèle un jeu de pistes fascinant, où manipulateurs et manipulés finissent par se confondre. Park Chan-wook joue avec les techniques du cinéma pour mieux perdre le spectateur dans une esthétique volontairement agressive. Mais se perd lui-même, hélas, parfois dans un récit de 145 minutes bien trop longues pour éviter quelques bégaiements.
aVoir-aLire.com
Park Chan Wook revient au thriller mélodramatique avec son emphase habituelle. Mais sa formule, certes dotée d’une réalisation virtuose, n’a pas changé : c’est bien là tout le problème.
Cahiers du Cinéma
Le dynamisme du film aurait gagné à un peu de dépouillement, jouant ses meilleures cartes au lieu de passer son temps à en faire un château m’as-tu-vu.
La Voix du Nord
Ce nouvel opus, axé sur la cupidité, confirme qu’il n’y a plus grand-chose de neuf à attendre de ce cinéaste sud-coréen adepte de série rose saphique pour pervers pépères. Son style botoxé, ses longs tunnels de dialogues explicatifs, son érotisme de pacotille valent leur pesant de cacahuètes.
Libération
L’ingéniosité du récit, qui jongle avec les effets de surprise permis par une triple duperie entre arnaqueurs éprouvés, doit d’ailleurs beaucoup au roman, auquel il n’apporte finalement pas grand-chose à part quelques rengaines «park chan-wookiennes» et un fétichisme formel terminal, dont on peine décidément à percevoir l’objet - et le sens.
La Septième Obsession
En dépit de quelques velléités de critique sociale, le film échoue à étourdir.