Note moyenne
3,6
20 titres de presse
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Le Parisien
Tout l'intérêt du film réside dans son ambiance tendue, imposée par ce huis clos forcé. Il est renforcé par le jeu impeccable des acteurs, notamment John Goodman, qui interprète ici un ancien marine adepte des théories du complot, dont on ignore longtemps s'il est un dangereux paranoïaque ou quelqu'un de particulièrement prévoyant.
Le Point
La dernière production de J. J. Abrams est un thriller psychologique angoissant à perdre haleine.
20 Minutes
S’il n’a pas signé lui-même le premier long-métrage de Dan Trachtenberg, on reconnaît l’influence du producteur J.J. Abrams dans ce thriller malin.
CNews
Outre la magistrale interprétation de Goodman, on ira aussi voir ce film pour sa réussite dans la conduite d’une tension psychologique captivante.
Ecran Large
Si "10 Cloverfield Lane" ne réinvente rien, il invoque une forme de récit pure, qui épouse le genre sans ambiguïté et avec une générosité devenue trop rare.
L'Ecran Fantastique
"10 Cloverfield Lane" ne fait aucun faux-pas, et retrouve le plaisir de la narration (...), grâce à une excellente idée de départ explorée sous toutes ses facettes jusqu'à une conclusion qui laisse pantois et donne envie de retourner immédiatement voir le film sitôt sorti de salle (...).
Les Fiches du Cinéma
Une suite spirituelle et étonnante de “Cloverfield”, thriller en huis clos qui déjoue les attentes du spectateur avec malice.
Mad Movies
Une série B de luxe, écrite au cordeau, interprétée avec brio et puissamment immersive.
Metro
Généreux et sympathique, ce divertissement low cost floue nos perceptions pour entretenir, jusqu’aux ultimes secondes, le mystère qui ceint l’intérieur et l’extérieur des personnages et des lieux. À la fin, c’est le plaisir qui l’emporte.
Ouest France
Le film pose une vraie question : qui sont vraiment les monstres ?
Paris Match
Projet longtemps resté secret, "10 Cloverfield Lane" est une série B habile qui répond parfaitement aux attentes des spectateurs.
TF1 News
Un thriller horrifique redoutablement efficace et jouissif, mené tambour battant, qui met sens dessus dessous. On en frissonne encore.
VSD
"10 Cloverfield Lane" a la bonne idée de ne pas vouloir piétiner les plates bandes de son prédécesseur. Pas d’overdose de found footage, ni de suite à proprement parler, mais un thriller parano joliment mené.
Critikat.com
Si l’intérêt de "Cloverfield" résidait dans son attaque extra-terrestre, "10 Cloverfield Lane" prend le contre-pied parfait de son prédécesseur.
Le Dauphiné Libéré
Atmosphère angoissante et frissons épisodiques, dans un film qui tire des ficelles certes convenues, mais souvent efficaces.
Les Inrockuptibles
Reste le charme d’une série B énergique, sans temps mort, où ne manque que le vertige radical du « voyage au bout des ténèbres » que promettait Serling sur petit écran.
Positif
Le charme de l'entreprise tient dans son scénario qui optimise le huis clos en relançant l'action avec un nouveau coup de théâtre dès que la situation s'enlise (...). C'est aussi les limites d'une entreprise qui apparaît bientôt comme une mécanique tournant à vide avant de se clore sur un final maladroit.
Cahiers du Cinéma
"10 Cloverfield Lane" est trop occupé à sauter d’une tension convenue à un twist opportuniste, sans parvenir à donner beaucoup de consistance à son énigme à tiroirs ni à son mélange des genres.
Le Monde
Cette confusion, qui peut d'abord passer pour une manière habile d'entretenir le suspense, se révèle vite pour ce qu'elle est : le fruit d'une écriture désinvolte qui laisse en rade toutes les pistes qu'elle lance sans s'embarrasser de cohérence ni de vraisemblance.
Libération
Si on veut avoir une idée du genre de cuisine dont les Américains sont capables - et même peut-être de plus en plus friands -, il suffit de pister l’agrégat d’ingrédients plus ou moins compatibles qui a fini par donner "Cloverfield Lane 10", c’est-à-dire n’importe quoi.