Crosswind - La croisée des vents : Critique presse
Crosswind - La croisée des vents
Note moyenne
3,8
18 titres de presse
20 Minutes
Metro
Paris Match
Studio Ciné Live
Transfuge
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Positif
Première
Sud Ouest
Le Journal du Dimanche
L'Humanité
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film en noir et blanc (...) aurait pu être plombant. Il coupe le souffle par sa beauté et sa puissance. La fascination que distille cette œuvre intensément belle parvient à dénoncer l'horreur et la folie des hommes sans abuser des effets mélodramatiques. Chapeau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Metro
par Mehdi Omaïs
A vingt huit ans seulement, le réalisateur Estonien Martti Heldesigne avec "Crosswind" un film bouleversant sur les horreurs des purges staliniennes. Privilégiant un magnifique noir et blanc, le réalisateur joue subtilement avec les textures, les ombres et la lumière. Poignant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Réalisé avec très peu de moyens, « Crosswind » s’impose dès aujourd’hui, comme une œuvre à part dans l’histoire du cinéma. Aussi ne passez pas à côté de cet événement, et acceptez de vous laisser porter jusqu’à « la croisée des vents ». Vous en sortirez l’âme ébouriffée…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Damien Aubel
La valeur n'attend pas le nombre des années. La preuve avec "Crosswind- La Croisée des vents" de Martti Helde. Une gageure formelle au service d'un grand film historique.
Télérama
par Cécile Mury
La puissance d'évocation de ce premier long métrage est incroyable : la scène magnifique où, en Sibérie, un groupe de femmes trime dans un champ boueux ressemble au négatif parfait d'une affiche de propagande soviétique. Avec Martti Helde, la beauté redevient essentielle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une manifestation éblouissante du 7e Art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) l'émotion s'installe, créée par la voix, les mots, la splendeur des images, l'absence d'émotions sur les visages bafoués, torturés, englués dans une absurdité sans nom.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un exercice de style cérébral, inédit, radical, qui revendique pleinement, n’en déplaise aux puristes, son esthétisme, son romantisme. Mieux vaut trop de partis pris que pas assez !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Dans un superbe noir et blanc, ces lettres sont mises en scène dans un dispositif original.
Positif
par Pierre Eisenreich
Crosswind aurait mérité plus de variations pour coller à l'émotion de ses personnages et donc du spectateur, qui peut se perdre dans cette trop grande exigence formelle. Mais Martti Helde fait déjà preuve d'une invention cinématographique hors norme.
Première
par Christophe Narbonne
Rythmée par une voix off citant des extraits de lettres d'une survivante destinées à son mari, "Cosswind" apparaît comme une grande oeuvre plastique doublée d'un témoignage inestimable.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Chaque plan devient captivant, et le spectateur se voit projeté dans une autre dimension. Il n'a plus qu'à suivre ces familles, et parmi elles Erna et sa petite fille échouant dans cette Sibérie qui est une prison à ciel ouvert.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Premier film édifiant, tourné en noir et blanc, avec de longues scènes où seule la caméra bouge. (...) Solennel, esthétique et limite pompeux, l’effet n’est pas moins saisissant et parfaitement maîtrisé. Rien que pour cette audace, le tout jeune Martti Helde réussit son coup.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est beau, mais, malgré l’excellence du travail plastique, cela fait penser au musée Grévin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film met en scène ces lettres sous forme de tableaux vivants en noir et blanc, parti pris trop conceptuel pour ne pas figer le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si on comprend l'intention de faire travailler mentalement le spectateur, Crosswind n'échappe pas à une certaine préciosité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
Le carton final vient parfaire ce dispositif figé dans une entreprise d’auto-congratulation sidérante de prétention.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce film en noir et blanc (...) aurait pu être plombant. Il coupe le souffle par sa beauté et sa puissance. La fascination que distille cette œuvre intensément belle parvient à dénoncer l'horreur et la folie des hommes sans abuser des effets mélodramatiques. Chapeau.
Metro
A vingt huit ans seulement, le réalisateur Estonien Martti Heldesigne avec "Crosswind" un film bouleversant sur les horreurs des purges staliniennes. Privilégiant un magnifique noir et blanc, le réalisateur joue subtilement avec les textures, les ombres et la lumière. Poignant.
Paris Match
Réalisé avec très peu de moyens, « Crosswind » s’impose dès aujourd’hui, comme une œuvre à part dans l’histoire du cinéma. Aussi ne passez pas à côté de cet événement, et acceptez de vous laisser porter jusqu’à « la croisée des vents ». Vous en sortirez l’âme ébouriffée…
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
La valeur n'attend pas le nombre des années. La preuve avec "Crosswind- La Croisée des vents" de Martti Helde. Une gageure formelle au service d'un grand film historique.
Télérama
La puissance d'évocation de ce premier long métrage est incroyable : la scène magnifique où, en Sibérie, un groupe de femmes trime dans un champ boueux ressemble au négatif parfait d'une affiche de propagande soviétique. Avec Martti Helde, la beauté redevient essentielle.
aVoir-aLire.com
Une manifestation éblouissante du 7e Art.
L'Obs
(...) l'émotion s'installe, créée par la voix, les mots, la splendeur des images, l'absence d'émotions sur les visages bafoués, torturés, englués dans une absurdité sans nom.
La Voix du Nord
Un exercice de style cérébral, inédit, radical, qui revendique pleinement, n’en déplaise aux puristes, son esthétisme, son romantisme. Mieux vaut trop de partis pris que pas assez !
Le Dauphiné Libéré
Dans un superbe noir et blanc, ces lettres sont mises en scène dans un dispositif original.
Positif
Crosswind aurait mérité plus de variations pour coller à l'émotion de ses personnages et donc du spectateur, qui peut se perdre dans cette trop grande exigence formelle. Mais Martti Helde fait déjà preuve d'une invention cinématographique hors norme.
Première
Rythmée par une voix off citant des extraits de lettres d'une survivante destinées à son mari, "Cosswind" apparaît comme une grande oeuvre plastique doublée d'un témoignage inestimable.
Sud Ouest
Chaque plan devient captivant, et le spectateur se voit projeté dans une autre dimension. Il n'a plus qu'à suivre ces familles, et parmi elles Erna et sa petite fille échouant dans cette Sibérie qui est une prison à ciel ouvert.
Le Journal du Dimanche
Premier film édifiant, tourné en noir et blanc, avec de longues scènes où seule la caméra bouge. (...) Solennel, esthétique et limite pompeux, l’effet n’est pas moins saisissant et parfaitement maîtrisé. Rien que pour cette audace, le tout jeune Martti Helde réussit son coup.
L'Humanité
C’est beau, mais, malgré l’excellence du travail plastique, cela fait penser au musée Grévin.
Le Monde
Le film met en scène ces lettres sous forme de tableaux vivants en noir et blanc, parti pris trop conceptuel pour ne pas figer le film.
Les Inrockuptibles
Si on comprend l'intention de faire travailler mentalement le spectateur, Crosswind n'échappe pas à une certaine préciosité.
Libération
Le carton final vient parfaire ce dispositif figé dans une entreprise d’auto-congratulation sidérante de prétention.